Travée

nef de 52 mètres de long sur 15 mètres de large et 20 mètres de Haut est couverte de sept travées voûtées d’ogives. Elle est éclairée par de nombreuses fenêtres fournies de Vitraux commandés à un maître verrier avignonnais. Des tentures vertes semées de roses rouges sont suspendues sur les murs ; des tapis et des nattes recouvrent les dalles du sol. Les cardinaux et douze chantres occupent la troisième travée. Ils sont séparés des fidèles par une barrière appelée Cancel. C’est sous Clément VI qu’y

l’extrémité de l’arête rocheuse du mont Subiaso comme une superposition de deux bâtiments reposant sur d’immenses arcades. Une construction qui oriente clairement l’ordre vers la puissance et la pompe. L’église inférieure, à nef unique, comprend quatre travées sur plan carré. L’intérieur est totalement recouvert de peintures s’étalant du XIVème au XVème. L’église supérieure consacrée en 1253 affiche le spectacle d’une structure robuste et trapue, celle d’un style gothique à son apogée. C’est sur la paroi

« pont Paul –Doumer », construit par l’entreprise française Daydé et Pillé de 1898 à 1902, le pont Long Bien est considéré comme le trait d’union entre le passé et le présent de Hanoï. D’une longueur totale de 1680m et d’une structure englobant 19 travées métalliques, il était le plus long de l’Indochine à cette époque. Il traduisait emplématiquement la colonisation française pendant très longtemps au Vietnam et présentait également un ouvrage d’art architectural humain. En étant que gouverneur général

en acier est incorporée au tablier sur toute sa longueur. Les États-Unis se lancent dès lors dans la construction de ponts suspendus gigantesques. En 1931, le pont George Washington à New York, construit par l’ingénieur Othmar Ammann, avec une travée centrale de 1067 m, faisait plus que doubler les portées alors existantes. Six ans plus tard, le pont du Golden Gate à San Francisco portait ce record à 1280 m. La grande élégance de ses lignes, le site grandiose qu'il marque, l'exploit technique

fixée au poteau Tirant vient exercer une traction au bout du bras de la gerberette. Les tirants sont ancrés dans le sol 2 poteaux + gerberettes + poutre + tirants = 1 portique 2 portiques côte à côte – pose de planché => 1 travée Ossature = 14 portiques, soit 13 travées alignées dans sa longueur B&B Italia Heaquaters, Côme, 1971 Avec Renzo PIANO Matériaux de construction industrialisés Type finition parfaite Esthétique puriste. Usine Fleetguard, Quimper, 1979-1980 Economie de matière

l'ancienne cathédrale Saint-Etienne pour construire une nouvelle dédiée à Notre Dame (Vierge Marie). Quatre grandes campagnes de construction se sont succédées : 1163-1182 : choeur. 1182-1190 : trois travées est de la nef, bas-côtés et tribunes. 1190- 1225 : fondements des tours et de deux travées ouest de la nef. 1225-1250 : galerie haute, des deux tours, des chapelles latérales. - Début XIVe : agrandissement des transepts, édification des arcs-boutants. - XVIIIe : remplacement des vitraux médiévaux

manque d’infrastructures dans l’immense territoire colonial français en Afrique. Jean Prouvé utilise son concept de maison préfabriquée en privilégiant des matériaux légers et industriels. L’ensemble des pièces sont fabriquées à Maxéville et deux travées de l’édifice sont assemblées dans la cour de l’usine avant expédition par avion-cargo en Afrique. Pour ce faire les pièces sont conçues pour offrir un maximum de légèreté : perforations, emploi important de l’aluminium pour les éléments de couverture

récemment dégagé permet d'avoir une très belle perspective du monument. L'intérieur de la cathédrale est au moins aussi impressionnant que l'extérieur. Il est mis en valeur par un étonnant jeu de lumière facilité par les nombreuses ouvertures : les 5 travées de la nef, les orgues réputées les plus grandes de France, le chœur aux remarquables boiseries, conservant quelques statues d'origine et fermé par une petite grille. Il renferme le trésor de la cathédrale : le reliquaire de la Sainte Couronne d'Epines

sa fondation date de la fin du 10e siècle. L’église actuelle a été construite dans le courant du 12e siècle par Etienne de Bagé. C’est l’un des plus grands édifices romans de la Bourgogne, le plan développé de la basilique montre une nef de six travées à collatéraux, un transept saillant, un chœur à déambulatoire et trois chapelles rayonnantes.

dernier fut construit sans tenir compte de la nef qui devait être détruite. En avançant et après avoir laissé à sa droite l’énorme pilier central puis admiré, dans le faux transept, l'orgue érigé en 1613 et accroché à 17m de hauteur. Il comprend cinq travées, une abside à cinq pans et un déambulatoire sur lequel s'ouvrent 14 chapelles rayonnantes de forme pentagonale. Celles-ci (tout comme le déambulatoire) furent voûtées au XIVe siècle et le cœur ne le fut qu’en 1609 après un incendie qui avait détruit