Tube fluorescent

êtres vivants uniques : c’est une photo qui révèle la fluorescence d’un lapin albinos grâce à la transplantation génétique. C’est un lapin « fabriqué », organisme génétiquement modifié (OGM)…. Cela fait intervenir une protéine GFP (protéine verte fluorescente) qu’on trouve couramment dans la méduse du nord-ouest du pacifique. Elle permet donc d’explorer des questions de contrôle génétiques et les biotechnologies. Ce lapin est donc le témoin de l’art vivant en illustrant une biotechnologie de pointe

Crookes (tube à décharge gazeuse sous haute tension 1890) : émission par la cathode de corpuscules d ’électricité négative appelés rayonnements cathodiques (électron caractérisé en 1897 par Thomson)   Apparition à distance d ’une lumière fluorescente sur une plaque de platinocyanure de baryum   Rayonnement plus pénétrant que les UV (traverse divers matériaux) et de nature inconnue : rayons X F Semah - UE3 – 2010/2011 Expérience de Röntgen, 1895 F Semah - UE3 – 2010/2011 Tube à rayons

toujours avec perte minimale. * Emetteur : l’émetteur peut être du type oscillateur, sa partie active est le tube d’émission dans lequel est engendrée l’onde émise. Le tube utilisé est un magnétron [1], c’est avec ce dernier les plus hauts niveaux de puissance sont obtenus (2Mwatts par seconde avec un rendement de 50% en 20 cm de longueur d’onde). La puissance de sortie varie selon le tube utilisé dans l’émetteur et la longueur d’onde.

ainsi que l’équation bilan de la réaction. 2. Expérience 1 : Réaction entre le fer et les ions Cu²+ : A : Mode Opératoire : Placer une petite pelote de paille de fer dans un tube tulipe propre soutenu par une pince au dessus d’un becher. Verser une solution de sulfate de cuivre II dans le tube tulipe. Récupérer le filtrat puis réitérer l’opération 5 fois [pic] B : Observations : Apres avoir filtré plusieurs fois la solution de sulfate de cuivre II, on retire la

reactions chimique entre les especes chimiques differents et le but de la deuxieme expérience était de séparer les éspeces chimiques (et les indiquer) qui ont étés mélangés aupravant en uttilisant le technique d’extraction par solvant liquide-liquide. Tube a essai | Les resultats des mélanges | 1(cristal de diiode+l’eau) | Le couleur est violet.Le cristal ne se dessout pas. | 2(cristal de diiode+cyclohexane) | Le couleur est violet le cristal se dessout. | 3(cyclohexane+l’eau) | Le couche superieur

les bactéries ou autres organismes, comme des champignons. Si on ne le faisait pas, le milieu de culture serait déjà contaminé d’avance, et les résultats de l’ensemencement plus valables. 2. Pourquoi faut-il stériliser les boîtes à Pétri /le tube à essai ? Avec la stérilisation, on élimine toutes sortes d’organismes non souhaités. Sans cette stérilisation, il y aurait déjà une contamination des boîtes à Pétri/tubes à essai, avant l’ensemencement et il serait impossible d’avoir un résultat

(lunettes lors du chauffage) Introduire dans un tube à essais un mélange de carbone et d'oxyde de cuivre II CuO, adapter un tube à dégagement et chauffer fortement le mélange. Quand le mélange est incandescent, plonger le tube à dégagement dans l'eau de chaux. Attention : Oter le tube à dégagement de l'eau de chaux avant d'arrêter le chauffage !!!     Faire le schéma de l'expérience. Quel est le solide rouge qui s'est formé au fond du tube ? Donner le nom et la formule du gaz qui trouble

limaille de fer dans un tube à essai). | | | | | | | | |Ajouter dans ce tube un à deux millilitres

Fiche élève Expérience : 1 Eau froide 1 9 8 7 6 5 4 3 2 1 0 ° Eau chaude Classe de 1èreS Physique Chapitre 7 On place un tube à essai d’eau froide dans un bécher d’eau chaude. Surveillons la température de l’eau dans le tube et de l’eau dans le bêcher. Observations : La température de l’eau du tube à essais augmente, celle de l’eau dans le bécher diminue légèrement. Que s’est-il passé ? La température est liée à l’agitation moléculaire du liquide donc finalement

comment réaliser une synthèse de l’arome de banane : • Introduire dans un tube à essai : – 10 mL d’acide acétique ; – 10 mL d’alcool isoamylique ; – quelques gouttes d’acide sulfurique concentré. • Munir le tube à essai d’un bouchon traversé par un long tube en verre (réfrigérant à air). • Placer le tube à essai dans de l’eau chaude à 90 °C pendant un quart d’heure (Doc. 1). • Après refroidissement, verse le contenu du tube dans un verre à pied contenant une solution saturée d’eau salée (Doc. 2)