Trecento

vraisemblance, mais change plus tard avec des tableaux multiples, successifs ou simultanés. Le théâtre, dès sa naissance, est lié à l'espace puisqu'il semble s'enraciner dans le système social et mental de la ville- cités grecques, villes italiennes du Trecento, villes flamandes.3 On peut considérer notre vie quotidienne comme une longue pièce de théâtre puisque Brook nous affirme qu'il peut prendre n'importe quel espace vide et l'appeler une scène. Quelqu'un traverse cet espace vide pendant que quelqu'un

à jouer elle-même le rôle important d’organisme financier, en engageant ses ressources fiduciaires considérables dans les circuits d’échanges. Elle suivait le mouvement, faute d’avoir pu le ralentir. La mentalité des grands marchands italiens du Trecento et du Quatrocento, radicalement opposée à l’état d’esprit franciscain, considérait le gain, sous la forme argent comme le but suprême et l’accroissement infini de la richesse comme la rationalité ultime de l’existence terrestre. La pauvreté était

ricominciava dai sensi, in "Epoca", n° 1865, 4.07.1986, p. 108-111. – DI BUCCI-FELICETTI (S.), Il “mistero buffo” di Italo Calvino, in FAZIO M. éd., Narrare : Percorsi possibili, Ravenne, Longo, 1989, p. 205-214. – DI CARO (Roberto), Disillusione in trecento lettere, in "L’Espresso", 3.02.1995, p. 94-98. – FALASCHI (Giovanni), Italo Calvino, in La resistenza armata nella narrativa italiana, Torino, Piccola Biblioteca Einaudi, 1976, p. 96-151. – GATTA (Francesca), Mozart, Calvino e la “Zaide”, in

qu’« on ne peut rien écrire de réel, rien de magnifique sur lui » : « nulla cosa reale, nulla cosa magnifica si puote scrivere di lui ». Que ce goût du commerce ait eu de quoi scandaliser des Italiens et, par-dessus le marché, des Florentins du Trecento, voilà certes un détail qu’on ne saurait pas négliger. On a déjà dit du Portugal qu’il a été, à ses origines, un Etat de Croisés. Il est vrai pourtant que ces Croisés s’étaient vite défaits, dans leur territoire, des ennemis de la foi chrétienne