Tristesse Montaigne

De la passion, champ escarpé remué par maints scrupules Qui dans tous ses états l’âme est embrasée De la colère, transport incendiaire aux flammes tentacules Frémissantes au vent rétif d’une raison braisée De la tristesse, lassitude désarmée sans le moindre émule Qui fait du rêve une terre inculte et abrasée Des suppliques, basses effluves sans le moindre recul Digne Courage bafoué et échine fière mais brisée … ! Tonique l’émotion s’imprègne de belles évocations lyriques Mais, point

attendant impatiemment une réponse. Elle arriva un mardi lorsque je déjeunais. Mon père me l’apporta et je lus : « Cher ami, venez me rendre visite, je suis seule et votre compagnie m’apportera, j’en suis sûre, la joie qui me fait défaut. Venez, la tristesse est une bien mauvaise maladie ». Je fis mes bagages immédiatement et partis par le train de 17 heures. En deux heures, j’étais arrivé et pris un bus pour m’aventurer vers sa demeure située dans les bois. Je sonnai et elle m’embrassa avec empressement

faire penser à toi. Même après une année entière loin de toi. Je ne crois pas que je pourrais tout oublier, j’ai tellement peur de me tromper une fois de plus. J’ai vraiment eu mal au cœur lorsque tu t’es enfui. Si tu regardes bien, tu verras de la tristesse en moi, en écoutant bien, tu entendras de la colère qui résonne encore un peu en ma voix. Tout ça, à cause d’une fin qui n’aurait pas du avoir lieu. J’ai peur d’aimer, peur de rêver, peur de revivre cet enfer que tu m’as causé. Je voulais simplement

ce triste moment. En effet, l’accompagnement de mon cousin tout au long de sa douloureuse maladie a été une épreuve pour tous ses proches et nous avons tous eu de la peine de l’avoir vu souffrir et s’en aller petit à petit. Comment te dire notre tristesse de te voir partir ? Notre deuil va être long, comment oublier une personne comme toi, Anthony. La mort t’a emporté trop vite toi qui aimais tant la vie. Tu n’as pas eu le temps de la faire, les projets que tu me disais en étant petit et encore

essentiellement l’octosyllabe. Ce type de vers combiné aux très nombreux enjambements (6) permet de souligner la rapidité et l’enchaînement des actions. • Les obsèques de le Lionne donnent à voir le chagrin du Roi. Toute une isotopie lexicale de la tristesse est, pour ce faire, développée : « consolation », « affliction », « aux cris s’abandonna ». L’allitération en [r] crée une harmonie imitative qui nous fait presque entendre les rugissements du lion et ceux de ses courtisans : « Le Prince aux cris

moment heureux. Au contraire, cette période peut être synonyme de malheur, de tristesse. Ainsi, la retrospection peut soit être por l'ecrivain le moyen de "revivre" un bonheur perdu (donc, signe de nostalgie), ou alors, le moyen de purger des souffrances toujours présentes, avec lesquelles l'auteur ne parvient pas à se distancier. Dans ce cas précis, la retrospection est une thérapie, un remède. Evoquer une telle tristesse permet en effet de la dépasser: l'écriture, donc, n'en est que sublimée.

spécialistes, plein d’espoir, pour qu’on leur dise le contraire. Comme non découvert pendant la grossesse dans le cas présent, ce handicap apparait comme inacceptable, inadmissible. Puis, plusieurs sentiments vont s’entremêler : on navigue entre tristesse, dépression, culpabilité, ou même colère contre le corps médical. Mais heureusement, tout doucement, l’équilibre se rétablit, et on commence à se rendre compte des bons côtés, on sait profiter des moments agréables, on construit une relation avec

présente d'une part le mythe de l'amour parfait et éternel qui unit deux amants par-delà de la mort puis l'émotion éprouvé lors d'un amour pronfond, un amour « à perdre la raison ». Le second lui, expose les bienfaits de la solitude avec une certaine tristesse. Mon troisième wagon lui est d'ailleurs consacré, ici nous plongeons dans un monde caractérisé par le manque, le manque d'amour, de bonheur et de vie. Il nous présente notamment l'absence d'un père. Le suivant est celui de la haine et même s'il n'est

d’un roman. Ce que l’on éprouve lors de la lecture d’un roman n’est pas restreint aux trois sentiments présentés par Alain Robbe-Grillet. Le sentiment principal qui permet d’apprécier la lecture d’un roman peut être : la peur, l’angoisse, la tristesse, la joie… Par exemple la peur est un sentiment présent à la lecture de Claude Gueux de Victor Hugo, elle est liée aux incertitudes sur le devenir du personnage et de ses actes. Dans les romans contemporains aussi j’ai ressentis ce sentiment qui faisait

cette événement, des réflexions sur l'amour passionné apparaissent chez le lecteur. Un amour s'il n'est pas réciproque, ne doit pas tourner à la folie ou à l'obsession. Ce sentiment fait souffrir s'il n'est pas partager et peut conduire à un état de tristesse incontrôlable. Il serrait donc préférable pour l'être humain de maitriser ses sentiments afin de ne pas souffrir, chose facile à méditer mais cependant difficile à exécuter.