Trouble des habitudes et des impulsions

apparence, il sera le plus facilement admis. C'est ainsi qu'un impôt indirect, si exorbitant qu'il soit, sera toujours accepté par la foule, parce que, étant journellement payé sur des objets de consommation par fractions de centime, il ne gêne pas ses habitudes et ne l'impressionne pas. Remplacez-le par un impôt proportionnel sur les salaires ou autres revenus, à payer en une seule fois, fût-il, théoriquement dix fois moins lourd que l'autre, il soulèvera d'unanimes protestations. Aux centimes invisibles

point là encore qu'il faut le chercher et l'étudier. Dans la horde sauvage la plus vagabonde comme dans la nation d'Europe la plus civilisée, l'homme n'est que ce qu'on le fait être ; nécessairement élevé par ses semblables, il en a contracté les habitudes et les besoins ; ses idées ne sont plus à lui ; il a joui de la plus belle prérogative de son espèce, la susceptibilité de développer son entendement par la force de l'imitation et l'influence de la société. On devait donc chercher ailleurs le

apparence, il sera le plus facilement admis. C'est ainsi qu'un impôt indirect, si exorbitant qu'il soit, sera toujours accepté par la foule, parce que, étant journellement payé sur des objets de consommation par fractions de centime, il ne gêne pas ses habitudes et ne l'impressionne pas. Remplacez-le par un impôt proportionnel sur les salaires ou autres revenus, à payer en une seule fois, fût-il, théoriquement dix fois moins lourd que l'autre, il soulèvera d'unanimes protestations. Aux centimes invisibles

point là encore qu'il faut le chercher et l'étudier. Dans la horde sauvage la plus vagabonde comme dans la nation d'Europe la plus civilisée, l'homme n'est que ce qu'on le fait être ; nécessairement élevé par ses semblables, il en a contracté les habitudes et les besoins ; ses idées ne sont plus à lui ; il a joui de la plus belle prérogative de son espèce, la susceptibilité de développer son entendement par la force de l'imitation et l'influence de la société. On devait donc chercher ailleurs le

point là encore qu'il faut le chercher et l'étudier. Dans la horde sauvage la plus vagabonde comme dans la nation d'Europe la plus civilisée, l'homme n'est que ce qu'on le fait être ; nécessairement élevé par ses semblables, il en a contracté les habitudes et les besoins ; ses idées ne sont plus à lui ; il a joui de la plus belle prérogative de son espèce, la susceptibilité de développer son entendement par la force de l'imitation et l'influence de la société. On devait donc chercher ailleurs le type

la croyance qui l'engendre. Or l'état de croyance est un état d'équilibre, donc de repos, et c'est pourquoi nous le recherchons. La marque essentielle de la croyance sera donc «l'établissement d'une habitude... Notre habitude a le même caractère que nos actions ; notre croyance, que notre habitude ; et notre conception, que notre croyance.» Ainsi, le doute engendre l'idée; celle-ci engendre l'action et, devenue croyance, elle se traduit par des mouvements organisés, par l'habitude. Tout le sens

n’étant pas clairement précisées, les mois qui suivent voient se développer une grande agitation dans les campagnes. La Convention renonce à faire appliquer le texte. La loi du 10 juin 1793 autorise le partage entre tous les habitants. Devant les troubles qui en résultent, le Directoire finit par décider de surseoir à l’application de la loi en 1796. La vente des biens nationaux a été voulue, non pour donner la terre aux paysans, mais pour résoudre les problèmes financiers de l’État. Or les ventes

analyse Chapitre II. - Le langage et la mémoire i Sous quelle forme les cadres de la pensée sociale pénètrent dans le rêve : le temps et l'espace ii Le rôle du langage dans le rêve iii L'aphasie et l'intelligence. Les expériences de Head sur les troubles de la pensée conventionnelle chez les aphasiques iv En résumé. Chapitre III. - La reconstruction du passé i ii iii iv La déformation des souvenirs d'enfance chez les adultes Les cadres de la pensée et de la mémoire chez l'enfant et chez l'homme Comment

apparence, il sera le plus facilement admis. C'est ainsi qu'un impôt indirect, si exorbitant qu'il soit, sera toujours accepté par la foule, parce que, étant journelle-ment payé sur des objets de consommation par fractions de centime, il ne gêne pas ses habitudes et ne l'impressionne pas. Remplacez-le par un impôt proportionnel sur les salaires ou autres revenus, à payer en une seule fois, fût-il, théoriquement dix fois moins lourd que l'autre, il soulèvera d'unanimes protestations. Aux centimes invisi-bles

la compagnie et les professionnels) Les Subsistances proposent au spectateur de quitter son rôle de consommateur de produit culturel : elles tentent de provoquer en lieu et place de jugement, l’accueil et l’interrogation, la compréhension et le trouble, le plaisir, en dialogue avec les artistes les plus singuliers de la scène d’aujourd’hui. Lieu de curiosité, de découverte et de prise de risque pour tous les publics, les Subsistances souhaitent donner à chacun les moyens d’appréhender les différents