Traumatisme psychologique

optique) lésions par : compression, section Lésions cérébrales : contusion au point d’impact et « contre coup », contusion hémorragique intracérébrale (hémorragie méningée ou ventriculaire) I. Examens clinique Interrogatoire : nature du traumatisme circonstance de l’accident évolution de la conscience : perte de connaissance initiale, intervalle libre de lucidité notion des antécédents médicaux Examen clinique locale : Plaie du cuir chevelu Plaie cranio-cérébrale Fracture du crâne :

scooter, il ne portait pas de casque et avait consommé de l’alcool et du haschich. Il arrive avec un collier cervical, une attèle d’immobilisation et une coquille. Problème Signes cliniques Prise en charge Résultats attendus Compétences Traumatisme crânien Perte de connaissance initiale Score de Glasgow à évaluer toutes les heures Glasgow stabilisé à 15 1, 2, 4 et 6 Céphalées Prise de paramètres (tension…) Pose d’une voie veineuse périphérique Perfusion de Perfalgan Surveillance

priorité la compréhension du langage, écrit ou oral : c'est l'aphasie sensorielle ou dite de Wernicke. Ces deux types d'aphasie touchent des personnes ayant acquis le langage. Les causes de l'aphasie peuvent être un accident vasculaire cérébral, un traumatisme crânien, une tumeur, une infection ou une maladie neuro-dégénérative, type Alzheimer. Les symptômes de l'aphasie Avant d'aborder les différentes sortes

secondaires, dues à une autre affection qu’il faut diagnostiquer et traiter pour elle-même. Les causes et les facteurs favorisants sont nombreux. Si une épilepsie commence à l’âge adulte, elle peut être due à une tumeur cérébrale, à une séquelle de traumatisme crânien, au sevrage d’un alcoolisme, à un effet médicamenteux indésirable, etc. Chez l’enfant, certaines causes sont les mêmes que chez l’adulte, d’autres sont plus spécifiques, comme les malformations cérébrales et les séquelles de convulsions

greffes ont été réalisées, soit près de deuxx fois pus qu’en 2000. Cependant, près de 220 patients sont décédés faute de greffe à temps. Du don...   Dans la grande majorité des cas, les donneurs sont des personnes décédées à l’hôpital après un traumatisme crânien, un accident vasculaire cérébrale ou parfois après un arrêt cardiaque. Le prélèvement d’un ou plusieurs organes est envisagé après le constat du décès. Les organes sont maintenus artificiellement en état de fonctionner par des techniques

conséquences physiopathologiques et sociales. L'effets de l'impact cranien a eut pour repercussion la deformation mécanique du cerveau. Les lésions axonales ont été responsables de la perte de connaissances innitale et du coma qui ont été suivi d'un traumatisme cranien. 3.Mettre en œuvre une démarche d'analyse 3.1Approche par l'accident Comment l'accident s'est il produit ? L'implantation terminée les 2 techniciens ont vouluent

(diminution de la quantité d'oxygène distribuée aux tissus par le sang), les traumatismes cérébraux et l'ictère néonatal (excès de bilirubine (dégradation des globules rouge) dans le sang). Le degré d'atteinte neurologique est sévère dans un tiers des cas et modéré dans un sixième des cas. Causes d'origine pré ou néo-natale : Les malformations vasculaires pendant la gestation, Manque d'oxygène. Causes durant l'accouchement : Traumatisme, Asphyxie, Analgésiques (dues à une administration de médicaments

Afin de préserver son anonymat nous allons l appeler Mr F. Mr F. est musicien il est âgées de 28 ans, mariée et père de 2 petite filles. Il est victime d un accident de la voie public en moto, avec traumatisme crânien et perte de connaissance Le patient présente une hémiplegie droite, ainsi qu'un traumatisme de la cheville gauche avec fixateur externe de plus il est aphasique. A son arrivé au service les besoins perturber de Mr F. sont : EVITER LES DANGERS BOIRE ET MANGER ETRE PROPRE ET PROTEGER SES

SECOUÉ L’incidence du syndrome du bébé secoué est certainement sous-estimée en raison de la difficulté que représente son dépistage car les symptômes qu’il produit ne lui sont pas exclusifs. Une étude américaine indique que plus de 30% des cas de traumatisme crânien découlant de cet acte de violence ne sont pas dépistés. Ainsi, les signes et symptômes peuvent passer inaperçus aux yeux du professionnel ou être confondus avec d’autres problèmes de santé, d’autant plus que le motif de consultation donné

de développer cette maladie, bien que ne faisant pas partie du vieillissement normal. Outre l'âge et les antécédents familiaux, les facteurs de risque de cette maladie peuvent être, entre autres: L'hypertension artérielle à long Antécédent de traumatisme crânien Des niveaux élevés d'homocystéine (un produit chimique du corps qui contribue à des maladies chroniques comme les maladies cardiaques, la dépression et peut-être la maladie d'Alzheimer) Le sexe féminin, parce que les femmes vivent généralement