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si beau… » de François de Malherbes et « De toutes les laideurs » de Pierre Berthelot. Il n'est rien de si beau ... Il n'est rien de si beau comme Caliste est belle : le poète : François de Malherbes C'est une oeuvre où Nature a fait tous ses efforts : (1555 ; 1628) est un poète de la fin du Et notre âge est ingrat qui voit tant de trésors, XVIèmes siècles, début du XVIIèmes. S'il n'élève à sa gloire une marque éternelle. Il est poète officiel de

globalité : le monde artistique est représenté par le peintre ; on note la présence de la bourgeoisie. Acte I Scène 1 : le Duc et Lorenzo + Giomo, écuyer du duc. Scène extérieure nuit. Présence de didascalies précisant le décor (influence du théâtre romantique), les costumes et les lumières. Effets d’ombres et de lumières (tableau en clair obscur) : mention du « clair de lune » et de la « lanterne ». Scène nocturne (contrairement au théâtre classique qui s’ouvre sur le petit matin, exposition

Professeur : Maria Julia Zaparart U.N.L.P. « L’esthétisation du traumatisme dans Inventaires » Etudiant: BEURY Clément Didier Legajo 99865/7 Mail: beury@hotmail.fr SOMMAIRE INTRODUCTION……………………………………………………………………….03 I - LE CONTRASTE PASSE PRESENT ……………………………………………..04 I-1- L’effet de parole spontanée…………………………………………………………..04 I- 3- Les artifices de la mise en scène……….…………………………………………….06 I- 4- L’’objet, métonymie entre passé et présent………………………………………….08 II – LA MEMOIRE

la guerre de Hollande, par laquelle la France acquiert la Franche-Comté et Strasbourg et Nancy, 1678 et 1679, la guerre de la Ligue d’Augsbourg, 1697, la guerre de Succession d’Espagne, conclue par les traitée de 1713 et de 1714. Il faut ajouter à tous ces conflits les efforts de la France de peupler la région du Québec, à conquérir de nouvelles colonies (Guadeloupe, la Louisiane, les comptoirs commerciaux en Inde), qui l’opposent à l’Angleterre La dénomination de Grand Siècle est en partie justifiée

se le reprocher toute sa vie. Les Français, qui attendaient tant de lui, lui pardonnèrent cet épisode autoritaire. Mais pas Victor Hugo. Il mit au service de sa fureur tout son génie poétique et sa grandiloquence effrénée, et reprit, dans ses vers, tous les éléments qui avaient fourni la matière de son violent pamphlet publié I'année précédente : ‘’Napoléon-le-Petit’’, qu’il appelait aussi «Nabot-Léon». Mais il n’allait avoir, sous le Second Empire, qu’une influence de chansonnier. Sous des formes

se le reprocher toute sa vie. Les Français, qui attendaient tant de lui, lui pardonnèrent cet épisode autoritaire. Mais pas Victor Hugo. Il mit au service de sa fureur tout son génie poétique et sa grandiloquence effrénée, et reprit, dans ses vers, tous les éléments qui avaient fourni la matière de son violent pamphlet publié I'année précédente : ‘’Napoléon-le-Petit’’, qu’il appelait aussi «Nabot-Léon». Mais il n’allait avoir, sous le Second Empire, qu’une influence de chansonnier. Sous des formes

disciplinaire axée sur l'évolution des pratiques artistiques. Le dossier documentaire s'inscrit dans le cadre d'un programme limitatif comportant deux questions : l'une relative au xxe siècle, l'autre à une époque antérieure. Elles sont renouvelées tous les trois ans. Durée : cinq heures ; coefficient 2. Pour info, texte périmé : • Le sujet test (Annexes) Lecture et analyse (projection power point) compétences du regard et maîtrise des connaissances Programme et ressources bibliographiques :

chaque aspect de son sujet il propose une définition, partielle mais précise1. Il a une humilité devant le fait, même banal, qui susciterait quelque gêne à le voir redécouvrir des évidences, s'il n 'avait su montrer que ces « observations de tout le monde » étaient une source inépuisable de problèmes et d'idées 2 . Mais s'il nous offre une vaste collection de rouages démontés, jamais il ne tente de reconstituer la totalité du mécanisme. La permanence et l'ampleur des réflexions sur l'ensemble Sommeil-Réveil-Veille

douce moitié, Qui me tiendra jusqu'à tant que je meure. Ô l'an heureux, le mois, le jour et l'heure Que mon coeur fut avec elle,allié ! Ô l'heureux noeud par qui j'y fus lié, Bien que souvent je plains*, soupire et pleure ! * je me plaigne* Tous prisonniers, vous êtes en souci Craignant la loi et le juge sévère ; Moi plus heureux, je ne suis pas ainsi. Mille doux mots, doucement exprimés, Mill' doux baisers, doucement imprimés Sont des tourments où ma foi persévère. Joachim Du BellayJ'ai

d'Olympia se détache du fond avec un relief saisissant, le bouquet devient une merveille d'éclat et de fraîcheur. La justesse de l'œil et la simplicité de la main ont fait ce miracle ; le peintre a procédé comme la nature procède elle-même, par masses claires, par larges pans de lumière, et son oeuvre a l'aspect un peu rude et austère de la nature. Il y a d'ailleurs des partis pris ; l'art ne vit que de fanatisme. Et ces partis pris sont justement cette sécheresse élégante, cette violence des transitions