Ulcération

musculaire . Atrophie musculaire précoce . Aréflexie ou hyporéflexie ostéo-tendineuse . Hypotonie Signes sensitifs . Paresthésies, dysesthésies, douleurs . Hypoesthésie, anesthésie Signes trophiques . Atrophie cutanée . Dépilation . Ulcérations plantaires aux points d’appuis Signes végétatifs . Hypotension orthostatique . Absence de sudation . Atonie vésicale (dysurie, rétention) . Constipation . Trouble de l’érection . Anomalies pupillaires . Plus rarement : hypertension paroxystique

produit : sensation de toute puissance, exaltation de l’humeur, état délirant, parfois accompagné de passage à l’acte auto ou hétéroagressif. La toxicité propre de la cocaïne est importante : complications loco-régionales liées au mode de prise (ulcération des cloisons nasales, abcès et exposition aux virus si utilisation en injection), troubles de la conduction cardiaque, troubles neurologiques, et une tératogénicité importante (LOWENSTEIN et al., 1995). Devant la rareté et le prix élevé de la cocaïne

Erythème cutanée sur une peau apparemment saine, ne disparaissant pas • après la levée de la pression. stade 2 : Perte de substance impliquant l’épiderme et en partie le derme, se • présentant comme une phlyctène, une abrasion ou une ulcération superficielle. stade 3 : Nécrose, perte de substance cutanée, avec ou sans décollement • périphérique. stade 4 : Perte de substance profonde, pouvant impliquer os, articulations, muscles, tendons. L'apparition d'une escarre peut être

touche l'épiderme, le derme ou les deux. L'escarre est superficielle et se présente cliniquement comme une abrasion, une phlyctène.· Stade III: la nécrosePerte de toute l'épaisseur de la peau avec altération ou nécrose du tissu sous-cutané; une ulcération peu profonde;· Stade IV: l'ulcération Perte de toute l'épaisseur de la peau avec destruction importante de tissus, ou atteinte des muscles, des os, ou des structures de soutien par exemple des tendons, des articulations. . L'escarre se présente

agressions : adaptation aux réactions aspécifiques •  Réactions aspécifiques (Selye) –  Hypertrophie et hyperactivité de l’écorce des glandes surrénales –  Atrophie et hémorragie d’organes tels que le thymus, la rate, les ganglions lymphatiques –  Ulcérations (profondes) avec saignements de l’estomac et de la partie supérieure des intestins •  Phases selon SELYE : stades de réaction au stress Psychologie du travail - éléments de support de cours - René PATESSON - ULB 2007/2008 - maj 26/11/07

en dehors de la grossesse. Chez certains sujets, le sphincter inférieur de l' oesophage est moins efficace, avec épisodes répétés de reflux de liquide gastrique dans l' oesophage (reflux gastrooesophagien), de pyrosis avec, dans les cas extrêmes, ulcération, rétraction. Le pyrosis peut apparaître après un repas copieux qui peut augmenter la pression dans 1'estomac au point de faire passer du liquide gastrique dans l' oesophage. Le reflux gastrooesophagien peut également provoquer une toux et une irritation

° La sycose, rattachée à la blennoragie, où le sujet présente des catarrhes chroniques et la tendance à produire des tumeurs au développement lent et insidieux. ° La luèse rattachée à la syphilis, où l'on va trouver des irritations, des ulcérations et de la sclérose, ainsi que des troubles psychiques à type d'arriération mentale ou de perversion. ° Le tuberculisme décrit par Antoine NEBEL au début du siècle, qui favorise la déminéralisation, la sensibilité aux refroidissements et la tendance

par Unacim ou Augmentin ou pénicilline G + Flagyl (en cas d’allergie à la pénicilline : macrolide + Flagyl) ; • éventuellement drainage. 2. Une petite ulcération inhabituelle doit faire penser au chancre syphilitique : prélèvement local ; VDRL/TPHA ; traitement, s’il est confirmé, par pénicilline retard ; sérologie HIV par prudence ? 3. Une ulcération persistante peut être un cancer de l’amygdale à confier à l’ORL. ANGINES RÉCIDIVANTES Elles nécessitent, lors d’un épisode aigu, un traitement par

Hémorragie postménopausique 2 Démarche diagnostique devant une hémorragie postménopausique. Examen clinique Pas de cause évidente Causes évidentes Biopsie d'endomètre Échographie vaginale + endosonographie Hystéroscopie Vulve (ulcération ou cancer) Vagin (vulvovaginite, tumeur) Col utérin (polype, cancer) Utérus Annexes Cancer de l'endomètre Fibrome Polype Sarcome Causes fonctionnelles Tumeur de l'ovaire Cancer de la trompe Hyperplasie de l'endomètre Atrophie de

le choc des brûlés, le choc septique, le choc hémorragique, etc. — étaient toutes associées à des manifestations cliniques identiques, à savoir : • une réduction de la taille du thymus, de la rate et des ganglions lymphatiques, • des ulcérations gastro-intestinales, • une augmentation de taille du cortex surrénalien, • une diminution du nombre des lymphocytes dans le sang, ainsi que la disparition totale des éosinophiles. En 1936, Selye retrouva ces mêmes symptômes chez des rats