Traité de Noyon

Ottomans relance l’esprit de reconquête). Ce mouvement est impulsé par le Portugal : les souverains patronnent des expéditions maritimes vers l’Afrique dans le but de ramener de l’or (Soudan), du sel, du sucre… C’est aussi à ce moment que débute la traite des Noirs (milieu du xve siècle). En 1476, le Génois Christophe Colomb développe le projet d’aller aux Indes en naviguant vers l’ouest. Son objectif est d’atteindre le Japon, dont Marco Polo (marchand vénitien du xıııe siècle qui a résidé en Chine)

matière » ; • il existe de nombreuses interférences entre les différentes filières ; • en règle générale, les procédés de traitement sont coûteux, mais les effets d’échelle sont importants. Il est donc nécessaire de prévoir grand, de collecter et de traiter beaucoup, pour parvenir à des coûts intéressants ; • malgré une orientation politique de plus en plus favorable à la valorisation, les entreprises du secteur sont souvent très dépendantes des marchés internationaux des matières premières ; • enfin

Gaule. Ces peuples sont indépendants mais vivent en bonne entente. On ne les connaît que grâce aux témoignages littéraires et archéologiques. Cette civilisation est très variée selon les lieux et les époques, mais aussi très riche. On observe des traits communs entre ces peuples sur les plans culturel, social et institutionnel. Sur le plan culturel, les Celtes forment une communauté linguistique grâce à des langues relativement proches. Le tronc commun à ses langues a donné naissance au breton et

CHAMPAGNE. * NOTES DE HORSTIUS ET DE MABILLON * LETTRE XXXVIII. AU MÊME, SUR LE MÊME SUJET. * LETTRE XXXIX. AU MÊME. * NOTES DE HORSTIUS ET DE MABILLON * LETTRE XL. AU MÊME. * LETTRE XLI. AU MÊME. * LETTRE XLII DE SAINT BERNARD OU TRAITE A HENRI, ARCHEVEQUE DE * SENS SUR LES MOEURS ET LES DEVOIRS DES ÉVÊQUES * CHAPITRE I. Difficultés de l’épiscopat et par suite nécessité pour un évêque d'avoir de bons conseillers. * CHAPITRE II. Ce qui rend les dignité ecclésiastiques honorables

début, nous refusons de lui obéir. Nous dormons dans le jardin, nous mangeons des fruits et des légumes crus. Le matin, avant le lever du soleil, nous voyons Grand- Mère sortir de la maison. Elle ne nous parle pas. Elle va nourrir les animaux, elle trait les chèvres, puis elle les conduit au bord de la rivière où elle les attache à un arbre. Ensuite elle arrose le jardin et cueille des légumes et des fruits qu'elle charge sur sa brouette. Elle y met aussi un panier plein d'œufs, une petite cage avec

méditerranéennes et la Catalogne où il s’imprégna d’influences mozarabes. Les emprunts furent donc multiples. A partir des années 1050, les nouveautés décisives dans la structure des édifices et dans le style de la statuaire se généralisèrent. Des traits communs se dégagent. Les constructeurs adoptèrent généralement le plan basilical (grande salle rectangulaire), le culte des reliques et la multiplication des clercs rendirent ces ajouts nécessaires. Un transept (corps transversal, qui sépare le chœur

seul recours dans un empire qui s’écroule. L’empire a de plus en plus de difficultés avec les barbares. Au 5ème siècle, certains peuples barbares sont déjà dans l’empire. Au 4ème siècle, les romains les avaient installés dans l’empire en passant un traité. Ce sont des fédérés. Ils ont une obligation : défendre Rome, contre les peuples qui restent dehors du Limes. Cette installation était indispensable (car on avait besoin de renforcer les troupes, donc de soldats nouveaux). Parmi ces peuples, un peuple :

du droit. Il s’agit de la question la plus difficile de la philosophie du droit. Dans le traité « du politique » où Platon définit la science politique, on peut lire que la mission de l’homme politique, est la découverte du juste (dikaion) accessoirement aussi des lois (nomoi). Ces deux termes peuvent être traduits par le mot « droit ». Ces deux notions sont étudiées plus spécialement dans deux grands traités : « la république » et « les lois », pour Platon, le rôle du juriste n’est pas seulement

XIè s. D’où une présentation qui choisit d’isoler les 7 premiers siècles du M.A par rapport aux trois suivants, largement annonciateurs des intuitions de la modernité. Concentrons-nous donc sur ces 7 siècles et sur leur histoire juridique. Deux traits essentiels les individualisent : * la disparition d’une autorité politique unique, investie d’un pouvoir sacralisé, édictant une norme reçue et appliquée sur un large territoire (1ère partie : l’effacement rapide du pôle normatif unifié) ;

opportunités différentes de s’épanouir pleinement, ce qu’on appelle un « capital humain » différent. n Les pouvoirs publics doivent-ils mettre en place des mesures qui corrigent ces inégalités, choyer davantage ceux qui ont moins ou bien doivent-ils traiter tout le monde de manière identique ? L’Assemblée Générale proclame la présente Déclaration universelle des droits de l’homme comme l’idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations afin que tous les individus et tous les organes