Trou de ver

grenades, flambe, crépite. C'est comme une folie de flammes et de fracas qui brusquement éclate dans la nuit. Tout tire. On ne sait rien, on n'a pas d'ordres : ils attaquent, ils sont dans le chemin, c'est tout... Un homme passe en courant devant notre trou et s'abat, comme s'il avait buté. D'autres ombres passent, courent, avancent, se replient. D'une chapelle ruinée, les fusées rouges jaillissent, appelant le barrage(1) Puis le jour 10 semble naître d'un coup ; de grandes étoiles blafardes crèvent

qui il en reste une. Tous ces motifs permettent de les identifier comme de anciens combattants. Le personnage du milieu possède deux moignons prolongés par des prothèses, une mâchoire en métal, une partie de la peau du crâne recousu, un œil de ver et un trou à la place de son oreille. Celui de gauche à un instrument qui remplace son oreille manquante, également un moignon prolongé par une prothèse, une jambe tordue qui lui sert de bras, une main articulée en bois, un œil en moins et le visage tout

romantiques. Le poète imagine sont prochain été, il ira dans les sentiers pour développer tout ses sens, le toucher, l'odorat. Le titre sensation est au singulier alors que l'on parle de plusieurs sensations, il devrait être au pluriel. Le premier ver évoque les soirs d'été, l'image magique et agréable des soirs. Il évoque un désir de partir, il cherche de l'intimité, il veut aller seulement dans les sentiers. Cette nature donne l'impression de la douceur d'une femme qui l'accompagne dans son voyage

majeur de l’époque qui l’alcool. Il prit des notes sur des ouvrages médicaux étudiant les méfaits de l’alcoolisme sur l’organisme humain. Nous voyons une progression d’alcool chez Coupeau. Ce dernier se méfaits de l’alcool et se contente de prendre des verres de cassis d’où son surnom Cadet-cassis. L’accident de Coupeau entraina une dispense ce qui par la suite entraina de l’ennui puis de la paraisse. Il se repose sur son épouse Gervaise et exploite son salaire. Il devient définitivement alcoolique. Son

perdre couleur ainsi que les feuilles. Les fruits vont pourrir .Les verres vont ternir avec le temps. Il ya un verre moitié bu, ce qu’il montre qu’il a déjà été bu auparavant. VAN MOL, Pieter (1599 -1650), La déposition, vers 1630, Huile sur toile, S.D, Musée Beaux-arts, Montréal, Canada. Le spectateur se sente interpellé par l’œuvre par les personnages de grandeur nature. L’homme situé à droite de l’œuvre noua regarde. Il ya un trou dans la composition de l’œuvre en avant-plan. L’angle de vue est

marinées une crevette et un pickels et dans un petit pot nous leurs avons mis des pop corn assaisonnés au curry. Tout cela se mariaient très bien avec l'apéritif que les serveurs leurs avez préparé. Pour terminer cette apéritif nous avons pris des verres et ajouté de la soupe de potiron avec une belle émultion blanche à la noisette pour donner un effet capuccino. Les clients avaient une entrée froide qui étais constituée de tartare de bar qu'on avait légerement assaisonné pour ne pas gacher le

| ''tous rondelets'', ''nez rougis par les pourboires'' | Évocation de la mise en terre par l'accumulation d'objets & de personnes | | Dépoétisation de la scène par des détails prosaïques | ''pioche'', ''trou'', ''éboulement'' → regard tiré ver le ba | Tous les éléments & acteurs d'une scène d'enterrement réunis | ''le fossoyeur'', ''le prêtre'', ''l'enfant de cœur'', ''croques-morts'', ''héritiers'' | Respect de la chronologie : étapes | |

tant. Et s’achève tou jours par l’épreuve du conqué rant. » 10. « Per sonne ne peut fuir son coeur. C’est pour quoi il vaut mieux écou ter ce qu’il dit. » – Ci ta tion Paulo Coelho 11. « L’heure la plus sombre est celle qui vient juste avant le le ver du so leil. » 12. « Peut-être Dieu a-t-il créé le dé sert pour que l’homme puisse se ré jouir à la vue des pal miers. » 13. « Il n’y a qu’une chose qui puisse rendre un rêve im pos sible, c’est

; ils ont plus de chocs et de plaies Que les suppliciés promenés sur des claies ; Sous eux rampent le ver, la larve et la fourmi ; Ils s'enfoncent déjà dans la terre à demi Comme dans l'eau profonde un navire qui sombre ; Leurs pâles os, couverts de pourriture et d'ombre, Sont comme ceux auxquels Ézéchiel parlait ; On voit partout sur eux l'affreux coup du boulet, La balafre du sabre et le trou de la lance ; Le vaste vent glacé souffle sur ce silence ; Ils sont nus et sanglants sous le ciel pluvieux

hochant la tête ", " les yeux attendris ", "les camarades ricanaient. La scène semble avoir été observée sur le terrain - langage: juron (" Tonnerre de Dieu ! "), termes d'argot : " le vitriol " (= l'eau-de-vie), " les dés à coudre " (= les petits verres), " ce roussin de père Colombe " (= cet indicateur de police), " un fichu grelot " (= un fameux bavard). Les gestes et le langage de ces personnages rendent la description plus vivante, plus animée, plus naturelle. Description précise du mécanisme