Tremble

ai-je pu tirer un seul gémissement ? Muet à mes soupirs, tranquille à mes alarmes, 10 Semblait-il seulement qu'il eût part à mes larmes ? Et je le plains encore ! Et, pour comble d'ennui, Mon coeur, mon lâche coeur s'intéresse pour lui ! Je tremble au seul penser du coup qui le menace ! Et, prête à me venger, je lui fais déjà grâce ! 15 Non, ne révoquons point l'arrêt de mon courroux : Qu'il périsse ! aussi bien il ne vit plus pour nous. Le perfide triomphe et se rit de ma rage : Il pense

personne ne nourrit l’illusion que la nature soit déjà domptée, et bien peu osent espérer qu’elle soit un jour tout entière soumise à l’homme. Voici les éléments, qui semblent se moquer de tout joug que chercherait à leur imposer l’homme : la terre, qui tremble, qui se fend, qui engloutit l’homme et son œuvre, l’eau, qui se soulève, et inonde et noie toute chose, la tempête, qui emporte tout devant soi ; voilà les maladies, que nous savons depuis peu seulement être dues aux attaques d’autres êtres vivants

Il vivait dans un antre, entouré de carnage. Chacun, voyant la peau, croyait au personnage. Il s’écriait, poussant d’affreux rugissements : Regardez, ma caverne est pleine d’ossements ; Devant moi, tout recule et frémit, tout émigre, Tout tremble ; admirez-moi, voyez, je suis un tigre ! Les bêtes l’admiraient, et fuyaient à grand pas. Un belluaire vint, le saisit dans ses bras, Déchira cette peau comme on déchire un linge, Mit à nu ce vainqueur, et dit : tu n’es qu’un singe. Victor

En ai-je pu tirer un seul gémissement ? Muet à mes soupirs, tranquille à mes alarmes, Semblait-il seulement qu'il eût part à mes larmes ? Et je le plains encore ! Et, pour comble d'ennui, Mon coeur, mon lâche coeur s'intéresse pour lui Je tremble au seul penser du coup qui le menace, Et, prête à me venger, je lui fais déjà grâce. Non, ne révoquons point l'arrêt de mon courroux : Qu'il périsse ! Aussi bien il ne vit plus pour nous. Le perfide triomphe et se rit de ma rage Il pense voir

pas toucher, | |Quand l'enfant vient, la joie arrive et nous éclaire | |On rit, on se récrie, on l'appelle et sa mère | |               Tremble à le voir marcher... | |  | |Les yeux des enfants ont une douceur infinie, | |Et leur petites

plus en plus considérable, les firmes « nationales » délocalisent leurs productions, établissent d'emblée une stratégie à l'échelle régionale ou mondiale. L'intensification des mouvements de capitaux distribue inégalement l'épargne mondiale et fait trembler les monnaies nationales... Dans le domaine international, les politiques commerciales oscillent entre deux extrêmes : le libre-échange qui implique une ouverture totale des frontières et le protectionnisme avec une fermeture plus ou moins complète

le sommeil. Vers une heure du matin, je réussissais enfin à m’endormir quand soudainement j'étais brusquement réveiller par un bruit strident qui retentissait du fond du couloir. Sous ma couverture mon cœur battait la chamade, je me mettais à trembler de peur. Je ne savais quoi faire, je me rassurais en me disant que s’était surement les voisins. Quelques minutes plus tard un cri encore plus fort et horrible que le premier résonnait du fond du couloir. A ce moment la j’étais tétanisais de peur

Mais elle n'en est pas pour cela moins colère; Et sa morale faite à mépriser le bien, 670 Sur l'aigreur de sa bile opère comme rien*. Pour peu que l'on s'oppose à ce que veut sa tête, On en a pour huit jours d'effroyable tempête. Elle me fait trembler dès qu'elle prend son ton. Je ne sais où me mettre, et c'est un vrai dragon; 675 Et cependant avec toute sa diablerie, Il faut que je l'appelle, et "mon cœur", et "ma mie". ARISTE Allez, c'est se moquer. Votre femme, entre nous, Est par

sommeil Embrasse la rosière, Il lui caresse les belles mains, Il baise ses paupières.Et du miroir, une étincelleSur son corps s'éparpille,Sur ses grands yeux, tout frémissants,Sur son visage de fille.Elle le contemple en souriant,Dans le miroir il tremble,Car il la suit dans tous ses rêves...- Leurs âmes sont ensemble.Elle, lui parlant dans le sommeil, Soupire de sa peine :- "Ô ! le Seigneur de toutes mes nuits !Il est si loin ! Qu'il vienne !Descends vers moi, Hypérion,Sur tes rayons qui brillent

rencontrer de temps à autres. personnification : « la main me tremble et le cœur me bât. » (qui plus est .. croissante?) : dépeigne de la crainte de Cecile quand elle pense que si tôt elle va déja rencontrer l’homme qui lui est promis. Le coeur « la bat » alors qu’il n’est supposé que battre comme si elle en avait perdu le contrôle. Cette main qui l’a enrôlée dans ce « mariage précoce » peut représenter l’autorité de sa mère ; elle la tremble en la forçant à entrer dans cette vie d’adulte ou les convetions