Toute Notre Dignité Consiste Dans La Pensée

plus qu’amertume. Dis-moi, Roderigo, Où l’as-tu vue ? Ô malheureuse fille ! Avec le Maure dis-tu ? Qui voudrait être père à présent ? Comment sais-tu que c’était elle ? Oh ! tu me trompes Au-delà de toute pensée ! Que vous a-t-elle dit ? (I, 1, 142-148). Cherchant une explication rationnelle au comportement de sa fille, Brabantio accusera publiquement Othello d’avoir usé de sorcellerie pour conquérir son cœur, dans une tirade extrêmement violente dont

intrinsèque  Définition par ses limites = Absolu négatif. « Art. 4. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. » La liberté d’opinion est mise en avant  « Art. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi. » L’article 11 consacre la liberté d’expression : « Art. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen

une disposition à se transformer. L’espérance ne viendra pas inopinément, elle ne peut être qu’une décision personnelle et collective. L’enfant dés la naissance est vorace et il ne peut en être autrement, sinon on s’en inquiéterait. Par ailleurs toute notre vie est réduite à ce même réflexe, traduit dans une société ou tout est accès sur la consommation. C’est la proposition sociale qui nous est quotidiennement faite par les nombreux messages publicitaires rabâchés par une idéologie économique dominante

pour terminer, on établira une critique du déontologisme. Tout d’abord, on explique le déontologisme de Kant puisqu’on se servira de cette doctrine pour déterminer quelle est la bonne action à poser dans la situation de Maryse. Le déontologisme consiste à utiliser la raison comme outil principal pour déterminer ce qui est bien. La raison est principalement utile pour percevoir des objets et leur donner un sens, les sens physiques tel que la vue, l’odorat, le toucher, le goûter et l’ouïe perçoivent

même manière, avec la même dignité, qu'ils disposent des mêmes droits et sont soumis aux mêmes devoirs. L'égalité face à la justice signifie alors que « toute personne a une égale vocation à être jugé par les même juridiction et selon les même règles de procédure, sans la moindre discrimination » . La notion de Justice est-elle alors indissociable à celle d'Égalité ? Cette dernière en est-t-elle une caractéristique essentielle ? A première vue, la justice consiste à traiter tout le monde de la

1 La liberté. Introduction Le plus souvent lorsqu’on évoque le mot de liberté on pense d'abord à son aspect politique, c’est-à-dire à une série de droits, « de droit à... » Par exemple, le droit à la liberté d’expression, à la liberté de circulation, à la liberté de choisir des représentants politiques par des élections, etc. Pourtant, la liberté relève, tout d'abord, non pas de la politique ou du droit, mais d’une expérience en première personne, elle peut être vue comme un trait de la condition

universellement humain. Notre ancêtre homo sapiens sort de l'animalité en offrant une sépulture à ses semblables, en enterrant ses morts: nous touchons du doigt je pense avec ce point là à un véritable universel de l'humanité. Lorsque, il y a près de 100 000 ans, un pré humain enterre son semblable, c'est peut-être déjà parce qu'il reconnaît en lui une dignité, et cela, c'est un geste absolument, entièrement et purement humain. On pressent déjà, à ce stade, que la préoccupation de l'autre , de sa fragilité et

de la question du régime politique et de la société ; le sens de liberté de droit n'apporte donc pas énormément à ce sujet, et est ainsi à proscrire dans le développement de cette problématique. Comme le dit Leibniz, la liberté de fait toutefois consiste ou dans la puissance de faire ce qu'on veut, ou dans la puissance de vouloir comme il faut ; ainsi généralement celui qui a le plus de moyen est plus libre. Ceci implique par extension que la liberté représente une capacité qui ne peut être entravée ;

« Le premier des droits de l'homme c'est la liberté individuelle, la liberté de la propriété, la liberté de la pensée, la liberté du travail. » disait Jean Jaures. Effectivement, la liberté de pensée est un droit que possède tout individu, de déterminer lui-même le contenu de ses représentations intellectuelles, morales, politiques et religieuses. On pense à ce que l'on veut et on pense soi-même à ses idées. Nous débuterons par une explication approfondi sur la liberté de penser, puis sur la liberté

plaisir ». En revanche, être une personne, c'est avoir une dignité et avoir le droit au respect. La personnalité, selon Kant, c'est-à-dire le fait d'être une personne et non une chose se fonde sur cette faculté de « dire Je ». L'esclavage est un déni d'humanité : l'homme est traité comme une chose ou un objet. Il est utilisé comme un moyen. Il est traité comme s'il n'avait pas de conscience, de volonté, et donc de liberté. Respecter la dignité d'une personne ou d'un sujet, c'est lui reconnaître au contraire