Tuvalu

franc Marshall Uliga dollar Salomon Honiara dollar des Salomon Micronésie Palikir dollar Samoa occidentales Apia dollar des Samoa Nauru Yaren dollar australien Tonga Nukualofa paanga Nouvelle Calédonie et dépendances Nouméa franc Tuvalu Funafuti dollar australien Nouvelle- Zélande Wellington dollar néo- zélandais Vanuatu Port-Vila vatu TAFEMPREP 2019-2020 52 ANNEXE 6 : les dirigeants actuels des États PAYS STATUT NOM DEPUIS (LE) AFGHANISTAN PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

emissions. Most developing nations fear this will pause their development, The Kyoto Protocol will not be binding until nations accounting for 55 percent of 1990 greenhouse gas emissions have ratified it. To date, only three small island nations: Fiji, Tuvalu, and Trinidad and Tobago, have actually ratified the treaty. Most countries are waiting for ratification by the United States, at present the source of one-fifth of greenhouse gas emissions. The Congress of the United States has so far refused ratification

exemple rien n'empêche un particulier d'acheter des domaines en .com ou .net. Quelques TLD font l'objet de convoitises. Par exemple le Tonga ( .to ) est beaucoup utilisé ( go.to , beam.to , etc.). Le plus convoité est le Tuvalu, une île perdue du Pacifique: son ccTLD est .tv . Le Tuvalu a vendu des noms de domaine à prix d'or à des chaînes de télévision. Ça ressemble à quoi un nom de domaine ? C'est une sorte de fiche signalétique qui contient (généralement): • le nom du domaine • les noms et coordonnées:

rapport sur les RAPPORT ANNUEL 2011 DU FMI | 41 Gauche : Tharman Shanmugaratnam, Président du CMFI, s’adresse aux médias lors d’une conférence de presse pendant les Réunions de printemps. Droite : Le bâtiment du Parlement à Funafuti, capitale de Tuvalu, 187e pays membre du FMI. Les administrateurs ont demandé à ce que les évaluations de l’admissibilité aux ressources du FMI soient rigoureuses, impartiales, confidentielles et réalisées uniquement à la demande d’un pays membre. Bien que toute une

                                            45  Associations nationales membres du Réseau Action Climat-France (www.rac-f.org) Agir pour l’Environnement : www.agirpourlenvironnement.org Alofa Tuvalu : www.alofatuvalu.tv Amis de la Terre : www.amisdelaterre.org Centre National d’Information Indépendante sur les déchets (CNIID) : www.cniid.org Comité de Liaison Énergies Renouvelables : www.cler.org Dossier et Débat pour le développement

un gouvernement d’exercer son autorité. Il ne peut pas exister d’état nomade, la population doit être fixe sur un endroit, et si le territoire disparait, l’état aussi. Par exemple on sait que les Seychelles sont amenées à disparaitre. De plus, Tuvalu commence déjà a disparaitre, les réfugiés sont déjà refusés par la Nouvelle Zélande. I. La nature juridique du territoire : Juridiquement parlant, il existe un lien entre le territoire et la souveraineté. Au Moyen Age, le territoire appartenait

Nouvelle-Zélande (1700 km au sud-ouest). De plus, la plupart des États du Pacifique ont l’anglais comme langue officielle: l’Australie, la Nouvelle-Zélande, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, le Vanuatu (avec le français), les îles Salomon, Nauru, Tonga, Fidji, Tuvalu, Kiribati, les Samoa occidentales, les Samoa américaines, Niue, sans oublier Guam, les États fédérés de Micronésie et Hawaï. En réalité, seuls les territoires de la Nouvelle-Calédonie, de Wallis-et-Futuna et de la Polynésie française sont officiellement

La souveraineté en droit international n'a pas du tout le même sens qu'en droit interne, où elle est le pouvoir suprême d’un seul titulaire d’après l'art 3 de la Constitution. Il existe un principe d’égalité souveraine des Etats (Exemple : entre Tuvalu et les Etats-Unis, malgré les apparences), affirmé par l’article 2 de la charte de l’ONU. La sentence arbitrale de Max Huben, en 1928 dans l’« Ile de Palmas » est la suivante : « La souveraineté dans les relations internationales signifie l’indépendance »

tiennent à un principe de fonctionnement (un Etat = une voix). Ce qui conduit à la constatation d’un décalage important entre la contribution au budget de l’organisation mondiale de ces nombreux Etats et leurs poids en terme de voix. Exemples : Iles Tuvalu (26 km²), La Barbade (430 km²) et les îles Maldives (300 km²). L’organisation des Nations Unies en a favorisé la création et il serait paradoxal qu’elle éleva des barrières à leur indépendance (donc à leur participation à l’Organisation des Nations

transferts financiers et l’assistance apportée confortent sans doute cet équilibre, alors que les îles voisines, indépendantes, cherchent des subsides financiers à partir de ressources locales (huile de palme…) ou autres. On rappellera ainsi que les îles Tuvalu doivent une part importante de leurs revenus à la vente de leur identifiant Internet (.tv) à des chaînes de télévision, preuve d’une insertion poussée dans la mondialisation ! Cet argument, qui peut faire sourire, n’ôte rien aux modes de vie encore