Tout est bien qui finit bien

sainteté. Schmitt adapte l’histoire de l’ancien ermite pour toucher par ailleurs des questions de l’existence humaine contemporaine. Il y a toujours dans le récit de la vie des grands hommes ce qui nous fait toujours douter. Est-ce la réalité, ou bien simplement un embellissement pour mieux nous faire prendre conscience de la nécessaire morale qui détermine les relations humaines? Chez Schmitt la chose n’est pas évidente. Simon, un parisien moyen du XX siècle fait un rêve récurrent où

fait le voyage de Kouroussa à Tindican accompagné du frère cadet de celui-ci. Ce voyage se caractérise par des dialogues enjoués qui aident l'enfant à supporter la difficulté de marcher si longtemps et finit par l'accueil de l'enfant par sa grand-mère. L'enfant passe son séjour à Tindican à bien manger, à jouer avec les autres enfants, et à aider ceux-ci à chasser les oiseaux et les autres bêtes des champs cultivés. Le narrateur se distingue des autres enfants par ses habits d'écolier. La journée

seul, ce n’est pas tant par amour de la solitude que par haine du genre humain. » (p. 59) Il déteste tout le monde (Ernest Gravelin, son secrétaire particulier, et son infirmière qu’il traite de « salope » à maintes reprises) et il a une haine des femmes très profonde. On sait aussi que, sur ses vieux jours, il s’est mis à tenir des propos racistes : « on commence par engager des femelles, on finit par engager des nègres, des Arabes, des Irakiens ! » (p. 84) Au fil des interviews avec les différents

donne pour ambition de représenter la réalité telle qu’elle est. Balzac la représente à sa façon et cela pose la question de savoir si dans ce roman il raconte les aventures d’une société en mouvement ou bien l’histoire d’un individu particulier, ou encore les deux. * * * Nous pourrions tout d’abord affirmer que Balzac décrit une société en mouvement. En effet il ne se contente pas de raconter une histoire, il nous la fait vivre dans son contexte social et historique. Pour cela il nous décrit

le combler en partant autre part (la forêt en l’occurrence.) Il y a sans nul doute de très nombreuses choses qui nous énervent dans la vie et on se dit parfois qu’on aurait intérêt à tout plaquer, à faire ses valises… - Ce sont souvent les gens qui nous tapent sur le système, parce que de nos jours, on est bien obligé d’en côtoyer. Il y en a certains que l’on ne peut pas sentir (ils nous stressent), d’autres ont toujours l’air plus heureux et ça nous rend jaloux. Si les gens nous énervent quelque

conscience de la mort nous incite à vivre davantage » Citation tirée de Véronica décide de mourir de Paulo Coelho. Le passé, le présent, le futur. Tout s’emboîte parfaitement sans que nous n'en prenions réellement conscience. Un chemin se trace, sans même parfois que nous n'y ayons pensé et au bout de celui-ci, une seule issue, la mort. Mais bien que nous le sachions tous, peu d'entre nous réfléchisse vraiment à ce qu'elle implique. La fin de l’existence. Selon la citation de Paulo Coelho, la

garage de George Wilson, le mari de l’amante de Tom. Myrtle Wilson se présente. Elle est vulgaire et bien en chair. Myrtle rejoint Tom et Nick plus loin et les accompagne à New York dans l’appartement que Tom loue pour elle. Une fête a lieu. On y boit du Whisky. Elle se comporte en vraie poule. Puis elle s’excite et crie « Daisy ! Daisy ! Daisy ! » à Tom qui la gifle et lui casse le nez. Nick finit par s’en aller et s’endort sur le quai de Pennsylvania Station, attendant le train de 4h du matin. Citations:

cela, quelles sont les morales ? Dans le texte A, « Le Loup et le Chien », le loup choisit la liberté au confort, il se mit à parler avec un chien qui lui-même lui propose de vivre avec un maitre, leur « donner la chasse aux gens », pour avoir un « bien meilleur destin », le loup parait aimer l’idée, jusqu’au moment qu’il aperçoit le collier du chien, après cela il décide de s’enfuir et d’être libre. Au monde des humains, on a la morale qui nous indique que la liberté n’a pas de prix, qu’il vaut mieux

Elle sied donc en Touraine, région pour laquelle Balzac porte une affection très particulière car ce lieu renvoie à son enfance ayant été mis en nourrice dans la localité de Saint-Cyr-Sur-Loire et à son intimité puisqu'il séjourna à la Grenadière tout l'été 1830 avec Laure de Berny. Le nom de cette maison de campagne vient de grenadiers qui poussent en pleine terre non loin du logis. Cette nouvelle est aussi un support de réflexion sur l'affection maternelle que Balzac idéalise avec justesse

Dardenne en vélo jusqu’au Sommet ! Les frères Dardenne n’en sont pas à leur premier film à succès. Après « Rosetta » et « l’enfant », tout deux couronnés d’une palme d’Or au festival de Cannes, les voici dans un nouveau film dramatique « Le gamin au vélo », qui ne manque pas de « dénoncer » le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui. En effet, dès le début on sent bien que le film est au plus haut niveau cinématographique que les Dardenne ont déjà atteint admirablement. Pour être bref, les frères