Transylvanie

l’Afrique du Nord sous Soliman (le Magnifique, 1520-1566), lorsque les Ottomans envahissent une bonne partie du Maghreb – Maroc et Tunisie[19] exceptés – au détriment des Ibériques, puis le sud du domaine des Habsbourg (sud de la Croatie, Hongrie, Transylvanie). Le coup d’arrêt de l’expansion européenne est donné en 1529, quand les Ottomans échouent devant Vienne. Malgré tout, l’Empire Ottoman apparaît pendant tout le XVIe siècle comme la puissance militaire majeure d’Europe : terrestre, d’une part,

Roumanie. * Plusieurs nationalités qui cohabitaient : juifs, suaves, saxons ( émigration XVIII siècle). * Ces roumains (3 millions d’habitants) qui à la fin du XIX avaient entrepris un très gros effort de scolarisation. On estime que la Transylvanie avait 2500 écoles en 1900. Couverte d’école parce que les roumains avaient compris que par la scolarisation primaire, qui échappait encore aux instituteurs, ils pouvaient faire en sorte que la culture roumaine vive. L’apprentissage de la langue

février 1948 Francfort * * Prague (Tchèques) Munich * * Pologne prussienne * Vienne mars 1948 * (Hongrois) Milan Turin * (Italiens) * Venise *Ferrare *Florence TOSCANE * * Budapest * Transylvanie (Roumains) Zagreb (Croates) 400 km Rome Départs des mouvements révolutionnaires Centres révolutionnaires en Italie * Royaume de Prusse Empire d'Autriche Centres révolutionnaires en Autriche et dans la Confédération germanique

(Bohème-Moravie). A l’est : sud de la Pologne (divisée entre Russie, Allemagne et Autriche), région de la Galicie (au sud de Cracovie). Partie Hongroise : au nord, des slovaques (régions rurales dans la montagne). A l’est des roumains dans la Transylvanie, au sud des croates (Croatie) et beaucoup d’autres peuples mais moins nombreux. Jusqu’en 1867, l’empire d’Autriche est très unifié, pouvoir est à Vienne, l’empereur dirige tout, la langue est l’allemand. L’Autriche à cette date qui a perdu contre

préserver ses colonies, convoitées par l’Allemagne. La Roumanie déclare la guerre à l’Allemagne en août 1916, après la contre-offensive russe victorieuse sur le front oriental laissant espérer une défaite de l’Autriche-Hongrie. Elle revendique la Transylvanie hongroise. En 1914, la Grèce reste neutre, puis elle rejoint l’Entente en déclarant la guerre à la Bulgarie en novembre 1916, puis à l’Allemagne en juin 1917 après l’abdication et l’exil du roi Constantin. Fortement marqués par le torpillage du

Entre 1892 et 1894, suite au débat houleux concernant l’introduction du mariage civil et de l’acceptation de la religion juive parmi les autres religions « historique » de la Hongrie (calvinisme, catholicisme romain, luthérienne et unitarienne de Transylvanie) ; un parti politique anticapitaliste a été fondé : le Katholikus Néppàrt ou Parti Populaire Catholique. Ce parti politique proche idéologiquement de la droite radicale, a su conquérir un large public, compte tenu du fait que le débat sur le statut

1940, Hitler satellise les pays d’Europe centrale : Slovaquie, Hongrie, Roumanie, Bulgarie. Hitler obtient l’adhésion de la Hongrie et de la Bulgarie, anciens vaincus de la Première Guerre mondiale, en leur offrant respectivement la moitié de la Transylvanie et la Dobroudja, cédées par la Roumanie, où le général pro-hitlérien Ion Antonescu prend le pouvoir en septembre 1940. À partir de juin 1941, Hitler entraîne la Slovaquie, la Hongrie, et la Roumanie dans la guerre contre l’URSS, ainsi que la Finlande

différence de celle “officiellement” polie (Vă) mulţumesc mult!) est difficilement acceptable si elle est adressée par un inférieur à son supérieur. Encore moins acceptable dans les circonstances mentionnées aurait été la formule dialectale (de Transylvanie) Mulţam fain ou bien Mersi fain (cette dernière mélangeant un fait linguistique familier et un autre dialectal). Très fréquentes sont aussi sans doute les situations où (comme dans l’exemple 2 ci-dessus) la non réussite de l’enchaînement

(soutenue par l'URSS) Toute décision est ajournée suite à un non-compromis. On trouve un accord pour la Roumanie, qui perd deux régions au profit de l'URSS ; la Bessarabie, et Bucovine du nord. Elle réussit en échange à récupérer sur la Hongrie la Transylvanie. La Bulgarie ne subit pas de modifications territoriales. Le grand perdant est la Hongrie qui perd des territoires au détriment de la Roumanie, de l'URSS et de la Tchécoslovaquie. La Finlande perd une partie de son territoire au profit de l'URSS

notion est liée à celle d'agenda médiatique (faits, questions, valeurs, consacrés par tous les média ou alors par aucun). ➔ Le cas le plus intéressant est la plus grande déroute de ces dernières années : le faux charnier de Timisoara (ville de Transylvanie en Roumanie). Fin 1989, les pays dits communistes (oxymore...), se sont effondrés comme un château de cartes, le dernier étant la Roumanie (cas à part, lorsque les troupes du pacte de Varsovie interviennent à l'extérieur, les Roumains refusent