Tout Ce Qui Est Naturel Est Il Bon

pr ce qui concerne le terme sauvage; connotation qui correspond à ce que les Européens pensent. Peu à peu il démontre que ce terme n'a rien de négatif, il utilise alors une comparaison ac la nature. Tout ce qui est naturel est bon, tout ce qui est naturel est sauvage, donc tout ce qui est sauvage est bon. L'argu de Montaigne: -Il montre qu'il s'agit d'une affirmation liée à un point de vue intolérant: le sauvage c'est l'autre. -M. inverse la valeur sémantique du mot sauvage. Loin d'être synonyme

reprise de la DDHC tout en modifiant au féminin se qui montre l’engagement de l’auteur. «Mère»; «sœur» ; «fille» Cependant il manque le terme femme au sens d’épouse car Olympe de Gouges est hostile au mariage. -langage juridique « représentante de la Nation » ; « assemblée nationale » Olympe de Gouges se place au point de vue juridique ,et montre qu’il manque des représentants des femmes 2eme phrase : -elle féminise le texte : « droits de la femme » « droit naturel inaliénable

entre les 2 civilisations, marque leur différent style de vie.  Pas de je, le vieillard parle au nom de son peuple : une civilisation, un groupe. • La structure en chiasme permet de souligner une fois de plus l'opposition entre ces deux peuples que tout oppose " elles sont devenues folles dans tes bras ; tu es devenu féroce entre les leurs " (l.22) • Les impératifs souligne l'autorité du vieillard "écarte promptement ton vaisseau" (l.18), "laisse-nous nos mœurs"(l.39). • Les questions oratoires

productions humaines. Ce texte répond à la problématique suivante : En quoi l’action humaine est-elle futile au sein de l’équilibre naturel ? J. Mill énonce deux thèses qui se contredisent. La première est présentée pour être contredite. Elle explique que la nature est « parfaite » et donc toute action de l’homme n’est pas nécessaire, voire serait une violation d’un ordre naturel, peut-être même une infraction. La deuxième thèse est contraire : L’art humain fait face à la nature comme ennemi et cela implique

vendre sa liberté, ce serait « renoncer à sa qualité d'homme » car ôter toute moralité à ses actions. De plus, un ''pacte'' par lequel un homme serait maître et l'autre esclave est absurde, car « le maître n'est engagé à rien envers celui dont (il peut) tout exiger ». Réfutation aussi de l'argument ''droit de tuer les vaincus → racheter sa vie par l'esclavage et profit pour les deux'' car : → 1. la guerre est une relation d'État à État (ce ne sont pas des individus mais des soldats, qui combattent

"La nature a doté l'homme d'une intelligence fabricatrice. Au lieu de lui fournir des instruments, comme elle l'a fait pour bon nombre d'espèces animales, elle a préféré qu'il les construisît lui-même. Or l'homme a nécessairement la propriété de ses instruments, au moins pendant qu'il s'en sert. Mais puisqu'il sont détachés de lui, ils peuvent lui être pris; les prendre tout faits est plus facile que de les faire. Surtout, ils doivent agir sur une madère, servir d'armes de chasse ou de pêche, par

religion, la parfaite police3, parfait et accompli usage de toutes choses. Ils sont sauvages de même que nous appelons sauvages les fruits que nature, de soi4 et de son progrès ordinaire, a produits : là où, à la vérité , ce sont ceux que nous avons altérés5 par notre arti5ce6, et détournés de l’ordre commun que nous devrions plutôt appeler sauvages. En ceux là7 sont vives et vigoureuses les vraies et plus utiles et naturelles vertus et propriétés, lesquelles nous avons abâtardies

L’homme est-il bon par nature?   Inconsciemment, même si nous ne le disons pas, lorsque nous disons que l’homme est bon ou mauvais, cela sous-entend toujours bon ou mauvais envers les autres êtres vivants qu’ils soient humains ou animal. Un individus qui ne fait de mal à personne est d’office qualifié de bon. A l’inverse, dès que l’on nuit à autrui sous quelques formes que ce soit, il devient difficile d’être rangé du côté du bien. Être bon ou mauvais relève donc de notre relation aux autres.

II/ Mythe du bon sauvage => critique philosophique LA PROPRIETE Comme Rousseau, Diderot affirme les méfaits de la propriété en lui opposant une forme de communisme tribal - La propriété apparaît antinaturelle (je ne sais quelle distinction du tien et du mien) Diderot met l'accent sur l'INNOCENCE NATURELLE (pur instinct) (tout est à tous) - Il va plus loin en opposant la liberté sexuelle des Tahitiens à la possession de la femme comme une propriété. Mais peut-on y croire vraiment ? Couleur

le profit, et utilise la violence pour prendre le pouvoir sur d'autres. La défiance elle a pour but la sécurité et donc utilise la violence pour défendre les hommes. Et enfin la gloire a pour but la réputation et utilise la violence pour combattre tout ce qui pourrait porter atteinte à cette réputation. Comment les hommes vivent à l'état de nature? Les hommes qui vivent à l'état de nature vivent dans la « guerre de chacun contre chacun », ce n'est pas une guerre de combat mais une guerre