Tpe Anesthésie

la clinique d’interruption de grossesse Douleurs au ventreL’IVG chirurgicale est une intervention mineure sur le plan médical qui dure de 10 à 20 minutes et qui est suivie d’une période de repos d’une heure. L’intervention est effectuée sous anesthésie locale et ne comporte ni coupure, ni point de suture. L’IVG est habituellement exécutée par dilatation-aspiration-curetage, une pratique très sécuritaire. Pour avoir de plus amples informations sur ce type d’intervention, n’hésitez pas à contacter

SITUTATION DE COMMUNICATION : ­Je suis élève Ambulancier, en stage au Centre Hospitalier de Fougères. Ce jour là je suis dans une aide soignante et une infirmière on me laisse prendre en charge, le réveil d'une personne, après une anesthésie générale, suite à une coloscopie. L'aide soignante qui est a mes côtés, se charge de stimuler la personne, au début pour qu'elle se réveille. «  Aller Madame, on ouvre les yeux maintenant, l'intervention est terminée, vous êtes en salle de réveil» Elle

heures le praticien se tient face à son patient. Pour gauchers, les schémas sont inversés. Anesthésie locale des dents maxillaires ET MANDIBULAIRES 1. Anesthésie locale des dents maxillaires Préalable : 1. Imposer une position en hauteur de l’opéré appropriée à la taille de l’opérateur. 2. Imposer une inclinaison de la tête de patient en fonction de sa morphologie et de la dent à anesthésier. Plan occlusal maxillaire (45° / horizontale) Plus la dent maxillaire est postérieure, plus

même de mener l’accouchement à son terme, et si la poursuite du travail représente un danger pour la vie de l’enfant. Selon les cas, la césarienne peut être programmée dès la fin de la grossesse ou décidé au cours de l’accouchement. Si une anesthésie par péridurale est déjà administrée à la patiente, aucun autre mode d’anesthésie ne sera nécessaire pour recourir à une césarienne en cours d’accouchement . Le forceps : Il s’agit de deux cuillères que l’on applique

deuxième jour : Jeudi 16 janvier 2014 : J’ai aidé l’assistante dentaire à ranger les documents des patients dans un grand tiroir. Puis j’ai observé le docteur Bénidini dévitalisé une dent d’un patient. Dévitaliser une dent consiste, sous anesthésie locale, à retirer complètement le nerf, à désinfecter l’intérieur des racines et à les reboucher de façon étanche. Étape 1 : une voie d’accès est ménagée à travers la dent pour accéder aux racines. Étape 2 : la longueur de chaque racine est déterminée

Le bypass: Technique: L’opération consiste en une restriction alimentaire associée à une malabsorption. Elle se fait * sous anesthésie générale * laparotomie ou mieux par laparoscopie. L’opération consiste à mettre hors circuit une grande partie de l’estomac, en réalisant une très petite poche dans la partie supérieure de l’estomac que l’on relie directement à la partie moyenne de l’intestin grêle. Les aliments arrivent dans ce nouveau petit estomac ce qui oblige le patient à

concret n°2 Source : http://www.etudiantinfirmier.com CAS CONCRET : LA R.T.U.P. questions + corrigé Ce 14 juin 2002 à 6h30, vous prenez en charge dans le service d’Urologie où vous êtes affecté(e), Monsieur A., âgé de 69 ans, qui doit subir sous anesthésie péridurale une résection trans-urétrale de la prostate. Présentation de Monsieur A. : • Monsieur A. habite avec son épouse dans un village situé à 8 Km du Centre Hospitalier Universitaire. • Monsieur A. est un retraité actif, toujours

saignements anormaux dans la vie courante (coupure, brossage des dents, rasage, menstruation). Etat actuel de la maladie avec le traitement en cours et l’évaluation faite par les spécialistes. Chirurgicaux. Anesthésiques. Types : anesthésie générale, anesthésie locorégionale, sédation Accidents ou incidents personnels ou familiaux : anaphylaxie, retard de réveil, nausées et/ou vomissements postopératoires, hyperthermie maligne, porphyrie. Allergiques. Médicamenteux : antibiotiques, curares

morphiniques comme le paracétamol, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ou encore le néfopam. Les morphiniques peuvent également être administrés en systémique (sous-cutané ou en analgésie auto-contrôlée par le patient (ACP)), notamment après anesthésie générale. Cependant, l’utilisation de morphiniques s’accompagne d’effets indésirables parmi lesquels on retiendra les nausées et vomissements, la sédation, le prurit, la rétention urinaire et la dépression respiratoire. Dans ce contexte, en raison

est retraité et pèse 64 kilos pour 1m75. Mr. C. à fait son entrée en service de chirurgie le 09/05/2012, son motif d’hospitalisation est une fibroscopie ainsi qu’une coloscopie. Cette dernière est un examen diagnostic et thérapeutique réalisé sous anesthésie générale permettant d’accéder à la cavité abdominale et pelvienne à l’aide d’une caméra optique. Mr. X. présente comme antécédents médicaux : un diabète non insulino-dépendant (diabète de type II), une hypertension artérielle (HTA), IDM inférieur