Trou Du Cul

Duchamp qui l'a ditPas moyen de l'éviter, de l'oublier, celui-làQU'EST CE QUE L'ART ?Tout ce qui n'était pas art va le devenirCe trou d'égoutCette peau de bananeCe verre d'eau pleinMais il nous faut un artiste pour nous le signalerRetour donc à la case départPas d'art sans artisteDonc pas d'art sans egoDonc si tout est ego pour changer l'art il faut changer l'egoDonc cul de sac ;Donc voie sans issueQU'EST CE QUE L'ART ?Stop ici --- j'ai des doutesEt si l'art (même dit contemporain)Concernait bien-être

préparer à l’épreuve dans les marais. Une fois que vous avez suffisamment fait de victimes, retournez au croisement mentionné plus tôt et prenez la direction du Sud. Le terrain deviendra vite marécageux et vous apercevrez tout au bout de la péninsule, un trou dans le sol : l’entrée des Galeries du Marais. Ce niveau n’est pas si complexe, mais possède quelques points gênants comme son étendue, ou certains de ses ennemis plus puissants que d’autres comme les Gargouilles ou les Envoûteurs. Cependant, de nombreux

rejeté et délaissé à mort. (Y a-t-il une scène semblable dans La vie devant soi? Kadîr Youssef… Rosa…)Dans La vie devant soi, la famille disparaît complètement. Momo ne connaît ni son père ni sa mère.Il ne vit pas seul cependant. Il y a un immense trou affectif dans sa vie, qu’il cherche à combler avec les rencontres de hasard.L’INFLUENCE DU MILIEU ET DE L’HÉRÉDITÉ (P.127)LA MÈRE BIOLOGIQUE AÏCHA (p. 83, 122, 194)LE PÈRE YOUSSEF KADÎR: « Je ne suis pas responsable… » (film, 1h04m30sec)Un père irresponsable

(Augustine, Fanny, Zelmire, Sophie, Colombe, Hébé, Rosette et Michette) Les briefs portraits de 8 garcons enlevés (Zélamir, Cupidon, Narcisse, Zéphir, Céladon, Adonis, Hyacinthe et Giton) Les portraits (de 4 de 8) fouteurs (Hercule, Antinoüs, Brise-cul et Bande-au-ciel) Les portraits des 4 servantes (Marie, Louison, Thérèse et Fanchon) La description du château de Durcet (fantastique) Contrastes: ordre-libertinage, calme-crime Les Règlements et L'itinéraire des 120 journées (notamment

un rôle de contrepoint comique quand la tension tragique devient forte (cf la complainte du film que Giono voulait confier à Brassens pour qu'elle soit "goguenarde" et pas trop tragique) - le gibus tromblon personnifié : "comme un coup de pied au cul collectif et circulaire à tous ceux qui le regardaient" ! (87). - le cheval (93...) : "il aimait au-dessus de sa condition" (96) - Martoune : caricature : "suivre Martoune, ce n'est pas de la petite bière" 96 "Malgré son âge, sa bosse et ses chicots

faut « être absolument moderne », renonce subitement à l’écriture malgré la reconnaissance de ses pairs. Il mourut à l'âge de 37 ans. A noter, ses relations amicales puis houleuses avec Verlaine. Les deux auteurs ont écrit ensemble le Sonnet du trou du cul dans le cadre de L'Album Zutique. J’ai choisit ce poème car on peut trouver un climat de sensualité de part les couleurs, l’odeur et les images. De plus on peut trouver que cette serveuse est une aguicheuse car elle faits des gestes de séduction

aujourd’hui ? questionna Morgane. — Non. C’est son jour de soumis. Elle encule un avocat d’affaires dans son bureau entre midi et deux. — C’est pas ce type qu’on a vu une fois chez elle, à qui elle avait mis des oreilles de lapin et une carotte dans le cul ? — Oui, c’est lui, et elle le faisait sauter à pieds joints dans l’appartement. Je crois qu’il s’appelle Benoît, mais elle l’appelle Bunny, à cause des oreilles. » Déborah était le dernier maillon de la bande. À elles trois, les filles formaient une

sont entrés dans la pompe en détériorant au passage la lèvre du joint spi. (On comprend ici l'utilité de changer à temps le galet tendeur d'accessoire !). On déposera le joint spi en le repoussant par derrière, en enfilant un tournevis dans le trou du palier. Attention à ne pas rayer la bague en bronze du palier. On peut ensuite sortir l'arbre de la pompe, puis déposer le carter arrière : Puis on s'attaque aux bouchons des 8 pistons (6 torx pour les pistons correspondant à la partie direction

Christiane LAHAIE, Les classiques québécois, Québec, L'instant même, coll. «Connaître» n° 1, 1997, p. 8. chez André, car il parle constamment d’argent et il est très vénal comme on peut le voir lorsque Philippe le décrit : « Parce que c’est un trou de cul. C’est un bourgeois fini. C’est un menteur compulsif. C’est un gars qui parle d’argent sans arrêt, il est vaniteux, il a un gros char pis une grosse maison à la campagne qu’il partage avec son “copain”, son fameux copain... 11 » En ce qui concerne

dire, on s'était quittés, mais avec une drôle d'impression. Comme si on ne s'était pas tout dit. Pas trop à l'aise. Quelque temps après, c'est moi qui avais appris à Charlie que le Quotidien de la ville ne paraîtrait plus. Il en était resté sur le cul : le journal qu'il ouvrait tous les matins en prenant son café crème ! - Ils ont coulé ? Des grèves, une faillite ? - Non, non, c'est à la suite de l'affaire des chiens. - Des bruns ? - Oui, toujours. Pas un jour sans s'attaquer à cette mesure