Tres De Mayo Goya

universelle : celle d'une piéta ? ) et taureau (symbole de la force brute, de la cruauté ) - cheval (symbole du peuple sacrifié) et lampe (symbole de l’espoir) ; - les deux femmes ; - le personnage bras en croix dans les flammes (référence au « Tres de Mayo » de Goya) 3- Composition classique de type pyramidale, délimitée, à droite, par la femme qui s’enfuit, et à gauche par le soldat mort ou plus exactement par la ligne imaginaire qui part de sa main, ces deux personnages permettent d’unifier l’ensemble

fondera avec Georges Braque, de sorte de mettre à « nu » ses émotions. Il s’essayera également au surréalisme et s’inspirera de l’art africain. Rapprochements : Pablo Picasso s’inspire ouvertement de Francisco Goya, notamment pour « massacre en Corée » qui fait penser au célèbre « tres de mayo » ainsi qu’au tableau de Manet, « L'Exécution de Maximilien ». Il peut également être rattaché à Otto Dix, pour son art engagé des années 30, pour dénoncer une société jugée absurde. II – L’ŒUVRE Contexte

lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre avec une lampe à pétrole, une femme s'enfuyant, un personnage en proie des flammes dans une habitation. Au second plan : On peut voir qu’il y a des murs, donc des maisons mais on ne peut pas très bien comprendre s’ils sont à l’intérieur ou à l’extérieur. 3) Analyse : Quand on regarde les postures des figures, on remarque que Picasso a voulu exprimer la terreur, la peur et la douleur. On le sait car les bouches sont ouvertes et elles

faire une centaine d’ébauches et d’esquisses avant d’achever le tableau. b) Une peinture d’histoire engagée Picasso renoue avec le genre de la peinture d'histoire, considéré jusqu'au milieu du XIXème siècle comme le genre supérieur en peinture. Comme Goya avant lui, Picasso ressent la nécessité de réagir aux évènements historiques. Mais Picasso ne veut pas seulement dépeindre les faits, Guernica est une œuvre engagée. III- Description formelle de l’œuvre : le sens dénoté a) Description de ce qui est

une peinture à l’huile. -Support : Elle est peinte sur un contreplaqué. -Genre du tableau : C’est de l’impressionnisme car on ressent une impression de désolation émanant de ce tableau. -Le contexte de création : C’est une reprise du « Tres de Mayo » de Goya, qui représentait les troupes napoléoniennes fusillant des civils espagnols insurgés contre l’occupation française à Madrid en 1808. Massacre en Corée a été peint suite à l’intervention des Etas Unis en Corée à cause du conflit entre la Corée

Biographie p.4-5 3. L’œuvre p.6-7 a) Présentation de l’œuvre b) Contexte Historique c) Analyse de l’œuvre 1. Introduction Nous avons choisi de présenter cette œuvre qui est Guernica, car nous trouvons ce mouvement artistique très intéressant. Elle symbolise toute l’horreur de la guerre d’Espagne (1936-1939) et la colère ressentie par Picasso à la mort de nombreuses victimes innocentes, causée par le bombardement des avions nazis à la demande du Général Franco le 26 avril 1937

couleur, brouillage des formes, thèmes contemporains. On peut faire le parallèle avec certaines toiles de Monet. Mais, les impressionnistes ne méconnaissaient pas leurs plus grands prédécesseurs ; on peut aussi faire le parallèle entre le «tres de Mayo», de Goya et l'exécution de l'Empereur Maximilien , au Mexique, peinte par Manet. 3. Le groupe des impressionnistes Les impressionnistes n'ont jamais constitué une école, telle qu'a pu l'être, par exemple, l’ « Ecole de Barbizon », groupe de peintres

couleur, brouillage des formes, thèmes contemporains. On peut faire le parallèle avec certaines toiles de Monet. Mais, les impressionnistes ne méconnaissaient pas leurs plus grands prédécesseurs ; on peut aussi faire le parallèle entre le «très de Mayo», de Goya et l'exécution de l'Empereur Maximilien , au Mexique, peinte par Manet. 3) Le groupe des impressionnistes Les impressionnistes n'ont jamais constitué une école, telle qu'a pu l'être, par exemple, l’ « Ecole de Barbizon », groupe de peintres

La prédelle représente trois hommes allongés sous un abri de tranchée qui évoque une sépulture collective. L’ensemble des tableaux fait donc penser à un récit circulaire : les hommes se reposent avant de repartir à l’attaque. Les couleurs sont très sombres, te rreuses, cendreuses, du marron, du gris, le noir de la boue où sont enterrés les combattants, l e kaki , nouvelle couleur terreuse inventée alors pour les uniformes et dont le but es t de dissimuler les combattants dans le paysage

désarroi. Ses yeux sont en forme de larmes et sa langue en forme de couteau, de plus elle regarde vers le ciel(d’où sont venues les bombes. Toutes les deux sont agenouillées et implorent Dieu On peut aussi remarquer une petite fenêtre qui laisse passer très peu de lumière ce qui traduit le faible espoir de s’en sortir. On observe aussi une femme qui surgit d’une fenêtre et vient se lancer contre le cheval en brandissant un quinquet (ancienne lampe à huile) contrastant avec l’ampoule électrique. Cela témoigne