Transformations Des Villes Revolution Industrielle

Les paysans de l’ouest produisent leur propre nourriture et n’exportent pas. – céréales sur les ¾ des sols Les céréales sont 10x plus rentables par unité de surface que le bétail. Il s’agit donc du régime alimentaire principal avant l’ère industrielle. Rendement céréalier : quantité récoltée/quantité semée => en moyenne 5/6 grains récoltés par grain semé, voire moins (rapport 4/1 dans la région genevoise) – consommation par jour et individu • 800 gr. à 1 kg. • 150 à 200 gr. sociétés préindustielles

la notion de révolution économique. On recense essentiellement quatre périodes : * l'économie préhistorique * la révolution néolithique et la naissance de l'agriculture * l'économie antique et la lente évolution médiévale * la révolution industrielle On peut aussi, bien que le phénomène soit très récent (moins de 50 ans) ajouter une cinquième période qui fondée sur la Révolution informationnelle fait basculer les économies développées dans l'économie post-industrielle. Sommaire  [masquer] 

ses principes toutes les évolutions qui ont lieu au cours de ce siècle. L’idée de la mobilité incessante, un autre trait du rationalisme, parcourt tout le XIXe siècle en trouvant sa propre expression à la succession des régimes politiques, des révolutions, des coups d’Etat, des courants littéraires. Au centre de toute pratique, c’est la liberté et l’indépendance individuelle et du groupe social qui sont mises en priorité contre les idées reçues du passé. Ainsi, ce siècle apparait profondément bouleversé

les ressources naturelles, la production agricole et navale. Sous le régime français, Québec n’est qu’un projet inabouti et ce n’est qu’avec la prise de pouvoir anglaise que la ville va réellement se développer et adopter une économie de type industrielle. Entre 1700 et 1709, on établit les premières fortifications à Québec. M. Bellin transforme l’ancien bastion en fort. Par la suite en 1720, à la demande du Roi, M. Gaspard Chaussegros de Levy établie de bâtir une citadelle, des murs et des bastions

XIXe s. à 1945  1 La paradoxale coexistence de la mondialisation et du nationalisme  1 Favorisés par la révolution technique, les échanges ne connaissent aucun réel obstacle monétaire et douanier La mondialisation de l’avant 1914 est favorisée par des facteurs économiques et techniques (essor des chemins de fer, des transports maritimes (vapeur), de la télégraphie). Ces révolutions mettent en compétition les territoires en exploitant les différences de prix. Londres est le 1er port mondial

clergé. Chapitre IV. La noblesse. Chapitre V. Noblesse parlementaire et noblesse administrative. Chapitre VI. La petite industrie. Les métiers et les corporations. Chapitre VII. L’évolution commerciale au XVIIIe siècle. Chapitre VIII. L’évolution industrielle au XVIIIe siècle. Chapitre IX. Les classes ouvrières et marchandes. I. Les artisans. II. Les marchands, les négociants, les directeurs de manufactures. III. Les compagnons. Chapitre X. Les gens de finances. Chapitre XI. Haute et moyenne bourgeoisie

C’est-à-dire, des confrontations d’idées politiques et de mutations de pouvoirs dans les empires européens, tout particulièrement entre le mouvement traditionaliste et la révolution des rationalistes capitulée par le Congrès de Vienne en 1815. Le retour au traditionalisme par une monarchie absolutiste en France se traduira par la révolution de juillet 1830 provenant du mouvement libéralisme qui engendra un mouvement socialisme revendiqué par la classe ouvrière. Alors, que la monarchie constitutionnel

1940-45 : 1/3de la pop, monde agricole, 7 à 8 millions vivent en zone rurale. Prise de conscience d’une nécessité de transformation à partir des années 50. Modernisation de la France rurale après 1945 Progrès techniques : passage des fermes traditionnelles aux grosses exploitations.Engrais, aliments pour le bétail, nouvelles variétés des plans, fort développement de l’élevage, révolution du tracteur. Facteur de changement : Etat d’esprit, modernisation considéré comme nécessaire, nouveau modèle

la disparition de grandes usines et une transformation du paysage industriel. En outre, l’insertion de la France dans l’économie monde, a conduit à un abandon progressif de la tradition interventionniste de l’Etat en matière industrielle (privatisations des années 80), bien que celui-ci reste le chef d’orchestre des politiques industrielles nationales. Cependant, la production ne s’est pas ralentie pour autant, et la France demeure une puissance industrielle réelle, située au cinquième rang mondial

d'Amérique. Alors que les révolutions éclatent un peu partout en Europe lors de la première moitié du XIXème siècle, l'Empire russe demeure le symbole de l'absolutisme et le champion de la réaction : le tsar Nicolas Ier – qui règne de 1825 à 1855 et dont la politique est résumée en 1833 en trois mots par son ministre Sergueï Ouvarov : «Autocratie, Orthodoxie, Nationalité» - est même surnommé « le gendarme de l'Europe » à cause de son énergie à défendre les monarchies contre les révolutions qui explosent à