Travail Sur Le Film Ridicule

POUVOIR » UN PAYS QUI SE TIENT SAGE Un film de David Dufresne EL NOST PARIGI Analyse de scène Rendu de : Etienne LECOFFRE - 21959786 Pour : Camille Louis et Maria Kakogianni 2 Aussi ridicule que dédier d’aussi petites pages puisse paraitre, celles-ci sont pourtant écrites en hommage à l’intégralité de celles et ceux qui ont vu leur sang se verser sur les sentiers menant à un monde plus juste. * * * Introduction Si les quatre-vingt-six minutes du film de David Dufresne sont toutes plus intenses

linguistiques spécifiques sur lesquels insister : - DE LA PORTE : travail sur le jeu des pronoms et sur les modalisations : ils/nous/je⇒ colorier le texte en fonction des “sujets” du discours. Le récrire au mode impersonnel. - GUILLAUD: repérer les marques de la concession dans le document. Les employer lors de la présentation orale de leurs corpus. - BRETON : les marques du conditionnel : analyse Activités proposées : - Travailler la problématisation / la confrontation de documents : dans le cadre

HAIR LE FILM 1979 FILM MUSICAL TCHECOSLOVAQUE REALISE PAR MILOS FORMAN Titre : Hair Titre original : Hair (cheveux/chevelure) Scénario : Michael Weller Musique : Galt MacDermot Chorégraphie : Twyla Tharp Genre : comédie musicale Durée : 121 minutes Distribution: John Savage = Claude Hooper Bukowski Treat Williams = George Berger Beverly D’Angelo = Sheila Franklin Annie Golden = Jeannie Ryan Donnie Dacus = Woof Dorsey Wright = Lafayette aka Hud Cheryl Barnes = la fiancée de

5296_FRA_BacPro_GP_01.indd 5 Livre du professeur Français 2e Bac Pro © Belin 2009 Le travail sur le champ linguistique permet, aussi bien en activités de lecture que de production, d’étudier le champ lexical du vrai, du faux, du réel et de la vraisemblance ainsi que celui du portrait et de l’action. Des activités d’expression écrite ou orale favorisent l’emploi d’un lexique précis et varié ainsi que le travail sur les modalités de reprise et la cohérence du récit. 16/07/09 18:07:32 Interrogation

bras que je veux pleurer, parce que tu arrives toujours à me redonner le sourire. Avec toi le temps passe si vite, j'ai pas peur d'être ridicule, avec toi je suis moi-même, sans artifice, au naturel. On se complète tout en ce ressemblant. Je vais t'aimer jusque l'infini. Mon amour à moi pour toujours. Faudrait que tu m'explique pourquoi quand je vois un film avec deux personnes amoureuses je pense à toi . Pourquoi que je me sens seule , je ne veux être que dans TES bras ? Pourquoi c'est à toi

traits de la croix de fer, cela paraît ridicule, décalé par rapport à leur sort de victime: il dénonce le nationalisme de certains anciens combattants, qui au lieu de tirer des leçons de la guerre, ressassent des rancoeurs. «Le dictateur» C'est un film comique,parlant en noir et blanc de Charles Chaplin(1889-1977).Il débute l'écriture du scénario en 1938 et l'achèvera en septembre 1939 malgré les pressions de l'Italie et de l'Allemagne.Le film sort à New York le 15 octobre 1940 et en

qui pourraient se rapprocher du roman. Ensuite j’approfondirai sur les formes adoptées à partir d’extraits. Parallèlement il sera intéressant de voir ce que cela apporte au cours de la lecture, et quels sont les effets sur le lecteur? Tout le travail d’écriture se trouve dans la forme, dans le style qu’adopte John Fante. Ce n’est pas un livre convenu, on observe globalement un ton libre, sans entrave, sans tabou. Il y a une certaine franchise, une sincérité. Le roman se concentre sur une courte

et, au-delà, sur la culture de divertissement en général. Cars, le dernier film Disney-Pixar, permet de le mettre en évidence. Il suffit de citer un passage de la critique de Télérama pour saisir une des caractéristiques fondamentales de ce film : « Une Amérique uniquement peuplée de citoyens à quatre roues, plus pimpants qu’une devanture de magasins de jouets, plus attachants que tout le rayon de peluches réuni » Ce film nous montre une réalité sociale retravaillée graphiquement et symboliquement

réveillez Vous libérez de l'image d'Europa Mais cela est Impossible» (Texte final du film « Europa ») Fascinant, hypnotique , cauchemardesque, envoûtant : bienvenue dans l'univers des films du Danois Lars Von Trier. Lars Von Trier est né à Copenhague le 13 avril 1956, au Danemark donc, la patrie de Carl Theodor Dreyer (Ordet, Jeanne d'Arc). Très tôt, il dévore les films de celui-ci, de Tarkovski (Le Miroir est son film préféré) et d'Orson Welles, qu'ils considèrent comme ses maîtres. En 1971, il réalise

l'une des forces du film : montrer que les grands gestes peuvent s'appuyer sur un brin de naïveté ou de folie. Une sorte de mystique commune du sport et de la politique se fait jour dans Invictus. Une foi inébranlable, mais qui n'est pas aveugle, chevillée au réel. « On n'est jamais à 100 %, dans le sport comme dans la vie », souffle, un moment, Mandela à François Pienaar (Matt Damon), le capitaine des Springboks. Cette phrase étonnante de lucidité est sans doute la clé du film : elle signifie que