Tristesse

qui expriment une diminution de la puissance d'exister sont du ressort de la tristesse. (Ainsi de la souffrance, de la haine, de la jalousie, de la crainte, de l'angoisse, du remords, de l'humilité etc.). Le problème pour Spinoza est de comprendre pourquoi, plutôt que d'affirmer l'existence sur le mode de la joie c'est-à-dire de l'affirmation et de l'augmentation, le désir puisse l'exprimer sous la forme de la tristesse c'est-à-dire de la négation et de la diminution de la puissance d'exister

lui ont fait subir. Durant toute cette partie de l’extrait, il est facile de ressentir la tristesse de Boule de suif : « […] deux grosses larmes se détachant des yeux roulèrent lentement sur ses joues. D’autres les suivirent plus rapides […] » (lignes 49 et 50). Par ailleurs, il est facile de voir une gradation dans ses émotions. Elle commence par être en colère puis elle devient triste. Ensuite, la tristesse monte en elle, mais elle ne veut pas pleurer : « Elle fit des efforts terribles, se raidit

bonne heure Pour moi ça aurait été fatal Parfois un peu tard Je me serais embêté Sans toi mon amour qui m’est si vital La tristesse N’attend pas pour frapper Elle arrive à toute vitesse

présente d'une part le mythe de l'amour parfait et éternel qui unit deux amants par-delà de la mort puis l'émotion éprouvé lors d'un amour pronfond, un amour « à perdre la raison ». Le second lui, expose les bienfaits de la solitude avec une certaine tristesse. Mon troisième wagon lui est d'ailleurs consacré, ici nous plongeons dans un monde caractérisé par le manque, le manque d'amour, de bonheur et de vie. Il nous présente notamment l'absence d'un père. Le suivant est celui de la haine et même s'il n'est

le thème central est la solitude, mais aussi le repli sur soi, le recueillement. Dès les premières strophes, il apparaît que le poète est malheureux : le registre du poème est élégiaque : l’effet produit est la tristesse, la mélancolie. Le champ lexical de la tristesse : v2 –«  tristement », v19 –« ainsi qu’une ombre errante », v28-« un seul être vous manque et tout est dépeuplé » La nature qui l’entoure lui offre un spectacle auquel le poète est indifférent. Ex v17 –« mon âme indifférente »

tout  ? Une fille, pour qui un problème n'as pas vraiment d'importance, Qui les règlent en deux jours, sans la moindre méfiance  ? N'y aura t-il pas un jour, où tout ira bien  ? Où je pourrais vouloir faire pause, Car tout aura disparu, La tristesse, le stresse la solitude, Et tout ce qui fait mal au ventre. Un jour où je me sentirais moi, Où je ne voudrais pas ressembler, à ce que je ne suis pas, Où je serais fière d'être là où j'en suis, Avec ma famille, et mes vrais amis. Un jour

| | |Séance 3 |Expression de la colère|Correction collective des questions de CE et débat | |Forme : | |7 Mai | |3) La colère, joie, tristesse | |Visible | | | |Discussion | |Moment : | | |

cd possède 12 pièce, la qualité de l’enregistrement est claire et auditible tout les instruments son mise en valeur, on capte un tempo mais on le perd facilement suite au changement d’instrument, les enchaînement des pièces peuvent passer de la tristesse à la gaieté ou même à la mélancolie. 4. Musiciens : le violon donne comme une sorte de tempo mais aussi une mélodie , au piano qui donne soit une mélodie à rythme rapide ou plus doux. Leur interprétation est plus moderne contrairement à la version

Car, et vous me pardonnerez cette « Lapalissade », avant une famille qui se recompose, il y a deux familles qui se décomposent. Et dans ces moments de séparation et de ruptures, personne n’est épargnée et chacun vit son lot d’émotions pénibles : tristesse, regret, ressentiment, culpabilité, agressivité, amertume… Les enfants sont bien secoués, leurs repères vacillent. Pour les plus jeunes les fantasmes d’abandon se réactivent avec plus ou moins de force et il faut accepter, assimiler, que quand on

noir, est un roman assez réaliste et au personnage ayant des apparences réelles. Une des raisons pourquoi je n’ai apprécié ce roman c’est car je ne me suis pas vraiment identifié aux personnages. Je n’arrive pas à compatir pour Mandoline et pour sa tristesse, « 18 ans de drames et mélodrames » (p11). Peut être que si le personnage principal était masculin, je m’y assimilerai plus. Je ne comprends pas non plus Nicolas, comment peut-il tomber amoureux d’une ancienne danseuse nue, alcoolique et toxicomane