Travestissement

représentation, qu'il a imaginé comment devait être le décor. Dans Ruy Blas de Victor Hugo les nombreux détails avant chaque acte insistent sur l'importance de mettre en valeur ces objets, ces détails comme les portes secrètes ou le manteau qui montre le travestissement ou l'épée pour le rang social des personnages. Ce sont des élément qui représentés sur scènes sautent aux yeux et permettent de mieux comprendre les enjeux de la pièce. Assister a une représentation de la pièce permet de visualiser concrètement

sanguinaire ; il s’agit de vaincre le mal par le mal. > Sa position demeure équivoque. Conclusion : - Cet apologue brosse un tableau sombre de la société de cour : le modèle de l’honnête homme n’est ici qu’un lointain souvenir. - LF se sert du travestissement animal pour critiquer la cruauté caractérisant la cour de Louis XIV et préconise comme échappatoire le dédoublement de l’être.

sortir de leur condition en les imitant. Mascarille discrédite les jeunes femmes, abusées par son faux prestige. Or, le valet, incarnant une nature sociale, ne saurait être précieux. Il ne peut avoir que l'apanage du bon sens, vertu populaire. Son travestissement en maître est impossible, sauf dans l'artifice d'une mode. Conclusion: On assiste donc à une caricature, une dénonciation par le comique des comportements et abus des bourgeois de l'époque.

son côté compte bien ramener le « coureur de jupon » à elle. Chérubin, jeune page adolescent qui aime les femmes dont la comtesse. Mais il doit s’exiler face à la colère du comte. Procès satire justice Figaro retrouve parents. Suzanne+ comtesse travestissement pour tromper comte. Scène ultime marronniers. 3 dots. Monologue de Figaro=critique privilègesMarceline=critique condition de la femme. | Le barbier de Séville, BeaumarchaisComédie classiqueImbroglio des intrigues | L’histoire se passe au Séville

l’image ). D’autres mise en scène plus subtiles peuvent aussi plaire comme dans Le jeu de l’amour et du hasard de Marivaux où les maîtres Dorante et Silvia promis l’un à l’autre sans se connaitre prennent la place de leur valets. On a donc un travestissement (contraire a la vraisemblance permettant ainsi aux spectateurs une sorte d’implication dans l’histoire puisqu’ils connaissent tout de la situation confuse contrairement aux personnages) qui défie les lois définissant le valet comme un être inférieur

farce. Le comte se trompe de cible et atteint Figaro à la place de Chérubin déclenchant ainsi l’hilarité du public. Peu avant, Suzanne et la comtesse ont échangé leur toilette ; le comte ne reconnaît pas sa femme et se retrouve donc dupé. Le travestissement des deux jeunes femmes comme celui de Chérubin qui veut rester pour voir le mariage montre que Beaumarchais était sensible à cette pratique commune à l'époque dans la comédie : le leurre, le déguisement et les mensonges. Ainsi la comédie se sert

critiquer son maître devant lui mais d’une façon indirect puisqu’il dit critiquer un autre. (Lecture du passage) Il essaie donc de raisonner son maître lors de l’acte II scène 2. (Lecture du passage) Lors de l’acte III scène 1, grâce à son travestissement en médecin Sganarelle ose critiquer son maître ouvertement et en face de lui. Mais bien sur l’habit ne fait pas le moine, c’est pourquoi Dom Juan dit « Bon ! Voilà ton raisonnement qui a le nez cassé. » Ceci montre que Sganarelle manque d’éloquence

ainsi justement punis. L’adjectif « chimérique » sous-entend la toute-puissance du lion. B/La violence de l’exécution -La « peccadille » devient un « cas pendable ». La quasi homophonie des deux termes de cette antithèse souligne le prompt travestissement de la réalité. -La rapidité de la chute aux vers 60 et 61 fait écho à la brutalité de la sentence et de l’exécution dont la violence est mise en valeur par le hiatus inhérent à la diérèse sur le verbe « expier » qui se prononce alors « Ex-Pi-Er »

du maître et du valet se délite, tiraillée entre l’appel de la modernité et les résurgences toujours possibles de la tradition. Vanasay Khamphommala analyse les possibilités fructueuses offertes par la porosité des frontières sexuelles et le travestissement chez quelques personnages shakespeariens, et dévoile l’apport des études féministes et des gender studies dans des mises en scène récentes, qui semblent retrouver et réactiver, sous le poids des traditions scéniques historiques, la liberté et

qu’ils évoquent anxieusement et appellent à leur rescousse les mânes des ancêtres, qu’ils leur empruntent noms, mots d’ordre, costumes, afin de jouer la nouvelle pièce historique sous cet antique et vénérable travestissement et avec ce langage d’emprunt ». L’histoire sert donc de travestissement à l’actualité, tout en la cautionnant. Ces emplois de l’histoire ne permettent évidemment pas de prévoir l’avenir, ni même sans doute de voir le présent avec objectivité. • L’histoire peut aussi être présentée