Tremble

au chaos 1. un crescendo * J'étais plaqué à mon dossier, ma tête s'enlisait dans mes épaules * C'est alors qu'il a décidé de nous mettre à niveau : d'un coup de reins, il nous a arrachés au sol, mon fauteuil et moi * Ses bras s'étaient mis à trembler. 2 : vers le désordre et la destruction * C'est la sonnerie du téléphone qui a déclenché la cataclysme. *Le téléphone a explosé sous le poing du géant. *Sur quoi, le géant s'est emparé de ma belle lampe semi-directoriale et en a pété le bois

fatiguée. Je tenta de trouver un hôtel pour la nuit. Ce fut fait, je trouva donc une énorme maison lugubre et à côté se tenait une autre maison, beaucoup plus petite. Je vis une ombre. Une ombre de femme. Puis j'entendis une porte claquer, ce qui me fit trembler et me fit un peu regretter ma présence ici. Je vis arriver un homme qui me salua et me fit vite rentrer avant d'être trempée. Je n'eus qu'à signer un carnet de présence, après cela il me conduit à ma chambre. Plus tard, après m'être bien installée

La terre tremble soudain. Le sol se fissure. De la fumée et des flammes jaillissent: l’éruption du volcan commence! Mots à savoir orthographier: Volcan– vivant– sommeil– sursaut– milliers– éruption– géant– flammes-parfois- + verbes à conjuguer Dictée bilan Le feu de la terre Un volcan est un peu comme un être vivant : il peut se calmer, s’endormir puis se réveiller en sursaut après un sommeil parfois très long de plusieurs milliers d’années. Et soudain la terre tremble, se fissure, le

que d’affronter la réalité. Ce manteau noir, si sombre, posé sur mon lit, était pourtant l’accomplissement de toutes ces années passées dans ce monastère. Un bruit sourd et dérangeant me fit sursauter et sortir de mon silence, ma porte se mis à trembler. La peur me revient comme saisi d’une torpeur grandissante au fur et à mesure que le tambourinement incessant m’angoisse. Je ne sais plus où se trouve la réalité, suis-je en train de rêver, est-on sur le point de me réveiller ?

d'entamer son histoire il décrit la rivière comme " une chose mystérieuse, profonde, inconnue, le pays des mirages et des fantasmagories où l'on voit, la nuit, des choses qui ne sont pas, où l'on entend des bruits que l'on ne connait point, où l'on tremble sans savoir pourquoi, comme en traversant un cimetière, le plus sinistre des cimetières, celui où l’on a point de tombeau." Les allusions de la description de la rivière est en rapport direct avec la fin de son histoire quand on découvre que c'est

compromettant les protagonistes. En effet, le champ lexical de l’horreur est présent dans Œdipe Roi : «terrible », « malheur », « crime », « frappé » « criminel », mais également dans Phèdre : « Tu vas ouïr le comble des horreurs », « A ce nom fatal, je tremble, je frissonne », « révolter », « crime », « terreur ». De plus, l’avenir corrompu de Phèdre : « Tu frémiras d’horreur si je romps le silence » et celui d’Œdipe : « c’est toi, c’est toi le criminel qui souille ce pays ! » renforce le caractère dramatique

Innocent et joyeux.  Enfant vous êtes l'aube et mon âme est la plaine  Qui des plus douces fleurs embaume son haleine  Qu'on ose pas toucher,  Quand l'enfant vient, la joie arrive et nous éclaire  On rit, on se récrie, on l'appelle et sa mère  Tremble à le voir marcher...  Les yeux des enfants ont une douceur infinie,  Et leur petites mains, joyeuses et bénies,  Ignorent le mal encore !  Jamais, vos jeunes pas n'ont touché notre fange,  A l'auréole d'or !  La nuit lorsque tout dort, quand

S'il était fait outrage Gar' à l'audacieux ! Si l'on osait prétendre Y mettre le holà, Liberté, pour défendre Tes droits, nous serions là ! Refrain Une aurore nouvelle Grandit à l'horizon ; La scienc' immortelle Éclaire la raison. Rome tremble et chancelle Devant la vérité ; Serrons-nous autour d'elle Contre la papauté ! Refrain La marche des étudiants Nous sommes ceux qu'anime la folie Et qui s'en vont ivres de liberté ; Nous faisons guerr' à la mélancolie Ou la cachons sous

derrière les tombes quand le gardien vint fermer la grille du cimetière. A minuit alors que je me reposai sur une tombe, quand tout à coup, je vis la tombe d’à côté s’ouvrir et un squelette en sortir. Dès que je le vis mon sang se glaça et je me mis à trembler de tout mon corps. Le squelette nu ressemblait à un mort-vivant. Sur la tombe, il était gravé : « René MICHEL décédé à l’âge de 48 ans d’un cancer  ». Je vis le squelette modifier le texte gravé sur sa tombe. Quand je me retournai, je vis que

Imitent les lèvres closes Que j’ai baisé par trois fois, Marchant tout beau dessous l’ombre De ce buisson que tu vois Et n’ai su passer ce nombre, Parce que la mère était Auprès de là, ce me semble, Laquelle, nous aguettait De peur encores j’en tremble. Or’ je te donne des fleurs Mais si tu fais ma rebelle Autant piteuse à mes pleurs, Comme à mes yeux elle est belle, Un myrthe je dédierai Dessus les rives de Loire, Et sur l’écorce écrirai Ces quatre vers à ta gloire « Thénot sur ce bord