Traité Du Beau Diderot

de la grand-mère, Mme Pornelle, et a manipuler son fils, Orgon. Mais le rste de sa famille a lu dans le jeu de Tartuffe et tente de faire comprendrea orgon que Tartuffe ne cherche que son proper interet et quil le menera a sa perte. Comme Cléante, beau-frère d’Orgon, lorsquil essaye vainement de le détromper sur le caractère du personage dans sa replique: « Certes, c’est une chose aussi qui scandalise De voir qu’un inconnu céans s’impatronise ; Qu’un gueux, qui, quand il vint n’avait pas de souliers

Les pièces de Victor Hugo, mais aussi celles de Musset, reprennent tous les règles de la dramaturgie romantique en multipliant les personnages et les lieux, mêlant le vers et la prose, le style haut et le style bas, le sublime et le grotesque, le beau et l'horrible. Dans cette préface apparait aussi la théorie des trois âges (Les temps primitifs : Les hommes encore proche de l'innocence universelle s'adonnent à la vie pastorale, ils sont naïfs et pieux. Ils créent des formes poétiques, c'est l'âge

engagement et de son combat pour les valeurs des Lumières. II. Œuvres principales De son immense œuvre littéraire, on lit aujourd’hui essentiellement ses contes et romans, où se concentre le meilleur de l'écrivain — la fantaisie, la finesse du trait, le bonheur de l’écriture, l’esprit du philosophe —, mais aussi les Lettres philosophiques, le Dictionnaire philosophique et sa prodigieuse correspondance, plus de 21 000 lettres retrouvées. Son théâtre, ses poésies épiques, ses œuvres historiques

en Allemagne n’a pas opposé radicalement classicisme et romantisme. Ce sont deux notions qui ont coexisté. L’œuvre de Goethe montre cette oscillation entre raison et cœur : En même temps qu’il publie Les souffrances du jeune Werther, il publie des traités scientifiques, s’intéressant à l’optique, à la botanique… La période qui précède le romantisme est le « Sturh und Drang », titre d’une pièce de Klinger, (1777), (« tempête et assaut »). Protestation, génie, tempête intérieure, surgissement des

l'intérêt, de l'argent : la guerre coûte de l'argent, et parfois en rapporte. (L. 18 à 23) - Champ lexical de la violence, de la cruauté : le soldat et celui qui l'envoie sont des assassins. (L. 23 à 30) Les figures de style - "Cette province […] a beau protester" : métonymie et personnification : les habitants du pays sont assimilés à leur pays, (ligne 6) - Anaphore de « que » : "qu'elle ne le connaît pas, qu'elle n'a nulle envie […], que, pour donner …" : sert à montrer la multiplicité des bonnes

En 1728, il est accueilli par Madame Warens qui possède la propriété Les Charmettes près d’Annecy. Cette jeunesse va le marquer. Toute sa vie sera faite de liaisons (amoureuses : Thérèse Levasseur avec qui il aura cinq enfants ; philosophiques : Diderot, Hume) et de ruptures (Thérèse Levasseur, d’Alembert et Voltaire). Cet homme est aussi un musicien, un herboriste, mais c’est surtout quelqu’un qui va partir à la recherche de son « moi », de son identité. Il terminera ses jours chez le marquis Gérardin

siècle. En somme, le XVIIIème siècle est placé sous le signe du bouleversement qui anéantira un système politique et social en établissant un ordre nouveau. Les salons féminins représentent le milieu littéraire par excellence. Ils ont été un trait marquant dans l’histoire de la littérature française du XVIIIème siècle car ils ont su rassembler les intellectuels de toute une époque. C’est l’union entre la culture et la société. De nos jours, ils offrent un véritable témoignage des différents

Le registre se définit par l’effet produit sur le lecteur. Les principaux registres sont : - Le registre comique : le lecteur rit. On peut distinguer dans ce registre les registres : ironique (dire le contraire de ce que l’on pense), burlesque (traiter les sujets graves, sérieux de manière légère, souvent grossière), satirique (véhiculer une critique). - Le registre lyrique : l'auteur cherche à faire partager les sentiments, souvent exaltés, qu'il éprouve. - Le registre pathétique : le lecteur

est L'Encyclopédie, un ouvrage de Diderot et d'Alembert qui regroupe toutes les connaissances et tous les savoirs. Lagarde et Michard, dans leur ouvrage sur le XVIIIe siècle ¹, le définissent comme une « grande œuvre collective destinée à diffuser les « Lumières » , à combattre l'intolérance et le despotisme, et à contribuer ainsi au bonheur de l'humanité ». Les philosophes des Lumières se sont ainsi intéressés à l'idée de bonheur. Ce thème avait déjà été traité au XVIe siècle avec l'Humanisme

|A = La Colombe est par exemple l’allégorie de la paix. | | | |Elle permet donc de rendre concrètes des données abstraites. |B = Mon beau navire ô ma mémoire | | | |B = L’allégorie représente de façon imagée (par des éléments descriptifs ou narratifs) les divers aspects d’une idée abstraite. Dans |Avons-nous assez navigué