Trinquer

souliers crottés la veille. L’acier de son couteau, attaqué par la pomme de terre bouillie, il le frotte avec un morceau de pain, qu’il mange ensuite. Il boit un vin dont la saveur affreuse hérisse les papilles de la bouche, puis le paye au patron qui a trinqué. À sept heures ce quartier a l’air d’une cour de service. Il pleut. Fabre pense à son wagonnet qui a passé la nuit dehors, renversé près d’un tas de sable, et qu’il relèvera brutalement, grinçant, décoloré, dans le brouillard, pour d’autres charges

Excusez−moi: pas davantage. — Mauvais cela! Mauvais! Faites des calembours, lui glissa Protos à l'oreille; puis, à voix haute: Débarbouillons ce petit coeur avec le vin, et préparons−le pour la dinde. Assunta, verse à notre aimable invité. Amédée dut trinquer et boire plus qu'il n'avait accoutumé. La chaleur et la fatigue aidant, il commença bientôt d'y voir trouble. Il plaisantait avec moins d'effort. Protos le fit chanter; sa voix était grêle, mais on s'extasia; Assunta voulut l'embrasser. Cependant

Lengelé comparaissait à nouveau devant le tribunal correctionnel d’Amiens. Pour « vol aggravé » et « violation du secret professionnel », cette fois. Des faits qui remontent également à l’année 2008.p L M.Delhalle s’est souvenu qu’il avait trinqué avec les policiers. Mais il croyait qu’on disait «zigzag» quand ses compères hurlaient «Sieg Heil» A « minuit 15 », les deux bouteilles consommées, les trois policiers – bien notés et récemment décorés par le préfet, « pour avoir sauvé des gens d’une

chope. « Messieurs, conclut Pilkington, Messieurs, je porte un toast à la prospérité de la Ferme des Animaux. » On acclama, on trépigna, ce fut le débordement d'enthousiasme. Napoléon, comblé, fit le tour de la table pour, avant de vider sa chope, trinquer avec Mr. Pilkington. Les vivats apaisés, il demeura debout, signifiant qu'il avait aussi quelques mots à dire. Comme tous ses discours, celui-ci fut bref mais bien en situation. Lui aussi, dit-il, se réjouissait que la période d'incompréhension

lui ai passé, ce petit salaud. Non, la troisième place, c’est pour un client qui m’a prévenu qu’il arriverait dans la soirée. Il fait la même rando que vous, mais en sens inverse. — Ah, d’accord. Ben alors, on ne va peut-être pas l’attendre pour trinquer. — Ce serait bête, imaginez qu’il ne vienne pas. — Après tout, on est très bien comme ça. — Oui, la soirée s’annonce bien. — À la vôtre ! — Tchin ! Trois ou quatre tournées plus tard, je ne pensais plus ni au copain de Jasmine, ni au client qui avait

chope. « Messieurs, conclut Pilkington, Messieurs, je porte un toast à la prospérité de la Ferme des Animaux. » On acclama, on trépigna, ce fut le débordement d’enthousiasme. Napoléon, comblé, fit le tour de la table pour, avant de vider sa chope, trinquer avec Mr. Pilkington. Les vivats apaisés, il demeura debout, signifiant qu’il avait aussi quelques mots à dire. Comme tous ses discours, celui-ci fut bref mais bien en situation. Lui aussi, dit-il, se réjouissait que la période d’incompréhension fût

« très affable, plein de bonhomie, aimant à causer, il se plaisait à se promener seul (…) dans les premiers temps de sa royauté, on le vit continuer ses promenades dans Paris, s’arrêter pour causer avec les ouvriers, voire leur serrer la main et trinquer avec eux ». Le comportement du duc d’Orléans relève largement du calcul ou de la stratégie politique. Cette attitude simple et affable était un moyen de se rendre populaire, et de favoriser son ascension politique. Louis Philippe était un homme

souliers crottés la veille. L’acier de son couteau, attaqué par la pomme de terre bouillie, il le frotte avec un morceau de pain, qu’il mange ensuite. Il boit un vin dont la saveur affreuse hérisse les papilles de la bouche, puis le paye au patron qui a trinqué. À sept heures ce quartier a l’air d’une cour de service. Il pleut. Fabre pense à son wagonnet qui a passé la nuit dehors, renversé près d’un tas de sable, et qu’il relèvera brutalement, grinçant, décoloré, dans le brouillard, pour d’autres charges

Excusez−moi: pas davantage. — Mauvais cela! Mauvais! Faites des calembours, lui glissa Protos à l'oreille; puis, à voix haute: Débarbouillons ce petit coeur avec le vin, et préparons−le pour la dinde. Assunta, verse à notre aimable invité. Amédée dut trinquer et boire plus qu'il n'avait accoutumé. La chaleur et la fatigue aidant, il commença bientôt d'y voir trouble. Il plaisantait avec moins d'effort. Protos le fit chanter; sa voix était grêle, mais on s'extasia; Assunta voulut l'embrasser. Cependant

sait toujours se tirer d'affaire quand elle veut. Ne posez pas vos verres, messieurs ! Pettersen, remplissez ! Gregers, buvons un verre ensemble ! (GREGERS ne bouge pas.) Ne voulez-vous pas être de la partie, Ekdal ? Je n'ai pas eu l'occasion de trinquer avec vous pendant le dîner. (GRABERG entrouvre la porte dérobée.) GRABERG. — Excusez-moi, monsieur Werle, je n'arrive pas à sortir. WERLE. — Bon, vous voilà de nouveau enfermé. GRABERG. — Oui, et Flakstad est parti avec les clefs. WERLE. — C'est