Traitement des semences

..... 97 4.1.1.1 Semences et plants ................................................................................................... 97 4.1.1.1.1 Semences céréalières ............................................................................... 97 4.1.1.1.2 Semences des légumineuses alimentaires............................................... 100 4.1.1.1.3 Semences fourragères ............................................................................ 102 4.1.1.1.4 Semences de pomme de terre

production grâce aux brevets déposés (sur les semences OGM).Donc, les agriculteurs sont interdits de ressemer les semences récoltées. Cette interdiction représente une menace pour l’agro biodiversité. De plus, la commercialisation des OGM risque d’affaiblir l’économie des pays en développement (car les agriculteurs s’endettent pour acheter des semences dont le prix est 3 fois plus cher que celui des semences traditionnelles, s’en oublier que les semences ne sont pas réutilisables). III) Les OGM

technique Choisir un précédent et un type de sol ; indiquer éventuellement les variantes par rapport à cette situation. A partir de la récolte du précédent : Amendements Travail du sol Choix de la variété Fertilisation Semis ou plantation, traitement des semences Désherbage Protection phytosanitaire Irrigation s’il y a lieu Récolte Par opération technique, indiquer les périodes d’intervention, le matériel et les produits utilisés (doses/ha, matières actives, unités fertilisantes…). Chaque fois

| | | | | | | | | | | | |Traitement individuel biologique aérobie des effluents| |à | | | | |avec épandage agréé uniquement sur les surfaces de |

ainsi qu’avec le C.D.H., on a avec le type d’engrais 10 – 10 – 20. Pour le chou, sa date d’épandage est de 20 à 35jours après repiquage et son dose d’engrais est de : 20g/m2 Pour la mise en place des cultures du semis en pépinière Spéculation Semences pour 100 m2 de culture Séjours en pépinière (en jours) Chou 7g/2 m2 25 – 35 Les doses suivantes sont recommandées (cf. : fiches techniques C.D.H.) Culture Fumure de fond / are Matières organique (en Kg) Engrais minéral (10-10-20) en

services essentiels : Services « d’approvisionnement » : prélèvement d’une matière première : nourriture, eau douce, médicaments… Environ la moitié des médicaments de synthèse ont par exemple une origine naturelle. Services « de régulation » : traitement de l’eau (une espèce de plante aquatique locale permet de réduire de moitié en 24 heures le taux d’uranium dans un cours d’eau), production d’oxygène par les végétaux, rôle d’« éponge naturelle » des zones humides permettant de limiter le risque

les IAA employant les produits de ces transformations. Les schémas suivants présentent les limites des domaines étudiés. 9 Autoconsommation 10MT Sélection Production agricole Stockage 1ère Transformation Alimentation Animale 10 MT Semences Import 0,6 MT 64 Mt Grains Grains 22Mt Export 30 MT Malterie orge & blé 1,6 MT Alimentation humaine Amidonnerie blé & maïs 3 MT Meunerie blé tendre 7 MT Semoulerie blé dur 0,6 MT Semoulerie maïs 0,4 MT 2nde Transformation

est introduit dans la bactérie Escherichia coli, afin que cette dernière produise l’insuline humaine. En 1983, le Canada autorise la production commerciale d’insuline à partir de l’E. coli GM. Aujourd'hui, cette insuline est utilisée dans le traitement du diabète Les années 80 : le développement d’une technique d’insertion chez les végétaux : La technique la plus fréquemment utilisée pour accomplir une transgénèse chez les végétaux, est le transfert du gène par l’entremise d’une bactérie

donneur. La première étape commence au troisième ou cinquième jour de vos règles, avec des injections de médicaments quotidiennes intramusculaires ou sous-cutanées. A partir du dixième jour, on commence à surveiller la stimulation des ovules. Le traitement évoluera en fonction des résultats obtenus. Certains effets secondaires sont associés à cette technique : troubles de la vision, nervosité, insomnies, bouffées de chaleur, maux de tête et troubles digestifs. Les règles peuvent être plus abondantes

d’accroître les profits des entreprises et le PNB de la nation. Les semences sont modifiées afin de répondre à des critères de rentabilité maximale. Rendues volontairement stériles ou dégénérescentes, elles sont brevetées, obligeant les paysans, qui se transmettaient ce patrimoine de génération en génération depuis des millénaires, à les racheter chaque année. Aujourd’hui, cinq multinationales contrôlent près de 75% de la semence potagère au niveau mondial. 96% des tomates inscrites au catalogue officiel