Tout Plaisir Rend T Il Heureux

philosophiques vont chercher les chemins de la sagesse et de la sérénité de l’âme alors que le monde extérieur (l’ordre de la cité) échappe à la volonté du sage. La philosophie d’Epicure est avant tout une éthique (une recherche des principes nécessaires pour bien vivre c’est-à-dire vivre heureux) et la Lettre à Ménécée expose l’essentiel de cette éthique. La philosophie d’Epicure est un eudémonisme (toute doctrine qui identifie

à la vie parce qu'elle ne me procurait plus aucun plaisir, plus aucune joie. De plus je ne voyais pas d'autre issue de cet emprisonnement à la vie que le suicide. Combien de fois je me suis couchée au soir en espérant ne plus me réveiller au matin, combien de fois je me suis retrouvée dans ma voiture en espérant qu'on allait me rentrer dedans, ou en me demandant si j'étais capable de rentrer dans un mur afin d'en finir une bonne fois pour toutes. La réponse est non! Non, je n'en suis pas capable

Un début de problématisation ...     Une vie heureuse est-elle une succession de plaisir ? Analyse des termes du sujet Une vie heureuse : le bonheur, Succession : une suite, la succession suppose la juxtaposition d’éléments indépendants par opposition à la continuité qui suppose un mouvement dynamique des éléments qui la compose. Plaisir : du latin « placere » plaire, être agréable. Reformulation : Le bonheur est-il une succession de moments agréables ? Problématique/introduction

célèbre du Vème av. J.C. Sophiste et rhéteur. La rhétorique est la technique de la persuasion, et Gorgias l’enseigne. Sqvoir instrumental. Elle a une utilité. L’utilité est celle d’avoir un pouvoir sur les gens. C’est le cas de toute technique. Pour toutes techniques, il y a une orientation vers une fin jugée utile. Cette technique a un champs d’application qui est la politique. Le bon rhéteur va pouvoir attirer la foule à lui et là est sa spécialité. Le rhéteur n’est pas celui qui connaît la vérité

 L’amour est-il une maladie ? « L’amour » est un vaste mot, qui a bien des définitions. On peut aimer la musique, aimer écrire, aimer ses amis et tant d’autres choses. Mais l’amour a un tout autre sens quand il s’agit d’aimer un autre être humain, et c’est cet amour là qui peut devenir maladif. Et devenir ainsi nuisible à notre moral, à notre vision des choses et ainsi qu’à notre relation avec ceux qui nous entourent. De plus, une maladie à proprement dit, amène à un mal-être de l’esprit

besoins mais au rve, limagination et la cration multiforme des dsirs. Le bonheur cest ce que tout un chacun dsire et quil veut aussi parfois comme quelque chose dabsolu, et mme dirralisable. Ce qui parat contradictoire, mais si lon accepte de penser que le bonheur humain est (ncessairement) li au dsir, la contradiction peut alors tre plus comprhensible. 2. La tentative de dfinir le bonheur par le plaisir, la vertu ou labsence de trouble est radicalement insuffisante car elle mconnat le plan du dsir

Y’a-t-il une technique pour être heureux ? Pourquoi révisons-nous le bac ? Pour obtenir le bac. Pourquoi voulons-nous le bac ? Pour faire des études supérieures. Pourquoi voulons-nous faire des études supérieures ? Pour avoir un métier intéressant avec un bon salaire. Pourquoi voulons-nous un métier intéressant et un bon salaire ? Pour être heureux. Et pourquoi voulons nous être heureux ? Pour être heureux. Le bonheur, comme état de

 Le bonheur est-il seulement une affaire privée ? La recherche du bonheur semble être ce qui incite, directement ou indirectement, toutes nos actions. L'homme, guidé par une sorte d'orientation, cherche en effet évidemment à être heureux. Chacun recherche donc à sa façon, et sans même se préoccuper des autres, son propre bonheur, lequel est donc original, inconscient, voire même unique. Dans ce cas, le bonheur serait bien l'affaire de chacun, un projet personnel qui ne regarde personne d'autre

rechercher implique de faire ce qui est bon pour soi, ce qui nous rend heureux personnellement. Faire son devoir implique au contraire l’idée d’un certain renoncement à ses intérêts personnels, voire un certain sacrifice de soi, en vue de l’intérêt des autres. Ainsi, la recherche du bonheur et la recherche du bien semblent donc bien être deux buts très distincts. C’est pourquoi d’ailleurs, on peut très bien imaginer un individu mauvais mais heureux, et inversement un homme d’une grande moralité très malheureux

bien parce que le bonheur vaut par soi, il est la satisfaction ultime. Le bonheur est le désirable absolu (( relatif). Le bonheur est le souverain bien, celui qui domine tous les autres, celui en vue de quoi tout est fait, il s’agit d’un but ultime. Si la définition peut mettre d’accord tout le monde, qu’en est-il de la chose ? Il s’agit d’un enjeu de vie (existentiel), donc d’un enjeu de la philosophie même si les philosophes contemporains ont déserté cette recherche. Le bonheur n’est pas un bien