Tourterelle des bois

son image blanche... Elle admire sa taille droite, ses beaux bras, Et sa hanche polie, et ses seins délicats, Et d'une main, que guide une exquise décence, Fait un voile pudique à sa jeune innocence. Mais un grand cri soudain retentit dans les bois, Et Xanthis tremble ainsi que la biche aux abois, Car elle a vu surgir, dans l'onde trop fidèle, Les cornes du méchant satyre amoureux d'elle. Albert Samain Corps et Âmes (1869) Heureux les cœurs, les cœurs de sang

plus ou de moins étaient une bagatelle. Madame Vauquer avait rafraichi les trois chambres de cet appartement moyennant une indemnité préalable qui paya, dit-on, la valeur d’un méchant ameublement composé de rideau en calicot jaune, de fauteuils en bois verni couverts en velours d’Utrecht, de quelques peintures à la colle, et de papiers que refusaient les cabarets de la banlieue. Peut-être l’insouciante générosité que mit à se laisser attraper le père Goriot, qui vers cette époque était respectueusement

treillis. 10 Mon bien-aimé parle et me dit : Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! 11 Car voici, l'hiver est passé ; La pluie a cessé, elle s'en est allée. 12 Les fleurs paraissent sur la terre, Le temps de chanter est arrivé, Et la voix de la tourterelle se fait entendre dans nos campagnes. 13 Le figuier embaume ses fruits, Et les vignes en fleur exhalent leur parfum. Lève-toi, mon amie, ma belle, et viens ! 14 Ma colombe, qui te tiens dans les fentes du rocher, Qui te caches dans les parois escarpées

Tamias : ………… brun, jaune. Tapir : …………... ocre, rose. Tatou : ………….. ocre, orange. Taupe : …………. jaune, bleu foncé. Taureau : ……….. rouge, rose. Tigre : …………... noir, orange. Tortue : …………. marron, rouge. Toucan : ………… jaune, vert clair. Tourterelle : ……. brun, vert foncé. Triton : …………. violet, vert foncé. Vanneau : ………. violet, jaune. Vigogne : ……….. violet, brun. Vison : ………….. jaune, bleu ciel. Wallaby : ……….. violet, vert clair. Wapiti : …………. ocre, vert clair. Yack : ……………orange

la Seine, dialogue entre une carpe et ses carpillons qui dédaignent ses conseils de prudence. Les carpillons sortent « du lit de la Seine ». Chloé, comme tous les matins, s’installe devant son miroir. Élément perturbateur Le garde sort du bois. Irruption d’une abeille Dialogue entre le garde étourdie. (fatigué de poursuivre un chevreuil) et Colin. Ils finissent par échanger leurs rôles. Péripéties Ils « s’en vont dans les eaux qui couvrent le pays ». Colin part avec le chien Sultan

et profonde. C’est là son charme et son secret. […] Un ami «  Lamartine » D’avoir eu pour ami, dans mon enfance, un chien Une levrette blanche, au museau de gazelle, Au poil ondé de soie, au cou de tourterelle, A l’œil profond et doux comme un regard humain ; Elle n’avait jamais mangé que dans ma main, Répondu qu’à ma voix, couru que sur ma trace, Dormi que sur mes pieds, ni flairé que me place. Quand je sortais tout seul et qu’elle demeurait

l'accueille auprès de lui. Chant 8 : Le lendemain, le roi réunit l'assemblée. On apprête un navire pour le retour de l'étranger. Le roi organise des jeux. Le citharède Démodocos chante la captivité d'Aphrodite et d'Arès, puis l'épisode du cheval de bois et la prise de Troie. Ulysse pleure et cache sa tristesse. Alkinoos l'interroge sur les raisons de ses larmes et sur l'histoire de sa vie. Chant 9 : Ulysse commence à raconter son histoire. Après la chute de Troie, il combat les Kikones, échappe

Maître renard par l'odeur alléché , Lui tint à peu près ce langage : «Et bonjour Monsieur du Corbeau. Que vous êtes joli! que vous me semblez beau! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois» A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie; Et pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec laisse tomber sa proie. Le renard s'en saisit et dit: "Mon bon Monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l'écoute: Cette

pleuvait depuis des lustres Tout était arrêté pour un temps Devant l’orage malencontreux. Tout s’était calmé pour un temps. Le commandeur cessait ses persécutions On attendait et goûtait du repos à profusion. Plus d’appels, plus de fouets, Et l’orée du bois était tout près. Un couachy coulait dans ses veines. Il bondirait, fuirait la plantation. La pluie se ferait complice de sa peine, De son désir, de son besoin, de sa passion. Elle effacerait toute trace de ses pieds. Car le hocco de sa peau est hérité

de la viande, sauf quelques volailles de leurs propres élevages, et ce, de temps à autre. On leur donnait cependant, assez souvent, du poisson salé. Les « zandettes » et les nids de guêpe (larves), étaient consommés dès qu’on les trouvait dans les bois. Il arrivait rarement qu’on les emmenait à la maison pour les manger lors des repas familiaux. La nourriture de la population pauvre d’origine européenne était sensiblement la même que celle des esclaves, avec en plus, des produits de la chasse