Trope

pastiche pénates pétale pétiole planisphère platine (métal) pore poulpe prêche quadrige quinconce quine rail rifle salamalecs scolie sépale sévices socque stade stipe tentacule térébinthe thyrse trèfle trille triqueballe trope trophée trottin tubercule tulle ulcère uretère ustensile vestige viscère vivres Un texte reçu par e-mail dont je veux vous faire profiter ;-) Les hommes se bidonnent avec la langue française ! La langue française est quand même bizarre

tout, la matière pour l’objet, le contenant pour le contenu, etc. et inversement. | un toit pour une maison, une fourrure pour un manteau de fourrure, boire un verre | topique adj. ou n. m. / RHET | Relatif aux lieux communs, lieu commun. |   | trope n. m. / RHET | Figure qui implique un changement du sens premier, propre, des mots. | Métaphore et métonymie sont des tropes. | zeugma ouzeugme n. m. / RHET | Figure de style qui consiste à lier par la syntaxe deux mots ou groupes de mots dont

l’Histoire. Les grands homes de l’histoire de France. 3ème Rep crée le panthéon des grands hommes de l’histoire. Fait construire une galerie à versailles. Fondation mythique de la république. Au Programme d’histoire : St Louis. Roi justicier qui ne se trope pas. République est celle qui rend la bonne. Autre personnage figure de la République : Jeanne d’Arc. Au moment de la mettre au panthéon : canonisé en 1904. Unifie la France divisée. Dès 1900 : 2 parties : républicains la défendent. Montée de la notion

pour obtenir un effet de renforcement ou de symétrie. » à Antithèse. « Une antithèse […] est une figure de pensée qui présente deux idées opposées. […] Le plus souvent, c’est un simple effet de contraste entre deux termes. » à Antonomase. « Trope qui consiste à désigner un personnage par un nom commun qui le caractérise, ou, inversement, à désigner un individu par le personnage dont il rappelle le personnage typique (ex. un harpagon [personnage de Molière] pour un avare, la Dame de Fer pour

Langue source ou langue cible. Autres ex. : Les grandes artères d’une ville, la théorie des dominos (Dulles supposait que si le Vietnam devenait communiste, toutes les autres nations de la région suivraient). Reboul définit ainsi la catachrèse : trope rendu nécessaire par l’absence de tout terme propre : les ailes de l’avion (par métaphore), le collège (par métonymie). La catachrèse se rencontre souvent dans le langage technologique contemporain. Ainsi surfer, naviguer, ont été relexicalisés

dialogue amoureux,. La reine de Palestine, comme le nouvel empereur de Rome exaltent leur sentiment par des métonymies « cœur », qui exprime un amour réciproque, ou encore par celle de « ma flamme », figure de style (que l’on appelle également « trope » classique, également présente dans la réplique du valet Ruy Blas « six mois cachant ma flamme ». À la surprise de la reine découvrant un Ruy Blas si courageux, celui-ci justifie son attitude par l’anaphore « parce que je vous aime » (…) parce que

les quelques articles qui la précèdent souffrent un peu de cette notoriété. Pourtant, l’acuité du regard du critique s’y exerce déjà de façon magistrale. L’article Métonymie chez Proust, qui s’applique à démontrer le fonctionnement particulier de ce trope dans le chef-d’œuvre du romancier français, mérite qu’un lecteur qui veut s’aventurer dans La recherche s’y intéresse avant d’entreprendre son voyage. En dépassant le sens premier de la figure de style qu’est la métonymie, figure qui consiste à déplacer

en prose qu’en vers, à besoin d’utiliser des images, d’avoir recours à des détours pour rendre explicite sa pensée. Elle permet donc de produire d’innombrables rapprochements de sens et d’images entre des mots, c’est pour quoi elle est appelée un « trope » c'est-à-dire une figure qui consiste à détourner un mot de son sens habituel (ou propre). Son utilisation extrême ne fait aucun doute dans la littérature en générale. Nous en voulons pour preuve que dans la littérature négro-africaine, la plupart

ainsi qu’à la nécessité de la grâce. Ce qui lie théâtre et religion au Moyen-Âge est tout d’abord, rappelons le : l’Eglise. Le drame liturgique est né des tropes, qui sont des pièces poétiques chantées lors de la messe lors du Xème siècle. Le trope sera « l’embryon » de tout drame liturgique futur, car ceux-ci étaient chantés sous forme de dialogue. C’est ce qui nous mène directement à la forme théâtrale du miracle jouée d’abord lors des messes dans les églises. Les miracles se caractérisent

plus spécifiques à la médecine et nous vous invitons à les découvrir ou redécouvrir : 3 chapitres vous sont proposés - les suffixes généraux : -ASE   -CULE   -IDE   -CRITE   -DOQUE   -LOGIE   -OPSIE   -PENIE   -PHILE   -PHOBE   -PHORE   -PHYSE   -TROPE -          Les suffixes liés à une activité ou un état de l’organisme : -ITE   -OME   -OSE    -PARE   -PEPSIE   -PHASIE   -PNEE   -POÏESE   -PTYSIE   -RRAGIE   -RRHEE   -STHENIE   -TROPHIE -          les suffixes décrivant une action chirurgicale :