Tout est bien qui finit bien

intenses lors de leurs conversations; elle urine involontairement deux fois. Elle décide cependant de rester et aider son frère, cherchant à ne pas faire elle-même preuve d’égoïsme, le seul caractère que préserve toujours son père. La première partie finit avec un contrepoint où le patriarche cesse d’être irrité de la présence de Norah, ils partagent une sortie nocturne silencieuse et immobile. La deuxième partie nous fait suivre Rudy Descas, un homme français, pendant une de ses journées de travail

-Le personnage principal devient de plus en plus irritable et inconscient des sentiments des autres. Il commence à boire. -Il commence à abuser sa femme verbalement et à la menacer de violence physique. Il abuse aussi ses animaux de compagnie. Il finit même par abuser son chat qu’il aimait tant. -Un jour qu’il était saoul, il a coupé l’œil de Pluto. -Il pend son chat parce qu’il l’aimait et maintenant Pluto ne l’aime plus parce qu’il l’a abusé. Il se sent également mal d’avoir coupé l’œil de son

il admire ses capacités intellectuelles ("Quelle chance il avait eu ce mort, de rencontrer cette compagne intelligente et charmante" l.11). C'est grâce à son talent et à sa riche personnalité, qu'elle a su promouvoir son mari ("Comment avait elle finit par en faire quelqu'un" l.14,15) et recevoir les faveurs du compte de Vautrec. C'est une femme indépendante qui mène sa vie d'une main de fer (= elle décide par elle-même. "Qu'allait elle faire maintenaient" l.19 et "avait-elle des projets" l.21)

désireux de s'amuser à leurs dépens, en utilisant la technique du « théâtre dans le théâtre ». Il est alors bien facile de les « mener en bateau » ! C'est aussi ce que va faire A à l'acte V : en montrant à P, sans l'informer préalablement du nouveau métier de comédien de son fils, Clindor et Rosine assassinés par Éraste, Isabelle enlevée au profit du prince Florilame. Le pauvre P est cette fois tout à fait persuadé qu'il a perdu son fils et pense à se suicider : « Adieu, je vais mourir, puisque mon fils

illogismes, qui loin de la compromettre, participent de sa richesse, de sa « vérité ». Elle est un « tout hétérogène », disparate, qui n’est pas illusoire ou chimérique. C’est, d‘après Ionesco, « un organisme vivant » qui se dévoile dans toute sa splendeur, un « être autonome » à l’existence irréductible : « Elle est là »(P 31). 2. L’œuvre : objet de perversion des critiques En dépit de toutes ses qualités, l’écriture n’est pas moins un acte fragile, facilement détourné de ses motivations premières

La religion est elle une aliénation ? Quand nous nous interrogeons si « La religion est-elle une aliénation » la réponse peut sembler compliqué et confuse. Tout d’abord, la religion a une double étymologie. Elle viendrait à la fois de la racine religare, qui se traduit par rattacher. La religion c’est ce qui relie les croyants entre eux en les unissant tous à un ou plusieurs dieux, ou même à une divinité. Ici, ce qui devient prédominant chez la religion c’est la fonction sociale, elle aurait

maître-valet : A. Sganarelle, un simple valet de longue date Sganarelle est au service de Don Juan : il le sert à table, reçoit des ordres et se soumet à ses moindres désirs. Il lui obéit et reçoit parfois des soufflets. Don Juan se sert de lui dans toutes les occasions, même lors de ses escapades amoureuses, ainsi il dit, à la scène 3 de l'acte I : « Allons songer à l'exécution de notre entreprise amoureuse ». Il semblerait que Sganarelle travaille pour lui depuis longtemps, une sorte de complicité

Sommaire Très court, peu détaillé, limité aux grandes lignes pondérées Lapidaire : Peu de mots brutales, expressives, en jetant des pierres Concis : Style clair, peu de mot ce qu’il faut dire Diffus : Style noyé dans un excès de détails Verbeux : Finit par ne plus être clair, beaucoup de mots péjoratifs Circonlocution : Qui révèle sa pensé que petit à petit de façon indirecte et sont en quelque des détours inutiles Oiseux : Questions inutiles, sans grands intérêts Disert : Aimable et volontier

que le duc qui assassine me dit tendresse. Ces paroles ne doivent pas être prises au 1er degré et il s’agit bien là d’un procédé d’antiphrase, comme le prouve le lapsus du jardinier. " la cruauté, pardon, la Tragédie. Par ce lapsus, Giraudoux nous envoie un signal assez clair, qui nous permet de saisir la pensée réelle du jardinier. Cet univers tragique et cruel: tout y est désespoir et non pas espoir, trahison et non pas foi. On pourra objecter qu’il n’y a pas ironie lorsque

années lorsque Klonk décide de laisser un drôle de message à son ami. Il lui demande de venir le rejoindre à sa demeure de Québec et d’apporter cinq mille dollars en petites coupures avec lui. Fred ne réussit pas à réunir toute la somme, mais il part tout de même de Montréal pour aller aider son ami à Québec. Intrigué par cette situation mystérieuse, il arrive chez Klonk et s’attend à recevoir des explications, mais ce dernier ne lui dit rien. Klonk amène donc Fred au Colisée de Québec où se dispute