Tradition

droits de la personne : l'excision » (Fatou Keïta). Elle conçoit donc son œuvre dans le cadre des droits de l’homme, ou plutôt de la femme. C’est ainsi que, en plus de l'excision comme thème, Fatou Keïta réussit à faire une comparaison entre la tradition et l'occident afin de montrer la difficulté de mélanger les deux pour y trouver un bon équilibre. Elle raconte l'histoire d'une jeune fille africaine, Malimouna, qui refuse d'être excisée et qui réussit à le cacher jusqu'à son mariage forcé à l’âge

pourquoi je crois que l'histoire et le patrimoine sont intimement reliés à toutes les facettes de la création. C'est très intéressant, par exemple, de voir qu'une oeuvre d'art, qui paraît révolutionnaire au moment de sa création, fait partie de la tradition dix à quinze ans plus tard. Tout va vraiment très vite. C'est une façon de construire une continuité. • «Une des Idées que l'on peut qualifier de post-moderne, c'est que si on veut une ville avec une continuité, de l'animation, il faut avoir des

corpus illustre l’objet d’étude identité et diversité. INTRODUCTION ? Pour ma part Je pense qu’il ne faut pas abandonner ses habitudes, ses coutumes et ses traditions pour accompagner la transformation de la société car ils elles font partie de nous, de notre personnalité et si on venait à perdre ses coutumes ou alors ses traditions cela voudrait dire que l’on oublie nos ancêtres, que l’on oublie d’où l’on vient car l’identité d’un homme ou d’une femme est marqué par des évènements qu’ils traversent

qui est librement légué aux générations suivantes. Et il n'y a pas de meilleurs héritiers que ceux qui choisissent librement de cultiver ce que le passé leur a transmis, confié, pour inventer encore. C’est à ce titre qu’intervient le respect à la tradition dans la pièce théâtrale "le gong à bégayé" de Apollinaire AGBAZAHOU qui fait l’objet de notre exposé. 1- Résumé de l’œuvre Le gong, c’est l’instrument d’un rituel quotidien qu’exécute le Kpanligan, l’équivalent du griot au palais du roi du Danxomè

existe trois types de familles : la « famille-souche » au centre de sa pensée, archétype d’une structure familiale propre à assurer la perpétuation des valeurs, et qui vient d’un rejet : de la « famille patriarcale » trop porté sur le culte de la tradition, et de la « famille instable » apparu avec l’industrialisation et la recherche constante de nouveauté. a.la monographie familiale et l’analyse comparative comme objets d’études : « l’enquête directe » La monographie devient au 19e siècle

familles des futurs époux. Le futur mari est habituellement plus âgé que la fillette ou l’adolescente. Les futurs époux viennent généralement de la même ethnie, d’une classe sociale identique, d’une même religion (…). C’est un mariage coutumier, de tradition mais aussi économique. C’est dans ce sens que Seydou Bodian développe dans son roman Sous l’Orage le thème de mariage en général et en particulier celle forcée. I. Le mariage forcé dans la société : Le mariage forcé, ou sans le consentement des

que partagent les individus formant une société. L’alimentation fait partie intégrante de la culture. La culture Réunionnaise ou Asiatique par exemple se manifeste à travers des habitudes et des traditions culinaires qui se différencient clairement par exemple à celles de la Belgique. Ces traditions ont une histoire qui remonte aux habitudes alimentaires de leurs ancêtres et qu’ils les ont transmise. Ainsi nos goûts et nos dégoûts, nos aversions alimentaires ne sont que le résultat de notre

venu. Selon le Talmud (tradition) mourir des suites d’une maladie est un don du ciel, accordé a l’humanité. Elle offre en effet au patient le temps de se repentir avant de présenter son âmes a dieu. La mort est une consécration de l’achèvement de la mission terrestre de l’homme. Son âme accède alors a un monde proche de l’eternel. Lorsque le décès est ressenti, les soignants informeront les proches afin qu’ils se chargent de l’accompagnement spirituel. C’est une traditions d’assister le mourant

Les traditions des mariages autour du monde Les mariages sont souvent de grands moments d’émotion. Ces cérémonies qui unissent deux êtres amoureux se célèbrent dans le monde entier. Chaque pays possède ses propres traditions et parfois, elles peuvent s’avérer être surprenantes : recouvrir les mariés de mélasse, tirer à l’arc sur sa future épouse ou encore ne pas utiliser la salle de bains pendant 3 jours sont des pratiques que des millions de jeunes mariés ont dû accomplir ! Aujourd’hui on

groupe dans lequel l’individu va être amené à vivre, elle engendre un habitus de classe. Un habitus définit une manière d'être, une allure générale, une tenue, une disposition d'esprit. La culture est un ensemble de connaissances, de savoir-faire, de traditions, de coutumes, propre à un groupe humain, à une civilisation. « Nous avons fait de la culture l’un des superbes mais fragiles châteaux de sables qui se défont au premier coup de vent. » En quoi cette citation de Vargas Llosa correspond-elle