Tympanon

maudit".  Etude I - Un poème soumis à la tradition - Sonnet / mètre régulier -> poésie amoureuse (Pétrarque, Ronsard…)                                      -> dédicace, don - Références à l'Antiquité : "malédiction", "mémoire", "vaisseau", "tympanon", "airain", "aquilon", mais aussi à la tradition poétique : "fables incertaines"                                     -> La poésie traverse les âges      L'écriture de la poésie datant de l'Antiquité, le poème, le poète et ainsi que la femme concernée

indiquant les reliefs sous-marins et la voûte céleste, conçu par Jean-Tobie Mercklein et Edme Mentelle (1786)... Mais encore le miroir ardent de Vilette (1669), qui pouvait éclairer et chauffer une pièce entière, ou l’automate androïde la Joueuse de tympanon représentant la reine au piano (1784). Le visiteur est invité à arpenter des espaces qui redonnent vie à la première ménagerie (au nord du Grand Canal), à celle aussi de Trianon, mais encore à l’orangerie, au potager cher à Louis XIV ainsi qu’aux

de convoitise. Ensuite elle tourna autour de la table d’Antipas, frénétiquement, comme le rhombe(10) des sorcières ; et d’une voix que des sanglots de volupté entrecoupaient, il lui disait : « Viens ! viens ! » Elle tournait toujours ; les tympanons(11) sonnaient à éclater, la foule hurlait. Mais le Tétrarque(12) criait plus fort : « Viens ! viens ! Tu auras Capharnaum ! la plaine de Tibérias ! mes citadelles ! la moitié de mon royaume ! »

palpitaient de convoitise. Ensuite elle tourna autour de la table d'Antipas, frénétiquement, comme le rhombe des sorcières ; et d'une voix que des sanglots de volupté entrecoupaient, il lui disait : «Viens ! viens !» » Elle tournait toujours ; les tympanons sonnaient à éclater, la foule hurlait. Mais le Tétrarque criait plus fort : «Viens ! viens ! Tu auras Capharnaum ! la plaine de Tibérias ! mes citadelles ! la moitié de mon royaume !» Elle se jeta sur les mains, les talons en l'air, parcourut

cette femme, cela donne une connotation d’oubli, cela fait d’elle, de sa vie une histoire incertaine auprès du lecteur, alors que le poète se voit comme inoubliable et connu à travers les temps. Le verbe " fatigue ", ainsi que l’usage du terme " tympanon " qui désigne un instrument de musique et qu’il utilise pour la comparer, accentuent cet effet d’oubli, de lassitude, de désagréable que créera le " tu " auprès du lecteur. La métaphore qui s’établit dans le dernier vers du dernier tercet " statue

L6 « comme une âme vagabonde qui semblait prête à s’envoler » = Cette comparaison dévoile à nouveau la légèreté de la danseuse {text:list-item} « Flûte » l3 « crotales » l7 « les sons funèbres de la gingras » l7 « une harpe » l18 « les tympanons » l26 = Champ lexical de la musique : Les instruments accompagnent la danse. Ce sont aussi des instruments orientaux = univers exotique. « La foule hurlait » ; « le Tétrarque criait plus fort » = verbes sonores qui rendent la scène bruyante ;

palpitaient de convoitise. Ensuite elle tourna autour de la table d’Antipas, frénétiquement (4), comme le rhombe des sorcières ; et d’une voix que des sanglots de volupté entrecoupaient, il lui disait : – “Viens ! viens !” Elle tournait toujours; les tympanons sonnaient à éclater, la foule hurlait. Mais le Tétrarque criait plus fort : – “Viens! viens! Tu auras Capharnaüm! la plaine de Tibérias ! mes citadelles ! la moitié de mon royaume !” 1. : mélancolie empreinte de rêverie douce et d’attendrissement

haut. XVIIIe SIÈCLE : LA MUSIQUE DES LUMIÈRES Cet espace retrace l’évolution de la vie musicale au siècle des Lumières. Une sélection d’instruments originaux évoque le salon: une délicate harpe ornée de chinoiseries, une cithare sur table appelée tympanon, une paire de cymbales frappées aux armes du Duc de Richelieu… Époque marquée, le XVIIIe siècle connaît une vogue éphémère pour les musiques pastorales, et ses musettes et vielles à roue jouées par d’aristocrates bergères. XIXe SIÈCLE : L’EUROPE

inhabituel (on peut penser à deux théâtre au vu du masque de Tympanon présent dans la fresque) qui dérangerait la tranquillité de l‘agora de sa cité. La tenue vestimentaire des trois compagnons, faisant ainsi référence, au Dieu revenant d’Asie. En effet, nous pouvons observer sur une mosaïque de Délos : sur laquelle il porte un chiton enveloppant, un himaltion de couleur safran, que l’on retrouve également sur son thyrse, il tient également un tympanon de couleur rouge dans sa main gauche. Il porte des chaussures

donne ces vers afin que si mon nom Aborde heureusement aux époques lointaines, Et fait rêver un soir les cervelles humaines, Vaisseau favorisé par un grand aquilon, Ta mémoire, pareille aux fables incertaines, Fatigue le lecteur ainsi qu'un tympanon, Et par un fraternel et mystique chaïnon Reste comme pendue à mes rimes hautaines ; Être maudit à qui, de l'abîme profond Jusqu'au plus haut du ciel rien, hors de moi, ne répond ! - Ô toi qui, comme une ombre à la trace éphémère, Foules