Travail Sur Le Film Ridicule

connue des élèves. La quatrième séquence s’attache à l’étude de la scène du roman de M Duras, que l’on rapproche ensuite de celle de Mme de Lafayette à travers le motif de la reconnaissance, qui irrigue les deux extraits. Ensuite, pour conclure ce travail et dans le cadre de la préparation à l’EAF, on propose aux élèves de rédiger lors de la cinquième séance le plan détaillé d’un sujet de dissertation qui leur permet de faire le point sur les acquis de la séquence. Enfin, pour réinvestir ces acquis

En 1655, quinze ans ont passé, Roxane s'est, depuis la mort de Christian, retirée dans le couvent des Dames de la Croix, pleurant un deuil inconsolable. Tous les samedis, Cyrano lui rend visite, lui fait la gazette de la semaine, pendant qu'elle travaille à sa tapisserie. Surtout, ensemble, ils se rappellent le défunt. Mais, un jour, Cyrano est un peu en retard. Quand il se présente, Roxane, absorbée par son ouvrage, ne remarque pas qu'il est d'une pâleur mortelle. Des ennemis lui ont tendu une embuscade

l’intérêt documentaire (page 11) l’intérêt psychologique (page 14) l’intérêt philosophique (page 19) la destinée de l’œuvre (page 20) le film de Claude Chabrol (page 22) Bonne lecture ! Vers le milieu du XIXe siècle, un garçon d'une quinzaine d'années entra au Collège de Rouen dans la classe de cinquième. Tout en lui, son maintien comme sa mise, était ridicule : appelé à dire son nom, il avait prononcé « Charbovari » et ses camarades se moquèrent de ce « pauvre diable au nom inintelligible ».

compléter l’étude de l’œuvre. Rappelons qu’un titre d’œuvre se met en italiques dans une copie numérique, et doit être souligné dans une copie manuscrite. Vous trouverez le film de Louis Malle, qui porte le même titre que le roman, en DVD (zone 2) dans la collection « Arte vidéo ». Les références se feront aux minutes du film sur la base d’un visionnage effectué avec le lecteur Windows media. Comme le minutage peut varier de quelques secondes ou quelques minutes selon le logiciel ou le lecteur

d’une scène. LECTURE : - DE TEXTE : Une pièce de Molière : L’Avare - D’IMAGES MOBILES : Deux mises en scène du monologue d’Harpagon : • Réalisation (téléfilm) de Christian de Chalonge , avec Michel Serrault dans le rôle titre • Réalisation (film) de Jean Girault et de Louis de Funès, avec Louis de Funès dans le rôle titre ÉCRITURE : Pour soi : Prises de notes à partir de supports écrits et oraux ORAL : Diction (suite) : • Présentations orales • Lecture à voix haute d’extraits de pièce

celle du tour de Gaule d'Astérix. Et la vie serait toujours celle que décrivent les Dingodossiers, avec ses profs, ses adultes et ses enfants, les poissons d'avril, les vacances ou le fait d'apprendre à deviner la fin d'un film dès son commencement : je ne peux voir un film sans penser à cette BD, si juste et si drôle. Et tous ces coins de France ou d'Europe, où l'on se rend, avec un sourire en coin, en pensant aux aventures d'Astérix, avec les Corses, les Espagnols, les Goths. Mon identité française

filmographiques, picturales, musicales ou encore textuelles (romans, citations d’auteurs…). La reprise de ces stéréotypes dans le film LOL, de Lisa Azuelos, souligne bien ce trait. Des lycéens français se retrouvent à Londres pendant une semaine, hébergés chez des familles anglaises types, pour visiter l’Angleterre dans le cadre d’un voyage scolaire. Nous est dépeint dans le film, des personnages et des scènes archétypés : une famille psychorigide vouant un culte à Lady Diana, la fameuse « gelee », jaune

vs. anormalité o Ame o Pensée o Norme o L’organisation familiale, l’autorité patriarchale (le père) o La perversion, la louance • Le langage audiovisuel o Perception d’un film o Efficacité de ce langage (et comment l’améliorer) HUMANITE VS ANIMALITE Les espèces sont extrêmement variées, mais toutes paraissent répondre à une organisation dans laquelle la part de l’inné prédomine largement celle de l’acquis

fin du 18ème siècle. C’est un théâtre d’effets, avec des machineries et des machinations. Il se construit souvent autour du « clou » (le moment fort). On verra plus de changements de décors, des transformations météorologiques. Les éclairages sont travaillés ainsi que les zones d’ombres. ⇨ Effets d’optiques spectaculaires : le décor acquiert alors un rôle de premier plan au point que les œuvres portent souvent comme titre le nom du lieu où se déroule l’action. 5. La fin du 19ème siècle

LE TARTUFFE ACTE III, scène 3. La première question qu'il est nécessaire de se poser, lorsque l'on aborde un travail d'interprétation autour de cette scène, est liée à la lecture que l'on se fait de la fable. D'elle dépend l'interprétation de la partition du rôle de Tartuffe. Au sens étymologique du terme, l'hypocrite, c'est d'abord l'acteur. et dans cette pièce la question de l'être et du paraître, du vrai et du faux se pose constamment. Tout y est spectacle, représentation théâtrale