Travail Des Enfants Victor Hugo

Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu'on voit cheminer seules ? Ils s'en vont travailler quinze heures sous des meules 5. Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, 10.

(Lamartine, Musset…) mais un se démarque des autres, Victor Hugo, il est son chef de file. Ecrivain polyvalent, Hugo est aussi un politique engagé, au service des plus démunis. Fervent acteur contre l’esclavage des plus pauvres notamment l’esclavage des enfants, il publie « Melancholia » en 1856, le texte à l’étude, qui est un extrait d’un énorme recueil poétique Les Contemplations. A travers ce poème, l’auteur évoque le travail des enfants, considéré comme « normal » à cette époque. Il exprime

d'épouvantables conditions matérielles d'existence, des conditions de travail inhumaines, des logements insalubres et sordides, la famine effroyable, qui semblent traverser les siècles. On peut relever dans l'ensemble de ces textes des procédés rhétoriques, des procédés de style qui renforcent la tonalité pathétique. On peut d'abord étudier le recours fréquent aux comparaisons et aux métaphores, dans les textes de La Bruyère, de Victor Hugo, Le texte de La Bruyère, moraliste du Siècle d'Or, est

ressemble ici à un cri, il semble qu’il demande asile à toute la société, se débarrasser de la crasse de la société. On retrouve aussi le besoin de s’isoler propre au romantisme, toujours loin des hommes, de la société et son triste spectacle. Victor Hugo cherche le progrès social, garantir à un plus grand nombre de personnes un train de vie décent, de la dignité, du bonheur. On y découvre une société rongée par les inégalités, la méprise envers la société (personnes et animaux). Le thème majeur

RUY BLAS – VICTOR HUGO 1838 Acte V, scène 4 Lecture Analytique n1. Introduction : Le texte étudié est un extrait de la pièce de théâtre « Ruy Blas » écrit par Victor Hugo en 1838. Victor Hugo fit parti du mouvement littéraire du Romantisme, il est même considéré comme le chef de file du mouvement romantique. Hugo était poète, dramaturge et Romancier. Il fut député lors de la seconde république, il était contre la peine de mort, contre le travail des enfants et de la misère il fut considéré comme

MELANCHOLIA VICTOR HUGO 1) Description du travail des enfants I) DESCRIPTION REALISTE A) Jeunesse, fragilité, (innocence ?) des enfants Vers 1 : antithèse « tous ces enfants dot as un seul ne rit »  mettre en avant qu’ils devraient rire du fait de leur jeunesse et leur innocence - insiste sur leur mauvaise santé « que la fièvre maigrit; quelle pâleur ! », leur fatigue « bien las ; rachitisme ! », due à leur fragilité - anaphore vers 2 et 3 - « doux êtres pensifs » B) aspect répétitif du

le thème les reliant est l’exploitation des enfants. Plus précisément, cette exploitation a lieu sous forme de travail précoce où les enfants participent, par force ou de leur gré, à des activités à finalités économiques. Dans le texte intitulé « Un enfant en guerre n’est plus un enfan t », paru en juillet 2007 dans Courrier International et publié dans le journal béninois La Gazette du Golfe, Serge-Félix N’Piénikoua évoque le problème des enfants soldats en Afrique qui, pour plusieurs raisons

vers en alexandrins tous en rimes plates Victor Hugo défends et dénonce le travail des enfants car en effet avec la révolution industrielle les enfants furent mis au travail dans les mines ou beaucoup dans les usines textiles. tout d'abord on peut distinguer plusieurs parties dans ce poème d'abord l'auteur décrit les conditions de travail des enfants ce qui correspondrais aux 12 premiers vers puis du vers 13 au vers 22 l' auteur parle à la place des enfants pour amener sa seconde partie qui constitue

Même plusieurs décennies après leur mort, leur nom ressort encore. C’est le cas pour Victor Hugo, un géant de la littérature française. Premièrement, Victor Hugo naît le 26 février 1802 à Besancon en France. Son père, Léopold Hugo, vient d’une famille d’artisans de Nancy et sa mère, Sophie Trébuchet, vient de la bourgeoisie nantaise. De leur union naît Abel en 1798, Eugène en 1800 et lui, deux ans plus tard, Victor. Son enfance est quelque peu mouvementée. En effet, il vit à Paris, mais accompagne

et misère dans Les Misérables de Victor Hugo Arthur Augusto CATRAIO1 Résumé Le langage des misérables ne se donne pas dans le cadre linguistique normal, il en excède par la destruction du cadre normatif grammatical, ainsi comme ses personnages face aux lois. Margi- naux de la société normale - où se présentent les normes juridiques, les misérables n'ont pas un droit de représentativité politique. Tout