Trou de ver

ils ont plus de chocs et de plaies Que les suppliciés promenés sur des claies ; Sous eux rampent le ver, la larve et la fourmi ; Ils s'enfoncent déjà dans la terre à demi Comme dans l'eau profonde un navire qui sombre ; Leurs pâles os, couverts de pourriture et d'ombre, Sont comme ceux auxquels Ézéchiel parlait ; On voit partout sur eux l'affreux coup du boulet, La balafre du sabre et le trou de la lance ; Le vaste vent glacé souffle sur ce silence ; Ils sont nus et sanglants sous le ciel

pouvait plus voir les liqueurs : « Tenez, ajouta-t-elle en montrant son verre, j’ai mangé ma prune ; seulement, je laisserai la sauce, parce que ça me ferait du mal. » Coupeau, lui aussi, ne comprenait pas qu’on pût avaler de pleins verres d’eau-de-vie. Une prune par-ci par-là, ça n’était pas mauvais. Quant au vitriol, à l’absinthe et aux autres cochonneries, bonsoir ! il n’en fallait pas. Les camarades avaient beau le blaguer, il restait à la porte, lorsque ces cheulards-là entraient

jusqu'à ce que je me mise à boire, j'enchainais les verres, les vodkas, les whisky, je ne trouvais plus Théa, je rigolais telle une idiote, des hommes dansaient autour de moi, ils se rapprochaient de plus en plus, se frottaient à moi, tous ce qu'il y avait autour de moi était flou, j'avais chaud puis froid puis à nouveau très chaud, un des hommes qui me tournait autour me pris par la main et m'enmena à une table et m'embrassa.. Après celà, le trou noir.. Je me suis réveillé dans notre appartement a

a paradise dans l'Ohio Les personnages principaux :   John Smith (Numéro quatre) : John Smith est un Loric qui possède certains dons et aptitudes qui l'aident à protéger les autres et lui-même. Ces pouvoirs, commencent à apparaître ver le début ,le milieu et la fin. À la fin du roman, ses héritages Loric sont les suivants: * Télékinésie * Lumen * Télépathie avec les animaux * Amélioration Henri Smith : Henri est le Cêpane de John, Il avait une femme et

les Berlinois parlent du Kurfüstebdamm) a changé extérieurement. La Gedächtniskir- che est mutilée. Les maisons n’ont presque plus de toit et on ne voit pas un arbre sur cette avenue connue autrefois pour sa ver- dure. Le métro de l’Uhlandstrasse fonc- tionne encore, malgré le trou que les bom- bes ont percé entre la Rankestrasse et la place de Wittemberg. Notre promenade est interropue par une femme en pantalons militaires qui agite un grand drapeau rouge. « Attention, nous crie-t-elle

douceur. Tu portes plus galamment Qu’une reine de roman Ses cothurnes de velours Tes sabots lourds. Au lieu d’un haillon trop court, Qu’un superbe habit de cour Traîne à plis bruyants et longs Sur tes talons ; En place de bas troués, Que pour les yeux des roués Sur ta jambe un poignard d’or Reluise encor ; Que des nœuds mal attachés Dévoilent pour nos péchés Tes deux beaux seins, radieux Comme des yeux ; Que pour te déshabiller Tes bras se fassent prier

l’enfant qui passe loin de nous s’efface Et pâle nous chasse à coup de pavés. Des saisons entières dans les fondrières Un trou sous les pierres est notre réduit. Le serpent en boule près de nous s’y roule Quand il pleut en foule nous sortons la nuit Et dans les salades faisant des gambades Pesant camarades nous allons manger. Manger sans grimaces cloporte ou limace Ou ver qu’on ramasse dans le potager. Nous aimons la mare qu’un reflet chamarre Où dort à l’amarre un canot pourri. Dans l’eau

mon pauvre cœur tari  » Max Jacob, l'Accord • La poésie lyrique est par excellence le lieu de la comparaison et de la métaphore : «  Et je porte avec moi cette ardente souffrance Comme le ver luisant tient son corps enflammé »  » Guillaume Apollinaire, Calligrammes, « Tristesse d'une étoile » «  C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent […]  » Rimbaud, Poésies, « le Dormeur du Val » 3. La ponctuation • La ponctuation souligne l'émotion

Gervaise trouve "bête" sa réaction. La redondance par laquelle elle l'exprime a également une valeur affective. En artiste curieux, Zola a recueilli les images argotiques propres aux piliers de cabaret: l'alcool devient du "vitriol", les petits verres sont des "dés à coudre", l'éloquence lyrique de Mes-Bottes, un "fichu grelot". Ces Images de parler populaire se diffusent jusque dans le style du narrateur: "rire de poulie mal graissée" et "machine à soûler". Le ton des propos de Mes-Bottes

d’une pastille, ou plage, ou fenêtre (Centre déterminé à partir du contour du motif) Ecarts entre positions relatives de centres de pastilles, plage ou fenêtre théoriquement superposées (superposition des clichés) Largeur des pastilles Diamètre du trou traversant la pastille 1 0.7 0.6 2 3 4 0.19 0.19 5 6 7 0.45 0.28 0.45 0.28 0.13 0.09 0.13 0.09 0.2 0.15 0.1 0.1 0.05 0.07 0.04 0.05 1.05 0.6 0.03 0.03 0.04 0.04 0.85 0.65 0.55 0.45 0.35 0.3 1.65 1.25 0.8