Traitement

un médecin d’une substance qui va provoquer la mort Euthanasie passive : arrêt d’un traitement, de l’hydratation qui entraine la mort = arrêt brutal = s’oppose à l’acharnement thérapeutique Laisser mourir : loi Léonetti 2005 : médicaments antidouleurs qui plongent dans le coma et entrainent la mort. Pas d’arrêt brutal comme euthanasie passive. S’oppose à l’acharnement thérapeutique Sédation profonde : traitement qui plonge dans une inconscience totale. Réveil après 24h et on décide si on veut continuer

Fonction Evaluation: Fournir les informations nécessaires pour évaluer la qualité des soins et éventuellement d'estimer l'importance de certains problèmes. Contenu • • • • • les motifs de l’admission à l’hôpital l’histoire médicale du patient les traitements prescrits et appliqués les actes pratiqués l ’évolution de la maladie LE DOSSIER MEDICAL : Standards de la JCAHO • JCA.H: Joint commission on the accreditation of health care organizations. Aux Etats-Unis, commission composée des représentants

être multiples et différenciés en fonction des différentes étapes. L’hypothèse de l’automédication L’hypothèse de l’automédication très souvent évoquée nous semble également proposer une perspective intéressante et utile à nos réflexions sur le traitement des personnes toxicodépendantes. Cette perspective selon laquelle le recours aux drogues serait une tentative de réguler son vécu émotionnel, d’atténuer ses souffrances ou encore de faire face à des difficultés relationnelles ou existentielles nous

faite entre le traitement médical et les soins de confort : «Les professionnels de santé mettent en œuvre tous les moyens à leur disposition pour assurer à chacun une vie digne jusqu'à la mort. » Par ailleurs, en France l’euthanasie n’est pas autorisée. Cependant la loi Léonetti dit : « Si le médecin constate qu'il ne peut soulager la souffrance d'une personne, en phase avancée ou terminale d'une affection grave et incurable, quelle qu'en soit la cause, qu'en lui appliquant un traitement qui peut avoir

puis dirigé en appartement thérapeutique. Plusieurs hospitalisation aux mureaux : rires imotivés, entend des voix de femmes qui l'insultent. Depuis son arrivée à Montreuil : 11 hospitalisation Libres à Bondy pour crises d'angoisses hallucinatoires Traitement : Clozapine cp 100mg : 3 0 4 Neuroleptique atypique (générique de LEPONEX) -> propriétés anti-psychotiques Effets secondaires : Baisse du nombre des globules blancs, généralement réversible (voir Attention), mais parfois aussi augmentation du nombre

Les facteur favorisant. FACTEUR EXTERNE Accident de travail, maladie professionnel. > Mécanique ([Metier manuel] Usine, Cisaillement, Pression, Contontion, Jardinage, Meunuiserie, Cuisine, Frigoriste.) > Irrariation (Traitement des déchets, Centrale nucléaire labo/traitement, chimio). >Chimique [pesticide, amiante] (Agriculture, nettoyage/technicien de surface, coiffeur). >Environnemental : Froid, eau, flore, faune. (Zoo, veterinaire, fleuriste, orticulteur). Accident dommestique. > Mécanique

doux en mousse et de sangles s'attachant par système de velcro. On peut protéger la peau contre les frottements avec un jersey, un tee-shirt.... Indications du traitement : Le médecin prescrit, selon la pathologie, un type de coussin avec un degré d'abduction adapté. Chez le nouveau-né porteur d'une hanche luxable, le traitement doit être très simple. Plusieurs techniques de langeage en abduction sont possibles mais la consultation d'un chirurgien orthopédiste s'impose pour en faire le choix

bénéfice du patient. Les traitements neuroleptiques, certes atténuent la fougue mais à défaut endorment l’esprit et ne soignent pas mais empêchent l’expression du psychisme et du corps. La nouvelle psychiatrie devrait plus mettre en pratique ces techniques modernes d’écoute corporelle car elles ne peuvent qu’aider le patient à se sentir mieux, mais elles permettent également au soignant d’exercer une thérapeutique plus centrée sur le corps et l’esprit et moins sur le traitement oral.

interdit l’acharnement thérapeutique et autorise un médecin, après avis collégial et autorisation des proches ou du patient, à appliquer un traitement antidouleur «qui peut avoir pour effet secondaire d’abréger sa vie», mais non de provoquer la mort. La frontière est mince avec «le droit au laisser mourir» de l’euthanasie passive (c'est-à-dire le renoncement aux traitements médicamenteux, l'interruption de l'alimentation ou de l'hydratation artificielle ou l'administration d'opiacées ou de sédatifs à haute

vésical elle sera retiré le 5 août avec reprise mictionnelle. L’infection urinaire est traité par antibiothérapie (Rocipine) avec une bonne évolution clinico-biologique. Le traitement est poursuit par Xatral LP 10mg (0.0.1), un contrôle de la fonction rénale est à réaliser une fois par mois, il est conseiller d’éviter tout traitement néphro-toxique et les substances iodées. Le 6 septembre 2014, il présente une dyspnée avec désaturation à 88% en air ambiant et une majoration des œdèmes des membres inférieurs