Tremble

Puisqu’il est mort, il faut que je meure. Merci. - Et dans les carrefours les cadavres s’entassent. Dans un noir peloton vingt jeunes filles passent ; Elles chantent ; leur grâce et leur calme innocent Inquiètent la foule effarée ; un passant Tremble. - Où donc allez-vous ? dit-il à la plus belle. Parlez. - Je crois qu’on va nous fusiller, dit-elle. Un bruit lugubre emplit la caserne Lobau ; C’est le tonnerre ouvrant et fermant le tombeau. Là des tas d’hommes sont mitraillés ; nul ne pleure

d'une image due à une interprétation erronée du cerveau). La photographie de ce mirage créé par les différences de température de l'air en prouve la réalité optique (traces) et non son illusion (ni l'œil ni le cerveau ne se trompent en voyant trembler l'air ou les rayons semblant se refléter sur le sol). Le mirage n'a rien de subjectif : on peut le photographier. Le mirage n'a rien d'irrationnel : il s'explique par l'optique géométrique et les lois de la réfraction. Le mirage chaud ou mirage

il franchit tout les obstacles « il passe dessue le tas de morts » et il en sort indemne , on vois aussi qu’il est le centre du texte et même si il sort vivant « du théâtre de la guerre » il est aussi vus comme un lâche il a peur de la mort « il tremble comme un philosophe » « se cache du mieux qu’il peut » « s’enfuit ». On dans cette partie que Candide est un héro lâche et que Cunégonde est plus importante que la guerre a ses yeux !

Rêver, c'est fermer ses yeux dans le noir et ne voir que les éclairs interminables et incessants des souvenirs du passé; briser le silence et tout faire trembler par des mots qu'on a cloîtré dans son cœur depuis longtemps; entendre la pluie des échos de ces mots par une autre voix suivie du déluge d'un bonheur partagé; causer avec ceux qu'on aime sans arrêt pour calmer les orages par leur indélébile présence, sentir le froid contre la chaleur de la flamme du passé et savoir qu'au levée du jour, c'est

on se régale silencieusement . On en prend un second et cet fois son arôme est frais comme la montagne , menthe fraiche , on la sent arriver , c'est un éboulement de neige lorsque cette saveur effleure notre langue .Ce goût délectable nous fait trembler de plaisir et de frison . On mange doucement le sucre qui les enrobent pour laisser apparaître un cœur fondant , un charmant mélange de délicatesse , de désir , de sens .On peux se laisser guider à travers ces sensations sensationnelles en se régalant

Comment oses-tu le renverser par terre et le bousculer? - Mais pourquoi te mêles-tu des affaires des autres répondit l'eleve. - C'est mon meilleur ami je dois le défendre. Et voila que tous mes amis se rassemblèrent autour du garçon qui commenca à trembler de peur... Rami demanda alors à mes amis de céder la place. Le garçon se mit à pleurer - Mais pourquoi pleures-tu repris Mohamed - C'est parce que je n'ai personne à me défendre, je n'ai aucun ami - et pourquoi n'as-tu pas d'amis? rajouta Mohamed

UNE VOCATION DE JOURNALISTE Au matin de mes dix-huit ans, j’eus une sorte de révélation. J’en tremble encore. Je vivais à Strasbourg, et soudain je compris que j’étais peut-être le contemporain de Molière et de Racine, mais que je ne le saurais jamais. Pire : le sachant, je n’aurais jamais l’occasion de les approcher. Respirer au XVIIe siècle sans avoir, dans sa poche, un billet pour la première de l’Ecole des femmes, quelle tragédie ! Laisser à ses petits-enfants le soin de découvrir l’essence

chaque visage Signe de faiblesse, signe de douleur. Dans chaque cri de chaque home, Dans chaque cri d’effroi de l’enfant, Dans chaque voix, dans chaque malédiction, J’entends les menottes forgées par l’esprit. Et le cri du ramoneur Qui fait trembler les églises assombries Et le soupir du malheureux soldat Est du sang qui court sur les murs du palais. Mais surtout, dans les rues de minuit j’entends Comment le blasphème de la jeune putain étouffe les pleurs du nouveau né Et de ses souillures

Crépuscule Rougeoie et tremble à l'ardent horizon De l'Espérance en flamme qui recule Et s'agrandit ainsi qu'une cloison Mystérieuse où mainte floraison - Dahlia, lys, tulipe et renoncule - S'élance autour d'un treillis, et circule Des parfums lourds et chauds, dont le poison - Dahlia, lys, tulipe et renoncule - Noyant mes sens, mon âme et ma raison Mêle, dans une immense pâmoison, Le Souvenir avec le Crépuscule. Le Souvenir/ avec/ le Crépuscule  2  Rougeoie et tremble/ à l'ardent/ horizon

renvoyer la lumière ou la chaleur d’une surface se balancer p.21 un corps sans vie / un cadavre p.22 troubler la vue par un éclat insoutenable la substance molle du corps de l’homme (muscles) briller d’un éclat inégal / trembler la lumière faible p.23 les mains ne sont plus humides le cri de douleur s’en aller / se sauver / s’échapper sauter p.24 traverser saisir / attraper brusquement et avec violence ralentir / s’arrêter en produisant