Tourterelle

mat - satin ABYSSE satin - brillant HIBISCUS satin CROCUS mat - satin GRÈS mat - satin BLEU PÉTROLE mat - satin RUBIS satin LILAS satin SOURIS satin VERT POMPADOUR satin AIRELLE mat - satin VIOLETTE mat - satin TOURTERELLE satin CARAÏBES mat - satin TERRE DE VIGNE mat - satin IRIS mat - satin CIEL D’HIVER mat - satin MATCHA mat - satin MOKA mat - satin PRUNE mat - satin PLOMB satin VERVEINE mat - satin BORDEAUX mat - satin GRIS PARME

libérée cette terre dont ils parcourent le ciel à tire-d'aile. Deuxième strophe C'est le début d'un cantique d'adoration. Il ne faut pas s'efforcer de rendre un compte exact de la comparaison «Ma France aux yeux de tourterelle». Par l'image et l'idée que suggère le mot «tourterelle», le poète veut donner avant tout une impression de douceur et de tendresse (plus loin, à la cinquième strophe, il dira que la France est une patrie pour la colombe). Le deuxième vers est animé d’une ardente sincérité

mal choisi ; car lorsque Rodolphe avoue ses sentiments, un discours officiel se déroule ce qui décrédibilise les intentions romantiques de Rodolphe. On resens aussi un mépris constant du narrateur notemment lors de la comparaison d’Emma à une «tourterelle captive qui veut reprendre sa volée» et donc à un animal. Ainsi Rodolphe est également un participant aux Comices mais cherche à recevoir un tout autre prix. Mais cela veut aussi dire qu’Emma ne vaut pas mieux qu’un simple animal bovain. Le narrateur

répétition de "Je vous salue ma France" et l'anaphore de "Ma France" créé un rythme de chant patriotique. 1ere strophe: Je vous salue Marie/ Ma france : une priere Ma : symbole de possession, meme sous l'occupation, la France d'autrefois Tourterelle: symbole de paix Chiasme: Jamais trop mon tourment mon amour jamais trop Allitération (s s s) : sol, semé, passereaux. Passereaux: beaucoup de gens viennent/repartent 2eme strophe: comparaison avec la paume d'une main ouverte : accueil de

généralement attribués et peuvent réduire la grandeur du personnage. Cette absurdité présente dans la description des lectures est renforcée avec la phrase « les naïves (…) becquetaient une tourterelle à travers les barreaux d’une cage gothique » dans laquelle le sujet « les naïves » et le complément « une tourterelle » semblent inversés. En effet le verbe «becqueter » se rapporte généralement à des animaux, de plus les naïves becquettent une hirondelle, ce qui amplifie la fantaisie mais surtout l’absurdité

instincts vitaux : la faim (v.10), l’amour et la joie (v.14). La Fontaine mêle à la fois les connotations sombres (« mal », « crimes », « frappés », « Achéron ») et les touches les plus tendres et idylliques des vers 12 à 14 : « douce et innocente », « tourterelles », « amour », « joie ». -L’action n’est vraiment lancée qu’au vers 15 et elle sera essentiellement prise en charge par le discours rapporté, tantôt directement (paroles du Lion, du renard et de l’Ane) et tantôt indirectement (v.44 à 48 et 55 à62)

voir la saison des roses à Ispahan, s'attende à d'interminables plaines, aussi haut montées que les sommets des Alpes, tapissées d'herbes rases et d'étranges fleurettes pâles, où à peine de loin en loin surgira quelque village en terre d'un gris tourterelle, avec sa petite mosquée croulante, au dôme plus adorablement bleu qu'une turquoise ; qui veut me suivre, se résigne à beaucoup de jours passés dans les solitudes, dans la monotonie et les mirages...

les jambes; et le sacrificateur sacrifiera le tout, et le brûlera sur l'autel. C'est un holocauste, un sacrifice consumé par le feu, d'une agréable odeur à l'Éternel. 1.14  Si son offrande à l'Éternel est un holocauste d'oiseaux, il offrira des tourterelles ou de jeunes pigeons. 1.15  Le sacrificateur sacrifiera l'oiseau sur l'autel; il lui ouvrira la tête avec l'ongle, et la brûlera sur l'autel, et il exprimera le sang contre un côté de l'autel. 1.16  Il ôtera le jabot avec ses plumes, et le

IX- En écoutant les oiseaux Oh! Quand donc aurez-vous fini, petits oiseaux, De jaser au milieu des branches et des eaux, Que nous nous expliquions et que je vous querelle? Rouge-gorge, verdier, fauvette, tourterelle, Oiseaux, je vous entends, je vous connais. Sachez Que je ne suis pas dupe, ô doux ténors cachés, De votre mélodie et de votre langage. Celle que j'aime est loin et pense à moi; je gage, O rossignol dont l'hymne, exquis et gracieux, Donne un frémissement à l'astre

. (« Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés : On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni Loups ni Renards n'épiaient La douce et l'innocente proie. Les Tourterelles se fuyaient : Plus d'amour, partant plus de joie. ») Le registre tragique est maintenu : on le perçoit dans l’alexandrin construit sur la répétition de tous : « ils ne mouraient pas tous , mais