Trouble de la personnalité narcissique

évidemment la définition a beaucoup évoluée. L’allemand Hecker en 1871 nomme cette maladie d’hébéphrénie pour désigner un syndrome d’affaissement mental évoluant par accès successifs, touchant de jeunes adolescents présentant des troubles du langage et du comportement. Cependant, c’est Eugen Bleuler qui, en 1911, nomme la maladie sous le terme de schizophrénie s’appuyant sur la théorie Freudienne et de la théorie de la dissociation de Janet. Ce terme illustre l’idée

siècle, l’origine mentale ou nerveuse de l’affection ne faisait pas de doute. Par la suite on invoqua l’origine hypophysaire du trouble et l’affection fut pendant une courte période du ressort des endocrinologues. Enfin, depuis les années 1950, la conception somatique de l’anorexie mentale est abandonnée au profit des théories psycho dynamiques du développement de la personnalité et des interactions au sein de la cellule familiale. Ainsi l’anorexie au cours de l’histoire a été soumise à de nombreuses

.. 39 1.4.1 Les troubles oppositionnels et les troubles des conduites ........................................... 39 1.4.2 La violence et la délinquance à l’adolescence............................................................. 42 1.4.3 Le trouble de la personnalité psychopathique/antisociale ........................................... 47 1.4.3 Le trouble de la personnalité limite............................................................................. 50 1.4.4 Les troubles anxieux........

psychologue remarque que les troubles comportementaux tels que la « cyberdépendance » se manifestent chez des personnes présentant des traits de personnalité et/ou étant dans des situations spécifiques. Il prouve donc que la dépendance à Internet, aux jeux vidéo, à la télévision,… se manifeste dans des situations spécifiques, responsable en grande partie de cette dépendance. Il cite par exemple « une faible estime de soi », « un manque de confiance en soi », « une personnalité introvertie », « les familles

s’inscrit directement dans la continuité de mon projet initial de formation. En effet, suite à mon stage en Maison d’Accueil Spécialisée auprès d’adultes en situation de handicap et celui en Classe D’inclusion Scolaire auprès d’enfants ayant des troubles des fonctions cognitives, il s’agissait pour moi d’enrichir ma pratique face à un public nouveau tout en restant cohérente dans les réflexions théoriques que j’ai pu amorcer au cours de ces précédentes expériences. Des questionnements autour de thèmes

.................................................................................................. 24 Test cognitifs................................................................................................................... 24 Tests de personnalité....................................................................................................... 25 4.1.1. 4.1.2. 4.1.3. 4.1.3.1. 4.1.3.2. 4.1.3.3. 4.1.3.4. 4.1.4. 4.1.5. 4.1.6. 4.1.6.1. 4.1.6.2. 4.2. Méthode d’exploration psychologique

création de la section Clinique en 1919 médecin, neurologue, a crée la psychanalyse Lettre à Fliess 30 Janvier 1899 fait référence à la psychologie clinique. Freud fait de la psychologie clinique la 1ère théorie proprement psychologique des troubles psychiques, qui permet l’analyse de leur inscription dans l’histoire psychique du sujet et propose des moyens thérapeutiques pour l’aider à les transformer. En France: – 1824) est l’un des premiers à introduire une dimension clinique imprégnée

perfectionnistes se rencontrent dans les 2 sexes mais les hommes ont plus de mal à se remettre en question : 60% de femmes consulte contre seulement 30% d'hommes. III- Quand les obsessions deviennent une maladie A coté des personnalités obsessionnelles il existe des trouble obsessionnels convulsifs. Ces personnes se sentent obligé de s'astreindre à de véritables rituel, de rangement, de comptage, de lavage répété, ce sont les seuls moyens pour eux diminuer leur anxiété. Ils ont aussi des pensées

clinique Co-morbidité Le diagnostique jongle avec la complexité, le public est très hétérogène, tous ces gens ont des diagnostics différents. La co-morbidité : les gens peuvent souffrir de plusieurs troubles à la fois. La co-morbité en milieu carcéral est fort présente : trouble borderline, personnalité anti sociale, alcoolisme,… Erreur fondamentale Code pénal Erreur fondamentale : le psychologue ne doit pas oublier qu’il faut faire attention à ne pas tout psychologiser. Lorsqu’on fait un bilan

de risque chez l’enfant 2.2.1. Facteurs de risque liés à la dynamique familiale - Perturbations des interactions entre l’enfant et ses parents, ce d’autant plus que ces perturbations concernent les interactions précoces, fragilisant les assises narcissiques de l’enfant. - Perturbations du fonctionnement familial (discorde parentale, situations de séparation conflictuelle du couple dans laquelle on fait jouer à l’enfant le rôle de témoin, certaines situations de monoparentalité dans lesquelles l’enfant