Tristesse De Musset Commentaire

- Expression du doute (modalisation, interrogation) - Ruptures de la narration et jeux sur la focalisation - Champs lexicaux de la peur, de l’étrange, du monstrueux Lyrique => Exprimer ses sentiments personnels et les faire partager (joie / tristesse, bonheur/ mélancolie) - Marques de la première personne (forte implication de celui qui parle) - Marques d’expressivité (phrases exclamatives et interrogatives, vocatifs) - Musique de la phrase (harmonie rythmique et sonore) Pathétique => Emouvoir

l’expression personnelle des sentiments, il cherche à émouvoir en évoquant des sentiments communs à tous les hommes. Gérard de Nerval, « Fantaisie », Odelettes ; _ Victor Hugo, « Fonction du poète », Les Rayons et les Ombres ; _ Alfred de Musset, « Tristesse », Poésies ; _ Aloysius Bertrand, « Un rêve », Gaspard de la nuit. Question 4 : Le Parnasse a pris naissance en 1848 il prend son nom du Parnasse une montagne en Grèce où vivaient selon la mythologie le dieu des arts, Apollon. Le Parnasse

DEVELOPPEMENT Première partie : commentaire et justification de la thèse. - La poésie expression des émois du cœur. Elle traduit le besoin d’exprimer le « je » souffrant : Mélancolie, difficulté d’être avec soi-même et les autres. Exemple 1 : Les fleurs du mal de Charles Baudelaire. Justification : Expression des amours douloureuses du poète voir : « La métamorphose du vampire », « A une passante », « La muse vénale ». Exemple 2 : « Tristesse » d’Alfred de Musset. J’ai perdu ma force et ma vie Et

de Figaro (V, 3). – Dans la tragédie ou la tragi-comédie : « To be or not to be ? », Hamlet ; les stances du Cid de Corneille (I, 4) ; Phèdre (III, 2 ; IV, 5). – Dans le drame romantique : le monologue de Cœlio à la fin des Caprices de Marianne de Musset ; le monologue d’Hernani (I, 4), celui de Don Carlos dans Hernani de Hugo (IV, 2), les monologues de Ruy Blas marchant « dans son rêve étoilé » (III, 4 notamment) (Hugo). – Dans le théâtre moderne : le Prologue et le Chœur dans Antigone d’Anouilh

pinceau sur une toile. Avec ces touches rapides, Verlaine peint des images obsédantes, donnant un sentiment de tristesse non définie qui est devenu la marque de l'oeuvre verlainienne. En comparant un soleil couchant "sur les grèves" aux "fantômes", en décrivant comment les "étranges rêves, comme des soleils...défilent sans trêves", le poète renforce l'aspect vague et indéterminé de la tristesse et souligne la nature affaiblie de la lumière, et peut-être la fragilité de la vie. La structure des phrases

› Nuit rhénane, un fantastique surprenant entre ivresse et éclat de rire (Seconde et Première) p. 5-6 Fiche 4 › « Mes amis m'ont enfin avoué leur mépris » ou l’art poétique de la dissonance (Première) p. 6-7 Fiche 5 › Pour aborder le commentaire littéraire (Seconde) p. 8-9 Fiche 6 › autour de l'œuvre (Seconde et Première) p. 9-10 Fiche 7 › D'un texte à l'autre, les résonances (Seconde et Première) p. 11-12 Fiche 8 › Du texte à l’image (Seconde et Première) p. 12 Fiche 9 › Questions

PLAN DU COMMENTAIRE I/ Un tableau de la vie quotidienne… A ) Un monde à l’envers B ) La décadence d’une patrie C ) L’Histoire dans les vers : un univers satirique II/ … au lyrisme générique A ) « Les Yeux des Hommes » B ) Une symétrie des camps C ) Un chant de mémoire III/ L’espoir poétique A ) La fuite B ) La poésie de contrebande C ) Des Nuits de Fêtes Galantes   Le 13 mai 1940, devant la Chambre des Communes, lors d’un discours resté célèbre, Winston Churchill

temps ; Oceano Nox ; Guitare ; Tristesse d'Olympio ; Melancholia ; Spectacle rassurant ; Fonction du poète ; Demain dès l'aube... ; A l'obéissance passive ; les raisons du Momotombo ; Pépita, "les fredaines du grand-père enfant", Jeanne était au pain sec Bordet, Gaston.- Hugo : hier, maintenant, demain.- CRDP de Franche-Comté/Delagrave, 2001.- 221 p. ; 18x12 cm Anthologie thématique (l'enfance, le romantisme, l'engagement, l'exil) de l'œuvre de Victor Hugo, un commentaire historique et littéraire offre

possible à partir des didascalies externes et internes. Projection de la captation des Justes dans la mise en scène de Guy Pierre Couleau. Analyse d’un spectacle. Autres figures de « terroristes » dans la littérature théâtrale : Lorenzaccio de Musset, Les Mains Sales de Sartre. Le théâtre, comme lieu du conflit : sujet d’EAF sur les conflits entre frère et sœur. SÉQUENCE N°2 : «La fable, un instrument de satire ? » Objet(s) d'étude : Argumenter : persuader, convaincre

plus de créateurs, il peut difficilement faire l’objet d’une approche scolaire. L’enseignement, par la force des choses, met l’accent sur le texte. Peut-on vraiment le regretter quand le texte est écrit par Sophocle, par Corneille, par Racine, par Musset, par Claudel ? Le texte théâtral se distingue des autres textes littéraires par des traits spécifiques qui sont rappelés dans les chapitres 31 et 32. Si les chapitres 33 et 34 sont consacrés à l’objet d’étude inscrit au programme de la classe de