Tpe Cheveux

hygiène sont les trois mots d’ordres pour une toilette. ÉTONNEMENTS : * Le patient n’était pas du tout pudique. * L’AS n’a pas effectué de lavage des mains après avoir enlevé ses gants. * Il n’a pas été proposé au patient de se laver les cheveux, ni les dents. * La désinfection de l’environnement est faite très rapidement. * Le protocole de la toilette peut être réadapté par rapport au patient (ici, nous avons fais le dos avant les jambes permettant ainsi au patient de se recouvrir)

reçu par elle dans une jolie salle à manger d’hiver où elle déjeunait en jouant avec un singe attaché par une chaîne à une espèce de petit poteau garni de bâtons en fer. La comtesse était enveloppée dans un élégant peignoir, les boucles de ses cheveux, négligemment rattachés, s’échappaient d’un bonnet qui lui donnait un air mutin. Elle était fraîche et rieuse. L’argent, le vermeil, la nacre étincelaient sur la table, et il y avait autour d’elle des fleurs curieuses plantées dans de magnifiques

bougea plus. Un bras derrière la nuque, une main prise dans l’autre, elle renversait la tête, les coudes écartés. Il voyait en raccourci ses yeux demi-clos, sa bouche entr’ouverte, son visage noyé d’un rire amoureux ; et, par derrière, son chignon de cheveux jaunes dénoué lui couvrait le dos d’un poil de lionne. Ployée et le flanc tendu, elle montrait les reins solides, la gorge dure d’une guerrière, aux muscles forts sous le grain satiné de la peau. Une ligne fine, à peine ondée par l’épaule et la hanche

Quand nous sommes entrés dans la maison de Madame Thi, Anna s'arrêta de jouer. Je la vis me tournant le dos, assise devant son piano ; je ne pouvais pas voir son visage mais n'arrivais à plus détacher mon regard d'elle. Ses beaux cheveux roux étaient relevés en un chignon raffiné, dont quelques mèches rebelles en sortaient. Quand elle se retourna, sa beauté m'a ébloui. Ces grands yeux enfoncés couleurs noisette pétillaient, resplendissaient et dégageaient une belle et douce lumière. Il m'était impossible

surtout, il était entouré de plumes noires. Le prêtre, un homme de petite taille, un peu gros, juste quelques cheveux gris sur le crâne, était celui qui avait vu le corps en premier, au petit matin. Dès qu’il vit le corps, il appela le commissariat. Cinq minutes après l’appel, le commissaire était déjà présent au lieu où le crime à eu lieu. Il était grand, assez costaud, une coiffure, les cheveux courts et bruns, toujours avec un long manteau marron sur le dos et d’apparence sympathique. A la vue du

Un jour la maman d’Hugo voit que ses cheveux sont vraiment trop long, et lui dit d’aller chez le coiffeur, mes il veut pas. Arrivé au salon de coiffure de monsieur Momo, Hugo lui demande « pas trop dégager derrière les oreilles ».Mais il ne l’écoute pas. Des que sa mère revenu le chercher elle est chauve. Hugo se regarde dans la classe lui aussi est chauve il court vite chez lui et dans la rue tous le mondes est chauve. Arrivé chez lui son chat Rodolphe na plus de poils lui non plus. Dés que tous

cause du travail et de son évolution. On peut voir à travers le comportement de Xénia et Gérard l'évolution et le changement qu'il y'a eu dans leur vie grâce au travail qu'ils ont. Xénia : « strict tailleur gris, plus cette odeur de pauvreté et cheveux coiffés en chignon ». Qentin grâce au poste qu'il tient dans son travail il a l'autorité et le pouvoir. Question 2 : Analyse et interprétation Xénia et Gérard ont changé de situation ils ont un travail, une meilleur vie qu'auparavant et des

de lui faire un massage du cuir chevelu pour essayer de la détendre. Lorsque j’ai commencé à lui passé mes mains dans ces cheveux, elle me dit avec étonnement : « Oh ! Quelle douceur, c’est très agréable » touché et rassuré de lui faire du bien et de la détendre, je l’ai remercié et j’ai continué avec le sourire aux lèvres. Après ce court massage, j’ai coiffé ses longs cheveux blancs d’une tresse et lui mit du parfum et de la crème sur son visage et ses mains. Tout de suite après ces soins, j’ai

LE DÉSORDRE DE TON NOM Juan José Millás C’était un mardi de fin d’avril à cinq heures de l’après-midi. Julio Orgaz était sorti de la consultation chez son psychanalyste dix minutes avant ; Il avait traversait la rue Príncipe de Vergara et entrait maintenant dans le parc de Berlin, essayant de dissimuler avec les mouvements de son corps l’anxiété que trahissait son regard. Le vendredi précédent, il n’avait pas réussi à voir Laura dans le parc, et cela avait provoqué en lui une sensation

A une mendiante rousse Blanche fille aux cheveux roux, Dont la robe par ses trous Laisse voir la pauvreté Et la beauté, Pour moi, poète chétif, Ton jeune corps maladif, Plein de taches de rousseur, A sa douceur. Tu portes plus galamment Qu'une reine de roman Ses cothurnes de velours Tes sabots lourds. Au lieu d'un haillon trop court, Qu'un superbe habit de cour Traîne à plis bruyants et longs Sur tes talons ; En place de bas troués, Que pour les yeux des roués