Tribu

ANTARA, FILS DE CHEDDÂD. Antara, vulgairement Antar, poète guerrier de la tribu d'Abs, l'un des héros de la guerre de Dâhis, et auteur d'une moàllaca, était, suivant l'opinion la plus générale, fils de Cheddâd, fils d'Amr, fils de Corâd, etc.[1] On l'appelait souvent, par forme de sobriquet, Antarat-el-feldjâ, Antara à la lèvre fendue. Sa mère était une esclave abyssinienne nommée Zebîbé ; elle avait eu, de son premier maître, avant d'appartenir à Cheddâd, des fils qui étaient noirs comme elle

valeur du fait de la proximité relative avec la nouvelle capitale de l'empire punique. L'influence de la civilisation carthaginoise se fait grandement sentir auprès des populations indigènes dont l'organisation s'améliore parallèlement. Ainsi les tribus berbères se fédèrent progressivement, fondant des royaumes cohérents dont le premier sera le royaume de Maurétanie d'abord confiné dans le nord-ouest de l'actuel Maroc, et dont les souverains portent le titre d'Aguellid à l'instar des rois de Numidie

cinquième chapitre peint l’héritage laissé par Pastedechouan. Le premier chapitre « « Ton Dieu n’est pas venu dans notre pays » Enfance chez les Innus » vient brosser l’enfance que Pastedechouan a vécu dans sa communauté innue. Le mode de vie de sa tribu au sens plus large est également abordé. Le deuxième chapitre « « Ne me ramenez pas « Entre les bêtes qui ne cognoiffent point Dieu » La métamorphose en France » narre le départ de Pastedechouan avec les Récollets en France ainsi que son évangélisation

entre les Abasema Langeni, son peuple, et la tribu zouloue, elle a dû fuir chez les Qwabe. La seule Représentation connue de Chaka, esquisse de James King de 1824. I/Biographie sur chaka zulu Il est compréhensible pour être amers et en colère, haïssant ses bourreaux et en écoutant attentivement les contes de sa mère au sujet de son sang royal sur les deux côtés. C'était un jeune homme d'une vingtaine d'années quand il est devenu un guerrier de la tribu Mtetwa, luttant pour son peuple et pour six

selon la fortune (pentacosiomedimnes, hippeïs, zeugytes, thètes dans l'ordre de richesse décroissant). Les riches se voyaient réservés les plus hautes charges. En 507, Clisthène est à l'origine d'un redécoupage du territoire et de la création de dix tribus pour ce qui est du découpage du peuple qui désormais assurera tous les pouvoirs. Ces trois hommes sont les fondateurs de la démocratie. En 462, Ephialtès réussit, au prix de sa vie, à transférer les pouvoirs de l'Aréopage à la Boulé. La démocratie

il y a Edouard le père et le chef de la tribu, un véritable visionnaire, qui raisonne et trouve des solutions. Edouard ramène le feu au sein de sa tribu et améliore leur technique de chasse. Edouard est l’inventeur de géni de cette tribu qui n’est pas toujours de son avis sur ses nouvelles découvertes. Caractériser par ses inventions de génie mais par son obsession de trouver sans cesse de nouveaux procédés pour améliorer le confort de sa tribu, Edouard en oublie presque ce qu’il l’entour.

des études en philosophie, il s'oriente vers l'ethnologie. Il s'est spécialisé en anthropologie politique des sociétés amérindiennes sans États. Il effectuera plusieurs missions en Amérique du Sud où il passera plusieurs années parmi les différentes tribus indiennes. Il refuse le matérialisme de la théorie marxiste même s'il faisait partie du mouvement socialiste de mai 68. De manière générale, l'auteur s'intéresse, dans son œuvre, à la question de savoir comment l'État est né. Plus précisément, Pierre

2. Le nombre des tribus est modifié = passe de trois à cinq. Citoyens répartis en tribus. A l'origine, 3 tribus = groupe d'hommes qui se reconnaissent avec les mêmes ancêtres, pratiques les mêmes cultes. (A Athènes : 4 tribus au début, puis redistribué en 10 tribus par .....) population de citoyens uniquement. Nombre passe de 3 à 5. chaque famille comprend plusieurs géné (génos = famille au sens large, qui se réclame d'un même ancêtre dans la lignée paternelle) Ces tribus ont un fondement territorial

coutumière Le district est né d'une profonde réorganisation de la morphologie de l'organisation mélanésienne décidée par le gouverneur de la Nouvelle-Calédonie Paul Feillet en 1898. À l'origine, les terres coutumières étaient divisées uniquement en tribus ou « chefferies », elles-mêmes créées par l'arrêté du 24 décembre 18671 pour regrouper les clans sous la forme d'une « agrégation légale ayant des attributs de propriété et organisée sous la seule forme qui fut et qui soit propre encore à l’état de

sauver sa tribu de la mort. Abla Pokou, la reine de Koumassi et de la Côte d’Or (aujourd’hui : le Ghana) est la personne la plus célèbre de la contrée. Elle et son peuple vivent en paix jusqu’au jour où elle apprend qu’une attaque très sanglante contre Koumassi est planifiée par des peuples nomades vivant autour de la capitale. La raison pour l’attaque est le fait que la tribu est très riche grâce à une bonne récolte. Une prompte décision est prise, car les ennemis sont trop dangereux : la tribu veut