Tutsis

l'extermination physique, intentionnelle, systématique et programmée d'une population ou d'une partie d'une population en raison de ses origines ethniques, religieuses ou sociales. Le génocide Rwandais débute le 7 avril 1994 et opposé les « Hutus » aux « Tutsis », 2 groupes ethniques à cause de l’assassinat des 2 président Rwandais (Juvénal Habyarimana) et Burundais (Cyprien Ntaryamira) au Rwanda Pourquoi ce génocide sait – il produit au Rwanda et quels en sont les conséquences ? Dans un 1er temps

s’agit bien de la volonté d’un groupe de personnes d’exterminer une autre ethnie, les Tutsis. Au départ, les Tutsis et les Hutus distinguent deux catégories de travailleurs rwandais. Cette distinction n’est aucunement raciste ni infranchissable. C’est à l’arrivée des colonisateurs que les tensions commencèrent. En effet, ceux-ci favorisèrent, selon leur « image européenne » des rwandais, les familles élites Tutsis alors qu’ils délaissèrent les familles élites Hutus ayant reçues la même instruction

déposséder du pouvoir la minorité tutsie. Le colonisateur Belge et l’église catholique changèrent soudainement de camp pour soutenir les hutus. L’indépendance s’est alors construite sur cette notion d’ennemis (les tutsis) à chasser du pays dès 1959. Après trente ans d’exil, en 1990, les tutsis gardaient la nostalgie de leur patrie et souhaitaient voir se réaliser le retour des réfugiés. Cette éventualité fut refusée par le gouvernement du président Habyarimana et les tutsis emmenés par le Front Populaire

physique. D’après les belges, les Tutsis étant grands, clairs et ayant des trait faciaux plus fins, cela les rendaient plus aptes à diriger. Ce qui a eu pour résultat l’oppression des Hutus, qui sont physiquement à l’opposé des Tutsis. De plus, les Tutsis étaient des nobles tandis que les Hutus étaient des routiers. Ainsi, les Tutsis avaient certains avantages sociaux ce qui envenima leurs rapports avec les Hutus. Au fil des années, la haine de certains Hutus envers les Tutsis ne fit qu’augmenter. S’ensuivit

au 4 juillet 1994 au Rwanda, suite à de nombreux conflits entre Tutsis et Hutus (les deux grandes ethnies du Rwanda et les concernés de la guerre) et suite à la mort suspecte du général Juvénal Habyarimana, un extrémiste Hutu. Il fut commis dans le cadre d'une guerre civile opposant le gouvernement rwandais, constitué d’Hutus (Hutu Power), au Front Patriotique Rwandais (FPR), accusé par les autorités d'être essentiellement « tutsi ». Toutes ces crises en Afrique ont été causées par : - La mal

été une extermination d’un groupe social. Les tutsi se sont fait exterminer par les Hutu qui sont deux groupes sociaux différents. Les belges, ceux qui dirigeait le pays, ont choisi les tutsi pour les succéder par rapport a des caractéristiques. Ils ont séparé le peuple. Les tutsi sont plus grand, plus clair et selon eux ils étaient plus intelligents et avaient plus de finesse. Les Hutu étaient considéré comme inférieur. Après l’indépendance des tutsi les belges s’allie au Hutu pour les mettre au

est l'un des plus densément peuplé au monde, avec ses presque 10 millions d'habitants pour une superficie d'un peu plus de 25 mille km. C'est une population divisée avec deux ethnies principales : les Hutus et les Tutsis. Mais peut-on vraiment parler d' «ethnies» ? Les Hutus et les Tutsis ont en effet tellement de choses en commun qu'il est difficile, voire impossible, de les considérer en tant qu'ethnies : ils vivent sur un même territoire, parlent une même langue – le kinyarwanda –, pratiquent

génocide au Rwanda du 7 avril 1994 à juillet 1994. Le Rwanda est alors principalement peuplé de deux ethnies différentes, les Hutu et les Tutsi. Les Hutu sont considérés comme principaux constituants du gouvernement, les Tutsi, eux, sont soupçonnés d'être à la tête du FPR (Front Patriotique Rwandais). Un parti créé en Ouganda en 1988 par des exilés Tutsi de la première et seconde république . En effet, ldans la société Rwandaise, les Hutu étaient considérés comme des «privilégiés», ce qui va constituer

Congo-Zaïre (AFDL) L’AFDL est une coalition qui regroupe des partis de l’ancienne mouvance lumumbiste (nationaliste) et des mouvements à caractère ethno-régionaliste. Elle s’est élargie, en octobre 1996, avec l’incorporation du parti formé par les Tutsi du Sud-Kivu (Banyamulenge). L’Alliance est indissociable de son leader charismatique, M. Laurent Désiré KABILA. Originaire du Katanga, révolutionnaire dès les premières heures de l’indépendance congolaise, Kabila ne jouait plus aucun rôle politique

internes font apparaître la connaissance étendue qu'avaient les autorités françaises des massacres de Tutsi, du développement de campagne de haine contre les Tutsi[6]. Les liens politiques Au cours de cette période, et principalement sous l'impulsion du Président François Mitterrand, le gouvernement Habyarimana reçoit un soutien constant et croissant du gouvernement français. Les massacres de Tutsi par les Forces armées rwandaises dans plusieurs circonstances ne suscitent pas de réactions. Les autorités