Trou de ver

longues jambes, et très gentil. Le nom de Colin lui convenait à peu près. Il parlait doucement aux filles et joyeusement aux garçons. Il était presque toujours de bonne humeur, le reste du temps il dormait. Il vida son bain en perçant un trou dans le fond de la baignoire. Le sol de la salle de bains, dallé de grès cérame jaune clair, était en pente et orientait l’eau vers un orifice situé juste au-dessus du bureau du locataire de l’étage inférieur. Depuis peu, sans prévenir Colin, celui-ci

mince avec de longues jambes, et très gentil. Le nom de Colin lui convenait à peu près. Il parlait doucement aux filles et joyeusement aux garçons. Il était presque toujours de bonne humeur, le reste du temps il dormait. Il vida son bain en perçant un trou dans le fond de la baignoire. Le sol de la salle de bains, dallé de grès cérame jaune –6– clair, était en pente et orientait l’eau vers un orifice situé juste au-dessus du bureau du locataire de l’étage inférieur. Depuis peu, sans prévenir Colin

MAUPASSANT (1850-1893)] Nouvelle fantastique : journal fictif2 août. - Rien de nouveau; il fait un temps superbe. Je passe mes journées à regarder couler la Seine. 4 août. - Querelles parmi mes domestiques. Ils prétendent qu'on casse les verres, la nuit, dans les armoires. Le valet de chambre accuse la cuisinière, qui accuse la lingère, qui accuse les deux autres. Quel est le coupable ? Bien fin qui le dirait! 6 août. - Cette fois, je ne suis pas fou. J'ai vu... j'ai vu... j'ai vu!... Je

45/689 compassion et se contenta d’aller nous chercher à boire. La nuit nous surprit tous les trois si profondément perdus dans nos pensées qu’aucun d’entre nous n’avait songé à allumer dans la pièce. Nous n’avions rien mangé de la journée, et nos verres étaient encore pleins. Je priai Emma de rentrer chez elle. — Mes enfants sont avec ma mère, me rassura-t-elle. Je peux rester. — Ce n’est pas nécessaire. — Vous êtes sûr que vous n’avez pas besoin de moi ? — Ça va aller, Emma. Avant de s’en aller

aime à souligner la force qui s’élève du collectif, le mouvement, l’organisation compacte, l’entité « foule » donne à ce passage une force épique rarement egalée en littérature depuis Zola. Metonymie : tout defini par une partie « les yeux », « le trou des bouches ». II. Dénonciation d’une réalité sociale a. Un objectif naturaliste/Un réalisme extrème pour découvrir les lois qui régissent le monde Isotopie de la pauvreté « guenilles, en loques, culottes deteintes, cordes de leur cou décharnées… »

semblait vernie ; et les verres, l'argenterie, le réchaud brillaient gaiement sous la flamme de douze bougies portées par deux hauts candélabres. Au dehors on apercevait une grande tache d'un vert clair que faisaient les feuilles d'un arbre, éclairées par la lumière vive des cabinets particuliers. Duroy s'assit sur un canapé très bas, rouge comme les tentures des murs, et dont les ressorts fatigués, s'enfonçant sous lui, lui donnèrent la sensation de tomber dans un trou. Il entendait dans toute

étape: Il prend le loup, traverse la rivière et revient avec la chèvre. 3eme étape: Il prend le chou, traverse la rivière et revient seul pour prendre la chèvre restée seule. . 18°/ Le trou : Combien de mètres cube de terre y a t’il dans un trou de 2m de diamètre et de 3m de profondeur. Réponse : Un trou c'est vide !!!!! Il n'y a donc pas de terre !!! . 19°/ L'héritage : Un homme venant à mourir partage son bien, un certain nombre d'écus, entre ses enfants, de telle sorte qu'il ordonne

blanchiment, pas de séchage en tambour, pas de repassage. Le cycle du linge11 © N A TH A N - L a p h o to co p ie n o n a u to ri sé e es t u n d él it .Partie 3. L’entretien des textiles l 67 Services à l’usager Détachage : action d’enle- ver les taches. Aqueux : qui contient de l’eau. Centrale vapeur : appa- reil constitué d’un fer et d’un réservoir d’eau séparé pro- duisant la vapeur. VOCABULAIRE Notions essentielles Le cycle du linge rassemble les opérations successives visant

bordure de la voie ferrée, parmi des champs de pommes de terre ou de seigle, à une cinquantaine de mètres d’un maigre taillis de bouleaux et de saules, qu’on imagine une vétuste baraque en bois, grisâtre, sale et délabrée, au fond d’un « trou », un véritable trou creusé dans la terre glaise, dominé de tous les côtés, sauf un, par les champs environnants. Le seul côté libre est justement celui que flanque le taillis d’arbustes rabougris, sur la gauche. Et puis bien sûr, immédiatement après une sorte

9 14 3 13 12 11 8 9 10 11 Commandes centrales Boîte à gants Bouton feux de détresse Commandes de chauffage/ventilation/ climatisation 12 Curseur de recyclage 13 Allume-cigares 14 15 16 17 18 19 2 1 10 Porte-verres Cendrier Contacteur à clé Levier de réglage du volant Airbag Levier d’ouverture du capot moteur TABLEAU DE BORD Versions Punto A Tachymètre (indicateur de vitesse) C Indicateur du niveau de carburant avec témoin de réserve E Afficheur