Trop De Liberté

refusa, il a donc modifié son œuvre en situant l'action en 1984 et rendu futuriste son univers pour ne pas choquer et être accepté par son éditeur. Le roman se déroule dans un Londres que l'on pourrait juger de communiste et totalitaire où la liberté d'expression n'existe plus, tout le monde est surveillé 24h sur 24 grâce à des « télécrans » placés dans la rue et les domiciles, cet appareil permet au « Parti » ( le gouvernement du régime totalitaire ) de voir et entendre chaque habitant, le Parti

fléau. En effet, dans notre histoire ces régimes ont tenu le peuple sous leur autorité, les privant de leurs libertés et nos démocraties ont été construites justement pour lutter contre ces tyrannies. Or, il existe une nouvelle forme d'oppression au sein même de la démocratie qui ne ressemble en rien aux précédentes. Ainsi, il apparaît qu'en démocratie un état tutélaire qui s'occupe trop des individus fini par les priver leur libre arbitre. Le problème qui se pose à nous est donc le suivant : soit

abordés sur cette page : Avoir ou Etre... Condition humaine, Absurde, Univers...  Folie, Sagesse... Liberté, Idéal... Philosophie, Pensées... Raison, Science...  Temps, Age, Souvenir, Histoire... Vie, mort, existence... + de thèmes Avoir ou Etre : "La fortune ne devrait être possédée que par les gens d'esprit : autrement, elle représente un danger public." Friedrich Nietzsche, Humain, trop humain. "J’ai trouvé ma devise - deux verbes auxiliaires : être vaut mieux qu’avoir." Marina Tsvetaeva

« Liberté, Egalité, Fraternité » est la devise de la France depuis 1848. Cette expression reprend les idées de liberté et d’égalité qui sont contenues dans la « Déclaration des droits de l’homme et du citoyen » votée en 1789 par l’assemblée constituante. L’idée de fraternité, vient quant à elle, du préambule de la constitution de 1848, rédigée pour la mise en place de la II ème République. Cette devise figure sur la plupart des bâtiments publics et sur les papiers officiels provenant de l’Etat. A

Sujet : Le respect de la liberté d'autrui fait-il obstacle à ma propre liberté? S1 'agissant de la liberté, l'opinion commune -que sans doute d'ailleurs, sur ce point, chacun de nous partage intimement et initialement- oscille entre deux extrêmes2 . D'abord elle conçoit la liberté comme absence absolue de limites, rigoureuse négation de toutes contraintes, pouvoir absolu sur soi, les autres et le monde3 . Le prototype d'une telle liberté serait Calliclès lorsqu'il déclare4 : "Car comment

peut être important de faire une différence entre libre et liberté. En effet, le droit du travail garantit une liberté de faire grève. Mais cette liberté est encadrée, structurée et suppose un respect de la loi des deux parties, les salariés, les employeurs. Nous avons donc à faire avec une liberté qui s’accompagne de devoirs. Si en revanche, dans la mesure même ou le législateur a rigoureusement encadré ce droit à la grève, cette liberté dans un exercice professionnel de faire quelque temps grève

idéal, d’un modèle, sans le moindre défaut, pourvu d’une société sans inégalité, où tous les hommes sont égaux, et d’un système politique irréprochable. Il s’agit généralement d’une société collectiviste qui entre parfois en contradiction avec la liberté individuelle. Des auteurs s'interrogent donc sur cet idéal, et c’est ainsi qu’on peut se demander si décrire une société idéale permet de critiquer

institutions, droits et libertés, normes juridiques. Droits et libertés : La C protège ces droits et libertés de différentes façons. France = idée du préambule, la C est précédée d’un préambule qui protège ces droits et libertés (DDHC, 1789 a été posée en 1791 sur la C sous forme de préambule. Problème : le fait qu’elle soit dans un préambule, cela lui donne un air purement « décoratif ». 1971, la France décide de donner valeur juridique au préambule. Allemagne = ces droits et libertés sont intégrés dans

politique. Qu’est-ce qui est le mieux ? L’égalité, la liberté ? Et jusqu’à quel point ? Faut-il tomber dans l’extrémisme ? Le roman de Georges Orwell, 1984, propose un monde divisé en trois grandes puissances, où l’égalité prime et permet une stabilité politique très importante. Toutefois, pour réussir ce tour de force, les libertés sont réduites à néant. Est-ce que nous devons atteindre l’égalité à tout prix ? Devons-nous sacrifier nos libertés pour que tout le monde puisse se dire égaux ? Non. L’égalité

loué de pleureuses, pas même de larmes de vos femmes anciennes -Elles ne se rappellent que vos grands coups de colère, préférant l’ardeur des vivants Les plaintes des pleureuses trop claires Trop vite asséchées les joues de vos femmes, comme en saison sèche les torrents du Fouta Les larmes les plus chaudes trop claires et trop vite bues au coin des lèvres Oublieuses. Nous vous apportons, écoutez-nous, nous qui épelions vos noms dans les mois que vous mouriez Nous, dans ces jours de peur sans mémoire