Tragédie Les Bonnes De Genet

concordances ou éventuelles discordances entre les deux sortes de langage, ainsi que sur les problèmes d’interprétation » (Accompagnement des programmes, 2001). Alors que le programme de Seconde privilégie l’étude des genres et des registres classiques (tragédie et comédie), on aborde en classe de Première les genres mixtes ou complexes (tragi-comédie, comédie-ballet, drame, théâtre moderne et contemporain dont le genre n’est pas codifié), les registres pathétique, ironique ou satirique, et enfin les effets

l'imitation directe des actions. Récits envahissants à l'intérieur de la tragédie classique, car pas représenter pour cause vraisemblance et bienséances. Ex : mort de Théramène, long récit. Combat aussi des Horaces et des Curiaces. Action violente pas représentée non plus. Récits riches en hypotyposes à la place de la monstration. Mettre sous les yeux de l'esprit, de l'imagination. Pas montrée concrètement. Interdiction dans tragédie classique de représenter des actions violente. Caractérise aussi le

privilégie l'importance de l'action, les acteurs ne vont pas décrire ce qu'ils mais le faire et c'est au spectateur de faire son interpretation. La pensée n'est pas guidée et le spectateur est libre de son avis. On retrouve dans les comédies et les tragédies cette notion de plaire. « L'école des femme » de molière est une comédie classique qui respecte la règle des trois unités instauré l'Abbé Aubignac pendant le dévelloppement du classicisme au XVIIeme siècle. Cette règle en trois partie, a pour but

allitérations – guin/ga puis bri/ bra – et des effets de rimes en ette, en o et en ller. La brièveté des répliques, les effets de reprises et d’opposition donnent à l’échange cette vivacité, cette tension qui est propre à la stichomythie des tragédies antiques et classiques. Feu d’artifice qui réduit la joute verbale à n’être qu’un jeu ? 2. Par sa dernière réplique, insolente pour le Comte, les autres puissants et ceux qui les courtisent, Figaro rappelle que Bazile n’est qu’un domestique, comme

Explication : Jean Genet, Les Bonnes, 1947, scène d’exposition. Dans Les Bonnes, Genet dénonce la condition des domestiques et défend les opprimés. Il démontre que les rapports entre les maîtres et les valets sont des rapports de dominant/dominé, de violence et d’humiliation. Les bonnes se trouvent réduites à leur condition sociale et perdent leur identité propre, sombrant dans le tragique. Dans ce début, les deux domestiques, Claire et Solange, qui sont également sœurs, jouent une pièce de

mieux établies semblent s'effacer dès qu'elles paraissent sur les tréteaux du "comique". Corneille lui-même écrira de son essai dramatique que "le premier Acte n'est qu'un Prologue, les trois suivants font une Comédie imparfaite, le dernier est une Tragédie, et tout cela cousu ensemble fait une Comédie". Les êtres picaresques qui peuplent ce théâtre rapiécé circulent d'un bout à l'autre de l'échelle sociale sans trop s'embarrasser de la qualification dramatique exacte de leurs actions. Un personnage

ciel de haillons, des diamants de verre, de l'or de clinquant, du fard sur la pêche, du rouge sur la joue, un soleil qui sort de dessous la terre. », autrement dit le théâtre n’est qu’une illusion, un miroir grossissant de la réalité. En effet, les tragédies doivent représenter des passions intenses qui purgeraient les spectateurs de leurs propres passions. Celles-ci sont donc intensifiées et mises en forme par le texte de théâtre. Dans la comédie, la réalité est elle aussi déformée : Les personnages

Introduction a) Présentation de l’auteur+ contexte historique et littéraire : Dans Les Bonnes, Genet dénonce la condition des domestiques et défend les opprimés. Il démontre que les rapports entre les maîtres et les valets sont des rapports de dominant/dominé, de violence et d’humiliation. Les bonnes se trouvent réduites à leur condition sociale et perdent leur identité propre, sombrant dans le tragique. 
b)présentation du texte : deux domestiques, Claire et Solange qui sont également sœurs jouent

de ces deux pièces s'expriment de manière incompréhensible ou pédante , et au lieu d'instruire et de s'instruire , semblent au contraire encourager la ''désinstruction'' : les femmes savantes admirent un faux savant (citer) qui les éloignent du vrai bon goût . Les textes même de la Bruyère amènent à nuancer son propos : s'il ne s'agissait que d'instruire , il pourrait se contenter des aphorismes de De la cour et Des grands : les Caractères y ajoutent une forme narrative , la création de personnages

Racine se sont consacrés à la Tragédie et Molière s'est voué à la Comédie. *La Tragédie. La Tragédie est soumise à des règles très strictes. Il y a trois unités : -Unité d'action : l'intérêt doit être concentré sur un seul fait ou sur une seule crise morale. -Unité de lieu : un seul lieu donc un seul décor, neutre. Le plus souvent une antichambre de palais. -Unité de temps : toute l'action se déroule en 24heures. A cause de ces trois unités, la Tragédie est chargée de récits : les actions