Traînée de condensation

y a des malades et il faut les guérir. Ensuite, ils réfléchirent et moi aussi. Mais le plus pressé est de les guérir. je les défends comme je peux, voilà tout. - Contre qui ? Rieux se tourna vers la fenêtre. Il devinait au loin la mer à une condensation plus obscure de l'horizon. Il éprouvait seulement sa fatigue et luttait en même temps contre un désir soudain et déraisonnable de se livrer un peu plus à cet homme singulier, mais qu'il sentait fraternel. - Je n'en sais rien, Tarrou, je vous

a des malades et il faut les guérir. Ensuite, ils réfléchiront et moi aussi. Mais le plus pressé est de les guérir. Je les défends comme je peux, voilà tout. – Contre qui ? Rieux se tourna vers la fenêtre. Il devinait au loin la mer à une condensation plus obscure de l’horizon. Il éprouvait seulement sa fatigue et luttait en même temps contre un désir soudain et déraisonnable de se livrer un peu plus à cet homme singulier, mais qu’il sentait fraternel. – Je n’en sais rien, Tarrou, je vous jure

malades et il faut les guérir. Ensuite, ils réfléchirent et moi aussi. Mais le plus pressé est de les guérir. je les défends comme je peux, voilà tout. - Contre qui ? Rieux se tourna vers la fenêtre. Il devinait au loin la mer à une condensation plus obscure de l'horizon. Il éprouvait seulement sa fatigue et luttait en même temps contre un désir soudain et déraisonnable de se livrer un peu plus à cet homme singulier, mais qu'il sentait fraternel. - Je n'en sais rien, Tarrou, je

contre certaines déceptions, dit-il en se penchant vers elle. — Je le sais parfaitement. Seulement... Elle s’arrêta, et Garrett finit calmement sa phrase. — — C’est votre fils, et vous ne voulez pas le voir souffrir. Exactement. Des gouttes de condensation s’étaient formées sur la paroi de sa bouteille, et Theresa se mit à arracher l’étiquette. Catherine aussi avait cette manie. – 132 – Garrett but une autre gorgée de bière et dut faire un réel effort pour revenir à leur conversation. — En tout

endroit-là depuis des mois, voire mème des années: le 8 juillet 1947: quatre différents objets non identifiés en forme de disque sont aperçus audessus de MUROC AFB et du terrain d'essais secret de Rogers Dry Lake; le 31 août 1948: un grand objet avec une traînée de flammes bleues, longue de plus d'1 km; passe au dessus de MUROC à 17.000m d'altitude; le 14 juin 1950: un pilote de la marine et différents pilotes civils observent un astronef en forme de cigare à 40m à l'est de MUROC; le 10 août 1950: Robert

trop rapidement symbo­ lisés et, en quelque manière, trop intéressants. De tels conseils ne sont peut­être pas  aussi dépourvus d'actualité qu'il semblerait à première vue. Quelquefois, en ensei­ gnant la Chimie, j'ai eu l'occasion de suivre les traînées d'Alchimie qui cheminent  encore dans de jeunes esprits. Par exemple, tandis que je faisais, durant une matinée  d'hiver, de l'amalgame d'ammonium, du beurre d'ammonium comme disait  encore  mon vieux maître, tandis que je pétrissais le mercure foisonnant

quand on arriva à la cote 200, et même les journaux en parlèrent. Mais autour du chantier la foule ne stationnait plus, ce ridicule chapeau de brouillard nous cachait complètement à leurs regards. Et les journaux louaient l’artifice : cette condensation de vapeurs – expliquaientils – empêchait les ouvriers travaillant sur les structures aériennes de remarquer l’abîme qui était au-dessous d’eux ; et cela leur évitait d’avoir le vertige. Grosse sottise : tout d’abord parce que nous étions désormais

même détermination jusqu'à ce que d'autres briques se forment. Lorsque le nombre de briques est suffisant, celles-ci construisent un immeuble en se positionnant les unes sur les autres et les unes à côté des autres, après avoir été accidentellement traînées par les effets des éléments naturels tels que les vents, les tempêtes ou les tornades. Pendant ce tempslà, les matériaux comme le ciment ou le mélange de terre se forment dans des "conditions naturelles" au bon moment et se glissent sous les briques

l’effet de labyrinthe s’amplifie avec la perte de la notion temporelle. Le lit du peintre donne sur les bureaux où attendent les accusés et sur la cathédrale elle-même puis sur le terrain vague. Enchainement qui accèlére la vertigineuse plongée de K. Condensation de tous ces lieux qui le relie jusqu’à la destruction totale. Théâtre communique avec gare d’Orsay et lieux de justice. Interprétation : la perte de soi; la difficulté à déchiffrer ce qu’on lui demande; illisibilité des signes qui sont perçus

tout en reliefs durs avant de s’écouler le long de ses jambes. Son corps était une œuvre d’art, une machine qu’il entretenait à la perfection. J’aimais son corps. Le regarder, le toucher, le savourer. Il étendit le bras pour essuyer la condensation du plat de la main et son beau visage m’apparut. Un sourcil aile de corbeau s’arqua en une interrogation silencieuse. — J’admire le spectacle, expliquai-je. Mes sens réagissaient au parfum de son savon, habitués qu’ils étaient à identifier