Montrer le côté critique:

Dans l’ensemble de l’extrait on note une constante critique des deux protagonistes par le narrateur. Notamment lorsque les deux discours de Delaroserays et celui de Rodolphe s’entremellent, on a l’impression qu’ils se répondent. En effet, par complémentarité, on remarque que lorsque Rodolphe parle, Delaroserays lui «répond » par des répliques insultantes. Surtout lorsque Rodolphe rétorque que «cent fois même [il] voulu[t] partir, et [il l’ a] suivie, [il] est resté ». Phrase qui est immédiatement réprimée par un « Fumiers. »de Delaroserays. On peut donc en déduire que le narrateur insulte ses propres personnages par mépris.

Montrer le côté comique:

Nous avons déjà démontrer le regard critique du narrateur. Toutefois l’objectif de ce dernier n’est pas seulement de critiquer les deux protagonistes ; il insulte également Rodolphe de «Fumier» via la superposition des deux textes, celui de Derozerays et la déclaration. On peut donc en déduire que le narrateur utilise la superposition pour donner une certaine logique à cette suite de deux textes qui n’ont aucun rapport premier. Le lieu met aussi en valeur le côté comique de la scène. En effet ce lieu est pardoxal à une déclaration romantique, cela implique donc le comique de situation qui appuie cette satire. Le momment est églaement mal choisi ; car lorsque Rodolphe avoue ses sentiments, un discours officiel se déroule ce qui décrédibilise les intentions romantiques de Rodolphe. On resens aussi un mépris constant du narrateur notemment lors de la comparaison d’Emma à une «tourterelle captive qui veut reprendre sa volée» et donc à un animal. Ainsi Rodolphe est également un participant aux Comices mais cherche à recevoir un tout autre prix. Mais cela veut aussi dire qu’Emma ne vaut pas mieux qu’un simple animal bovain. Le narrateur tourne au ridicule la déclération de deux personnes méprisables dans une ambiance triviale. C’est donc une satire très