Trouble des conduites alimentaires

l’indication première des antidépresseurs reste évidemment la dépression unipolaire endogène, il faut connaître les extensions d’indication qui concernent maintenant d’autres entités psychiatriques comme les troubles obsessionnels compulsifs, les troubles du comportement, des conduites alimentaires mais également d’autres contextes nosographiques tels la prise en charge thérapeutique de certaines douleurs. La classe pharmacologique des antidépresseurs reste très hétérogène tant au niveau des mécanismes

l’ensemble des régions cérébrales impliquées dans les fonctions intellectuelles et comportementales. Les régions touchées sont celles qui permettent la mémorisation des informations nouvelles. L’extension des lésions cérébrales fait apparaître d’autres troubles qui entravent progressivement l’autonomie du patient. Cette maladie grave et mortelle a de lourdes conséquences sur l’entourage du patient, obligé d’assumer la prise en charge de la perte d’autonomie progressive. L’évolution de la maladie : Elle

ans, d'origine sociale moyenne ou supérieure. Autrement dit, les pratiques qu'elles effectuent sont socialement situées. La prise en considération du contexte social d'émergence de ce travail de transformation permet d'envisager les pratiques alimentaires, sportives et scolaires des anorexiques dans l'espace social des goûts et des pratiques, qui est aussi un espace des jugements sur les goûts et les pratiques. Pour l'auteur, au principe même de ces pratiques se trouve un « ethos ascétique »

1/ Définition du syndrôme démentiel : Il peut être défini par un affaiblissement ou une perte de plusieurs fonctions cognitives entraînant une perte d’autonomie et des troubles comportementaux. Il est irréversible. 2/ Les différents types de démences : Démences dégénératives et démences non dégénératives. 3/ Exemples et définitions de différents types de démences : Dégénératives : Démence sénile : observée chez les personnes âgées, la plus fréquente est la maladie d’Alzheimer. Démence

même s’il présente un certain décalage d’apparition dans le temps. En 20 ans, entre les années 1990 et 2010, il y a eu dans tous les Pays industrialisés une augmentation du nombre d’Obèses de plus de 10%. Les grands responsables sont : une dérive alimentaire combinée à des rythmes de vie hors du bon sens et un niveau de Stress élevé. C’est ainsi qu’en Europe (Fig. 2), en 1985, on en était à moins de 5% de la population qui avait un IMC > ou = à 30 et qui était donc Obèse, au lieu des 10-15% des

dissociation, peut être porté sur les éléments internes (ex : tout le corps ou un organe : bras, jambe). * Les troubles factices/pathominies - pathologies produites ou simulées par le patient. - ex : patient itinérant, syndrome de Münchhausen, syndrome du patient polyhospitalisé... * Les troubles des conduites alimentaires (TCA). Ex : anorexie : - restriction alimentaire. - amaigrissement. - aménorrhée (perte des règles). - hyperactivité. - lésions organiques. 3 La

lente, paliers) – bénigne (∅ gravité) ≠ maligne (processus morbide) Facteurs favorisants Endogènes : morphologie, hérédité, immunité, psychisme Exogènes : environnement (climat, géo, habitat, pollution), milieu social, mode de vie (hygiène alimentaire, corporelle), politique de santé. Processus pathologique ① Prodromes : signes avant-coureurs, annonciateurs de la M. (parfois discrets) ② Phase de début : entrée dans la M. – 1er signes et diagnostic ③ Phase d’état : intensité max. des symptômes

L’ANOREXIE Les troubles des conduites alimentaires (TCA)  Aux USA : 40 à 60 % des filles de 17/18 ans suivent un régime; 13% se font vomir, prennent des laxatifs ou des coupe-faim !  En France : 37% des filles se trouvent trop grosses, 57% font un régime, 2,3% prennent un médicament « pour maigrir » et 3,1% des laxatifs  Ces perturbations sont le signe d’installation des TCA ! 2 Anorexie : quelques chiffres  1% des filles entre 12 et 18 ans  0,1% des garçons  Mortalité :  Anorexies restrictives

été définie : LICET (A) : les états anxieux LICET (D) : les dépressions LICET (P) : les personnalités pathologiques LICET (S) : les psychoses non affectives comme la schizophrénie, délires chroniques et psychoses délirantes aiguë. LICET (O) : les troubles mentaux organiques B/ Classification de L’OMS CIM : classification internationale des maladies (OMS) proposition de critères explicites des diagnostics Les critères se reposent sur des données de traditions et des opinions plus internationales il

Les névroses sont des affections psychiatriques. Ils sont caractérisés par : - Absence de cause organique à l’origine du trouble - Le malade névrotique est conscient de son trouble est le considère comme anormale - Absence de délire et hallucination avec absence de perte de contact avec la réalité - Les facteurs psychologiques jouent un rôle majeur dans l’origine du trouble (conflit intrapsychique, facteurs émotionnel). II. Les symptômes névrotiques La symptomatologie névrotique est variée